Il était presque 18 heures, Abdoulaye le chauffeur et garde corps du richissime vieillard peuhl prenait son traditionnel thé dans la cour de la grande villa. Très désavantagé par la nature, Abdoulaye du haut de ses 45 ans sonné apparaît tel un gamin de 10 ans, chétif, il n’avait pas 1,50 m. De sa chaise, soudain il remarque, que les enfants avaient repris leur jeu de pierre sur le grand manguier. Entre Abdoulaye et les enfants c’est un jeu perpétuel du chat et de la souris ; ils viennent jeter des cailloux, il les chasse, ils disparaissent avant de revenir.
Quelque peu excéder par l’attitude des enfants Abdoulaye tend un piège dans l’arrière cour et parvient à capturer un gamin. Là il n’est pas allé avec le dos de la cuillère, l’enfant avait été puni.
Entre temps les autres étaient allés informer la famille du sort du petit qui était en plein pilori. Quelques minutes après, la tension est montée d’un cou, la famille avait sollicité l’aide de Zagoly pour aller libérer le petit. Zagoly avait une bonne raison lui qui sortait en catimini avec la sœur du petit. Il ne s’est pas fait prier depuis le mur chez eux, il s’écriait “Hé ! C’est bien chez le peulh, le petit est vraiment gonflé…”. Aussitôt, il se saisit d’une chemise et se fait accompagner par les autres garçons qui avaient échappé. Arrivé à la porte, il sonne, n’oublier pas que nous sommes dans une villa et de surcroît celle d’un peulh homme d’affaire vivant en Arabie Saoudite. La grande maison était vide puisque seuls y vivaient le patron et son chauffeur, le reste de la famille étant en Arabie Saoudite. Zagoly s’enfonce à l’intérieur dès que la porte s’ouvrit, il y rejoint le chauffeur garde-corps du vieux peulh. Les autres enfants attendaient à la porte, près de quelques 20 minutes après Zagoly sort tout en sueur, la chemise déchirée, le visage tuméfié il était très rapide comme fuyant.
Alors Zagoly dit aux enfants : “Hé, hé dogo, a ya fo tiogomina, a ya kêtén… ” (Hé les enfants faites comme le monsieur le demande), il disparaît. Les enfants qui avaient quelque peu compris sont allés raconter ce qui s’est passé. Mais juste au même moment la famille voit arriver le petit qui était en punition. Il raconte que le monsieur avait battu le gros bras et qu’il allait le tuer, tellement les coups pleuvaient mais l’autre n’a pas poussé un seul cri.
Pendant près de 20 minutes il massacra Zagoly le gros bras à huis clos. C’est alors que Bourama qui prie dans la même mosquée que le garde-corps avait témoigné : “Il a commis une bêtise ce chétif est un maître de Karaté, il a un dojo à la Mecque…”
En tout cas cela fait près de 2 jours qu’on est sans nouvelle de Zagoly, certains le disent en voyage d’autres le disent malade, il n’est quand même pas au quartier. Imaginez un instant comment la nouvelle s’est répandue !
Youba KONATE
“Quand tu vois un gars mince, très très mince, demande d’abord si c’est maladie ou c’est naissance” : un chanteur ivoirien.
tu n’as rien à dire
JE PEUS Y CROIRE,CAR J,AI VUS UN EXEMPLE A FALADJIE UN MINCE QUI A MALTRAITER UN GROS BRAS DEVAMT TOUT LE MONDE DEVANT UN MAQUIS,J,AVAIS MEME HONTE DE VOIR LE GROS BRAS EN FACE CAR,JE LE CONNAISSAIS,ET IL ETAIT AROGANT DANS LE QUARTIER.LA SEULE CHOSE QU,IL A PUS DIRE EST QU,IL EST EN CONVENLECENCE D,UN PALUDISME…….LE MESSIEUR ETAIT JEUNE KARATEKA AUSSI TRES MINCE,TIMIDE EN PLUS CAR CES LE GROS BRAS QUI LA PROVOQUER,EN DISANT TOI ET TOUT TES ELEVE CONTRE MOI SEUL,VOUS NE POUVEZ PAS,ET IL POUSSAIS LE MEK PAR LA POITRINE CES EN SE MOMENT LE KARATEKE A ENLEVER SA CHEMISE ER CORIGER LE MEK COMME UN GAMAIN,IL DISAIT AU GROS BRAS TU ES D,ACCORS OU PAS,SINON JE CONTINUE ET LE MEK LUI REPOND J,AI LE PALUDISME JUSTE HIERS JE ME SUIS MIS DEBOUT,LE MEK LUI CONGNE ET LUI DEMANDE ENCORE TU ES DACCORS OU PAS,LE GROS BRAS A FINIT PAR DIRE MOI JE N,AI PAS DIS QUE JE NE SUIS PAS D,ACCORD JE SUIS EN CONVALESCENSE C,ETAIT LA HONTE TOTAL,MEME AUJOUR,DUI SI JE VOIS LE GROS BRAS JE PENSE A LA MEME CHOSE.
hhhhhhhhhhhh les journalistes ne s’ennui pas a ce que je vois hhhh 1m 50 ca reste 1m50 karatéka ou pas !!! le soit disant gros bras n’était pas si gros que ca c’est tout !!!!!!!! mais une histoire de gosses sur un journal hhhh c’est de mieux en mieux
foutaise une histoire à la con
Les gros bras de Bamako sont très agressifs. Ils n’ont rien compris sauf ceux qui se font corriger.
ce karateka mérite d’aller au nord pour nous maltraiter ces maudits bandits du mnla
Comme on dit, c’est pas la taille qui fait l’Homme… 😀
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