De nos jours, pour se faire de l’argent, les gens n’hésitent plus à se lancer dans des aventures peu orthodoxes. Il est bien vrai que nous savons tous que la vie est dure dans notre pays, mais pas pour autant se comporter de la sorte. Chacun essaie, à sa façon, de joindre les deux bouts. Quant à certaines filles, elles aiment prendre des raccourcis pour arriver à satisfaire leurs besoins ou du moins à paraître.
C’est le cas de la charmante Rouki, moins de la trentaine et qui s’est illustrée également dans le groupe des filles de la capitale qui n’hésitent pas un seul instant à offrir le plus «précieux de leur corps» contre espèces sonnantes et chancelantes. Depuis la mort de son père et de sa mère, elle vivait chez sa tante paternelle à Ségou. N’ayant pas réussi au Bac, elle est restée à Bamako pour tenter sa chance dans les concours qu’organisent la fonction publique et d’autres entreprises de la place. La malchance étant toujours au rendez-vous de ce côté-là, Rouki a choisi le chemin le plus simple, mais le plus dangereux pour une fille : céder son corps aux hommes qui lui font des avances à cause de sa beauté.
C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans une vie de débauche. Les voisins du quartier finirent par remarquer ses va-et-vient incessants, toujours remorquée par tel ou tel monsieur. Avec cette nouvelle vie, elle réussit à se faire une place dans la société en s’achetant une moto et un téléphone portable de luxe pour frimer, mais aussi pour honorer les rendez-vous. Malgré les gronderies de son tante, elle n’entend pas revenir en arrière. Au cours d’une sortie dans un bar de la place, elle tombe sur un homme du nom de Sow. Elle croyait que l’homme était un nanti et disposait de suffisamment de moyens pour satisfaire ses besoins. Ce monsieur était l’occasion rêvée pour notre demoiselle de sortir totalement de sa pauvreté. Elle s’est laissé emporter en suivant à la lettre les ordres et caprices de Sow.
Or Sow est un homme qui n’a pas de fonction connue ; il ne parlait jamais à Rouki de sa vie professionnelle. N’empêche, Rouki se donnait à Sow à cœur joie et ce dernier lui donnait toujours des liasses de billets de banque pour satisfaire sa gourmandise financière. Ce que les femmes adorent sous nos cieux. Depuis lors, elle ne pensait plus aux concours pour trouver un boulot et ne songeait plus également à se protéger en ayant des rapports sexuels avec Sow. Que savait-elle de la santé de cet homme? Pourquoi l’homme non plus n’a jamais exigé de protection? Les réponses ne sauraient tarder.
Pour bien ferrer sa proie, Sow proposa à la fille de lui louer une chambre à coucher et un salon afin qu’ils puissent s’y retrouver tranquillement seuls. Pour échapper à la vigilance de sa tante, elle créa la tension avec son cousin, en accusant ce dernier de voler la somme de cinquante mille francs CFA. Elle est partie de la maison en insultant toute la famille. Son Sow ne venait que les nuits pour passer du bon temps avec elle.
Brusquement, Sow commença à se faire rare. Il est resté une semaine sans donner signe de vie et Rouki commença alors à s’inquiéter. Que faire ? Elle ne connaît aucun parent du monsieur pour prendre des renseignements. C’est en ce moment qu’elle va voir sa tante pour lui demander de l’aider à chercher son homme qui ne donne plus signe de vie. Sa tante, n’ayant plus envie que Rouki vienne vivre chez elle encore, lui conseilla de rentrer au village car chez elle il n’y avait plus de place pour elle. Le comble dans cette aventure est que Sow a abandonné Rouki avec une grossesse d’un mois et en plus «koro» Sow était séropositif.
Destin GNIMADI
Lol Tjoumi..” «précieux de leur corps» What a fuck !!!”Malgré les gronderies de son tante,” Vraiment cher ecrivain.. repartez a lecole..OMG meme…
N’ayant pas réussis son bac , elle resta à bko tenter sa chance au concours de la fonction publique et avec quel diplôme, sow est serpositf comment le sais tu?
j’en veux à ton directeur de publication, pas toi,
Si tu ne connais rien tu peux faire comme rouki,
les peuhls du son coul merci
Mr ou Mme le ou la journaliste vraiment amélioré votre francais sa sera mieux pour votre carrière vous ne savez pas du tout parler 😥 👿 🙁
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Waou Mali est grave hein mais c’est pas grave il faut appliquer un peu de Charia et sa ira pour tous 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
toi aussi monsieur le journaliste comment quelqu’un qui na pas le BAC participe au concours de la fonction publique?
Oui mina3,sous le régime ATT,une fille pouvait faire et meme passer le concours de la fonction publique du MALI;à condition qu’elle soit charmante et accepte rendez-vous dans les nombreux Bars Chinois.Ces chambres de distribution du VIH,pilulent dans tous les quartiers de BAMAKO.Ces”abattoirs”pour jeunes filles inconscientes continuent à semer l’horreur dans toute la capitale et aucune autorité ne s’en inquiète. 👿
koro à guèlèya ra
Ce GNIMADI aime tellemen parlé des sujets en rapport avec le sexe
sans doute a t’il lui meme de gros problèmes sexuels 😆 😆 😆
peut être c’est lui qui a engrossé ROUKI 😛
Mariam,tu n’aime pas parler,mais aime faire?ok! 😆
Sa montre sans doute que c’est quelqu’un qui aime bien le sexe 😆
Et normal qu’il soit introuvable les peuhls sont des nomades
Jusqu’à la fin de l’article j’étais sur de voir “Destin GNIMADI”
Tu es unique dans ton genre! vas y invente encore, mais pourquoi cette fois ci, tu na pas donné un nom de quartier???
Bravo GNIMADI! 😆
Mais GNIMADI tu sais pas que les peulhs sont immunisés contre le sida?
Ne joue pas avec notre temps monsieur le journaliste! Soyeux serieux et ayez le courage d’apprendre davantage.
comment Rouki a su que sow etait séropositif?!!!!
Certes elle a decouvert qu”elle est séropositive. mais là oùl’histoire bas l’aile, c’est quand elle accuse sow parmi les tonnes d’hoes avec lesquels est sortie.
C’est quoi toutes ces fautes dans cet articles? Ton éditeur a validé ça? C’est quoi le titre du film que tu racontes? Pathétique.
SOYONS COURTOIS PLEASE
ce n’est pas qui va m’apprendre Mr
Oh!!! Destin cherche d’autres articles et laissé tes histoires bidons. Cherche a te cultivé dans d’autres choses interessentes pour etre lu
Destin (le journaliste), d’habitude tu es plus inventif que ça. Tes histoires, bien qu’elles soient à dormir débout, ont le mérite de nous faire rire et oublier un moment ce qu’il y a alentour. Mais cette fois, ton histoire manque de piment.
En dehors de l’histoire, dans la vraie vie, il ne faut jamais oublier que le SIDA est une réalité.
Je pensais que c’est plut Dioncounda cet homme qui est lui aussi refugié quelque part 😆 😆
NOn c’est Nyef lui-meme en personne.
Et après ?
Trop de fautes et pourtant l ordinateur est doté d un système
qui t aide à corriger
Je ne savais pas qu’il y avait des Senghor parmi les commentateurs de Maliweb. Coup de chapeau à vous pour l’avoir souligné.Je pense que vous devez être nouveau les fautes ne sont plus à signaler car les lecteurs se sont plaints sans succès donc autant si faire avec mon grand.
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