Georges est un jeune cuisinier de nationalité béninoise dont l’âge se situerait entre la trentaine. Il a eu la chance, grâce à un expatrié de trouver de l’emploi auprès d’un couple dont l’époux est un Blanc et la femme, Malienne. Cela fait bientôt une année qu’il est au service de ce couple.
Auparavant, nous apprend-on, il était serviable jusqu’à ce que la femme de son patron a demandé à son mari de lui donner une chambre afin qu’il loge dans la maison. Puisque «ce que femme veut Dieu le veut», le mari n’hésita pas un seul instant pour mettre Georges dans les meilleures conditions, avec à l’appui, une moto Djakarta.
C’est au cours du mois de juillet que pour des raisons de formation à l’étranger, la patronne de la maison fit venir sa mère du village pour avoir un regard sur son mari et sur la maison. Cette dernière, veuve depuis cinq ans et dont l’âge avoisine plus de la cinquantaine, dès son arrivée, commença à entretenir des relations amoureuses avec le jeune cuisinier. La rondeur de sa taille la rendait toujours jeune et elle était d’une beauté attirante.
Dès que le mari de sa fille qui travaille dans une institution de la place part au service, la maison se transforme en un champ de roses pour les deux amoureux. En fait, tout a commencé en début du mois d’août. Comme à son habitude, Georges débarque le matin après le départ du propriétaire de maison, dans le salon devenu désert. Et dès que la vieille dame sort de la douche, elle salue le cuisinier avant de s’introduire dans chambre à coucher, normalement pour s’habiller.
Mais, ce jour, de là, elle appela le cuisinier. Georges ayant franchi le seuil de la porte, la dame qui n’avait qu’une petite serviette à la taille, lui tend une pommade pour la masser le dos. Un service très délicat pour le jeune homme qui était un peu confus. Après moult hésitations, l’épreuve commence pour Georges. Elle demanda au jeune homme de se mettre à l’aise, tout en gémissant sous ses doigts. Comprenez la suite
Depuis lors, les deux amoureux se vouent au spectacle dans la maison. Aucun lieu de la maison n’est épargné. Il suffit des yeux et gestes pour que les deux se retrouvent. Chaque chose à son temps. Le vendredi, 26 août 2011, le patron qui, de retour précipitamment pour prendre son chéquier qu’il a oublié à la maison, gare sa voiture devant le portail et s’introduit au salon. Le deux amoureux qui ne s’en doutaient de rien gémissaient sur la moquette. Le spectacle était aberrant pour le propriétaire qui tabassa le jeune Georges, avant de le foutre à la porte.
Destin GNIMADI