Fait divers :La bonne de maison et son «patron»  

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    Pour des raisons multiples, les couples emploient des filles pour les tâches ménagères : garde de bébé, cuisine, nettoyage, etc. La présence et le travail de ces filles sont très utiles en ce sens que les mères de famille se voient ainsi libérées pour s’adonner à autres choses : travail de bureau, petit commerce, etc. Des avantages de ces employées, il n’y a rien à dire. Le problème se pose par contre en ce qui concerne leur encadrement et leur gestion par le couple.

    Dieu seul sait combien de couples ont connu des déboires avec la présence des bonnes de ménage. C’est le cas de la charmante Batoma, plus de la vingtaine, bon teint, bien façonnée par Dame nature qui ne peut laisser un homme bien en forme indifférent. En un mot, la beauté y est. Les jeunes du quartier Lafiabougou Taliko apprécient bien les «chassis» de notre charmante demoiselle.

    En effet, Batoma a été recrutée par un couple dont l’homme (son «patron») a tellement d’admiration pour cette dernière. Et comme toutes les filles savent que l’on atteint le cœur d’un homme en passant par ses yeux, elle se montre toujours à lui bien coquette. Les yeux fardés, tenues collantes à l’extrême et laissant transparaître tous les contours de sa taille, toilettes excessives.

    C’est ainsi que de geste en geste, tout commença un soir à un moment où Madame était en mission à l’intérieur du pays. Elle revint de sa mission très épuisée dans la nuit du mercredi, 18 mai 2011. A peine eut-elle pris le dîner qu’elle décida d’aller se reposer dans la chambre à coucher. Du coup, elle s’endormie profondément. Entre-temps, son homme qui était resté devant la télé pour suivre un film. Du coup, il ressentit le besoin d’assouvir un besoin naturel. Après s’être rassuré que sa femme ne pouvait être réveillée, même pas par le bruit d’un tonnerre, il prit la direction de la chambre de la bonne.
    Les deux «amants» étaient en pleins ébats lorsque la femme, ayant soif, est sortie chercher de l’eau dans le frigo. Mal lui en pris, puisqu’elle finira par découvrir le désolant spectacle, ayant constaté l’absence au salon de son époux. La bonne de maison prit la poudre d’escampette à moitié nue. L’époux, quant à lui, a eu à affronter la colère de sa femme qui finira par ramasser ses cliques et ses claques pour retourner dans sa famille paternelle.

    Voilà comment ce couple a volé éclat par la faute de l’infidélité de l’homme et les pièges (grimasses) de la bonne de maison. Il est donc incontestable que la nuit des temps, l’adultère constitue un élément à part entière dans les rapports des couples légalement unis.
    Destin GNIMADI

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