Fait Divers : Une dame perd son mari après l’avoir rendu cocu

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    L’histoire que nous vous racontons est un phénomène qui est actuellement d’actualité et en vogue chez les filles de la capitale et commence à prendre des allures inquiétantes avec la réalité. Dans les petits coins comme on dit, il faut faire attention à sa conduite, surtout si on va vers la trentaine et qu’on n’a pas trouvé preneur. Allez savoir donc pourquoi..

    Sali habite Lafiabougou. Avec des formes rondes et des atouts pour séduire, elle vient de franchir ses 30 ans de vieille fille. Elle n’est jamais parvenue à rencontrer l’âme sœur qui aurait transformé la demoiselle en dame, pour le bonheur d’une conjugaison familiale. Et pour cause ! Le désir ardent de Sali est de rencontrer dans la ville de Bamako un homme à tout faire. Les magasins, les toilettes, les hôtels, la mode, c’est ça la vie de Sali. Les rêves de la «go» sont devenus réalité, il y a à peine une année car elle a eu la chance de mettre la main sur un «gros calibre» de la capitale. En un mot, un homme qui a les moyens. Un éminent voyageur par excellence et prêt à satisfaire les caprices de Sali.

    Mais malgré les sorties et les cadeaux, Sali n’hésita pas à aller trouver dans les rues de Bamako un jeune du nom de Baba. Un beau gosse à l’allure élégante. Sali met le paquet, surtout avec des billets de banque, pour garder le jeune avec elle. Baba vivait toujours chez ses parents quand Sali lui mit le grappin dessus et lui demanda de venir vivre dans une villa. Ce qu’il accepta très vite puisqu’il habitait dans une zone de Kalabanbougou où l’eau courante et l’électricité étaient inconnues.

    C’est ainsi que Sali menait sa vie entre les deux hommes. Tout en mettant le jeune en garde de ne rien dire à personne, sous prétexte de perdre sa place. Engagée, la dame prit le soin d’ouvrir un compte à Baba et lui offrit une moto Djakarta. Mais ce que Sali ne savait pas, c’est que Baba est un homme bavard. Surtout quand il prend un verre de trop. En effet, un soir, il s’est rendu chez Sali sans prendre le soin de l‘avertir. La dame n’était pas présente à la maison. Mais le visiteur fut accueilli par l’homme d’affaires sur la terrasse, avec une bouteille de whisky. Ce dernier savait qu’il avait affaire avec une connaissance de sa femme. Et il lui tendit un piège en se faisant passer pour le père de Sali. A la question: «Aimes-tu vraiment ma fille ? », Baba répondit d’un ton souriant: «J’aime tellement votre fille et je veux faire d’elle la plus heureuse des femmes du monde».  Avait-il bu un peu de trop ? Dieu seul le sait. Fou de rage, l’homme se leva pour administrer à Baba une bonne correction.

    Dès l’arrivée de Sali à la maison, l’homme d’affaires cocu lui demanda de ramasser ses bagages et de partir de la maison avant qu’il ne soit trop tard. A vouloir trop jouer avec le feu, on finit par se brûler les doigts.

    Destin GNIMADI

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    3 COMMENTAIRES

    1. Trop facile ! avec toute la matière que suscitent les événements actuels du Mali vous n’avez que ca à raconter?

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