Il était presque 23 heures à Bamako en ces temps d’état d’urgence que débarque la demoiselle Assétou. Aussitôt elle salue le grin du portail avant de demander d’après le sergent qui était le chef de poste. Celui-ci qui était aux aguets a répondu aussitôt “je suis là Assétou et il enchaîne : “qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi es-tu là cette heure, j’espère qu’il n’y a rien de grave….. ”
Le sergent amène la fille dans la salle de garde et vient rejoindre le groupe en les expliquant que la fille était sa nièce qui avait des problèmes avec son mari, mais personne dans le groupe n’avait cru à cette information. Il est important de savoir que nous sommes dans l’agence d’une institution de micro finance en plein centre de la capitale malienne. Le garde qui avait envoyé la fille dans la salle de garde n’arrêtait pas d’attendre son collègue qui était sorti pour accompagner sa nièce à son domicile. Aussitôt arriva l’autre sur sa moto dragon, il a voulu garer quand le sergent l’intercepta en ces termes : “Djo je t’attendais pour que tu gardes la permanence je vais accompagner ma nièce qui a des problèmes, elle était venue me voir… ”
Auparavant, il demande à son collègue d’acheter des brochettes pour sa nièce. C’était un plan, il savait que l’autre en avait au moins pour une heure de temps, suffisant pour vider sa libido. Entre temps le petit grin s’était dispersé puisqu’à partir de cette heure il n’y a plus de grin aux abords de cette structure financière, consigne de la direction. Aussitôt le grin dispersé, le collègue parti acheté les brochettes, le sergent s’engouffre dans la salle de garde avec la demoiselle Assétou. Il se déshabille aussitôt, ferme la porte et éteint la lumière. Auparavant il avait fermé le portail qui jouxte la salle de garde, puisqu’il y avait quelques objets dans la cour surtout des motos. Mais au bout de 10 minutes, le garde depuis la salle de garde entend des drôles de bruits depuis la cour du service. Il ouvre discrètement la petite fenêtre de l’arrière et aperçoit une silhouette qui s’activait autour des motos. Il se saisit de son arme tout nu et ouvre discrètement la porte et fonce sur l’individu qui sortait presque avec la moto. Il ordonna “stop ! Arrêtes-toi tout de suite sinon je fais feu… ” L’individu paniqué s’écria : ” Hé ! Ne me tue pas, je suis tranquille…”. La “nièce” qui était dans la chambre voulait en savoir davantage. Elle mit son pagne autour de sa taille, torse nue et s’interroge : “Est-ce un voleur, hé donc il te suivait, sinon comment en moins de quelques minutes il a su que tu étais occupé…”
Dans cette ambiance de flagrant délit arrive le collègue avec ses brochettes et celui-ci ébahi ne comprenait rien, face à son chef tout nu braquant l’arme sur un individu. Il ordonna à son collègue : “Il y a une corde dans la chambre, attache le, j’appelle la police….”. Toute cette scène se déroule quand le sergent est toujours nu, alors la “nièce” agacée intervient : “Chéri toi aussi va porter tes habits maintenant”
Le sergent sursauta dans la salle de garde pour s’habiller, avant de raccompagner sa nièce qui en réalité était sa copine.
Au retour, il explique à son collègue : “agent tu sais, c’est compliqué, la fille comme tu l’as compris n’est pas ma nièce, mais plutôt ma copine. Tu vois mais avant 2 femmes à la maison et du haut de mes 50 ans j’ai du mal à m’assumer, mais celle-là je vais la prendre, elle sera ma troisième….”
Alors que chacun comprenne là-dans ce qu’il a compris en tout cas le garde a eu la peur de sa vie. Imaginez un instant que le voleur ait pu emporter la moto parce que l’homme de garde était enfermé avec une demoiselle, c’était grave mais bon, c’est une affaire de fille même le commandement peut comprendre.
Youba KONATE
mana mana kan!
Ah oui toujours les tapeurs des fesses 👿 👿 👿
C’est ignoble, et c’est comme cela qu’ils se font surprendre par les énemis.Nos hommes en tenues sont pour la plupart irresponsable. 8)
❗
trop fort la nouvelle mode de protitution
je suis sur que la fille est complice!
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