Fait divers:Il ramène le string de sa maîtresse à la maison

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    Voilà encore un foyer qui vient de voler en éclats par l’irresponsabilité d’un père de famille et la pulsion incontrôlée d’une assistante de direction. Une histoire bien triste, mais bien réelle tout de même. Une relation qui vient révéler encore une fois la décadence de nos valeurs sociétales et l’irresponsabilité de certains cadres peu recommandables.
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    rnPour son forfait, Assétou, une jeune femme de 35 ans, furueuse, a assommé son mari d’un violent coup de bâton à la tête. Comme une trainée de poudre, le scandale fut ventillé dans tout le candale dans le quartier de Lafiabougou.
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    rnMariée à un Directeur de projet, elle avait pourtant tout pour être heureuse, mais le comble est que son homme du nom de Issiaka était un mari adepte insatiable du plaisir charnel. De toute évidence, une seule femme ne lui suffisait pas et très souvent, il ne s’en cachait pas, au point où, tout le quartier finit par le savoir. Il tirait sur tout ce qui bouge et cela rendait sa femme maladivement jalouse. La pauvre se deguisa alors en detective pour fonder sa religion sur le comportement douteux de son cher époux.
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    rnLe mari infidele, lui aussi, pour tromper la vigilance de sa femme cocue,  il initiait de fausse mission, à chaque fois, pour aller calmer ses ardeurs à des kilomètres de Bamako, en complicité avec son assistante qui n’est autre que la cousine à sa femme et recrutée grâce à l’intervention de Assétou.
    rnTout a commencé quand ce jour: l’assistante travaillait au bureau quand Issiaka s’est agilement arrangé à passer derriere elle avant de glisser sa main sous ses vetements et commence les attouchements. Quand cela devint une habitude, elle ne disait plus rien et tout finira par se passer dans le bureau, avant de prendre la direction des hôtels les week-ends. Elle s’offrait sans résistance à son patron et elle devint ainsi la pâture quotidienne. L’apetit est ainsi venu en mangeant.
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    rnLe mardi 22 février 2011, vers l’après-midi,  Issiaka annonça à sa femme qu’il devait se rendre en mission pour trois jours. Le même jour, le mari infidele rejoignit son assistante dans un hôtel dans les périphéries de la capitale.
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    rnEt comme d’habitude, au retour de ses missions, elle arrange les habits de son mari dans le placard. Ce jour, la surprise fut des plus désagréables lorsqu’elle trouva le «string» de la maîtresse de l’homme dans ses affaires. Boule de gomme donc. Elle piqua sur le coup une colère noire et se déversa sur son mari en le traitant de tous les noms d’oiseaux.
    rnComme cela ne suffisait pas, Assétou assomma son mari d’un violent coup de bâton à la tête. Alertés, tous les voisins s’affairaient à la calmer. Comme saisie par le diable, elle s’opposa à toute médiation. Ô, adultère quand, tu nous tiens !
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    rnDestin GNIMADI
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