Fait divers : Bassidiki et les faux seins d’Astou

Le vieux Bassidiki est un retraité qui a perdu sa femme il y a de cela cinq ans. Il vivait seul dans sa villa et menait une vie de pacha d’autant puisque ses trois enfants vivent en Europe.

D’ailleurs, ce dernier allait fréquemment voir ses enfants pour changer d’air. Vu son âge, il ne voulait plus se lancer dans un mariage. Mais, pour son propre plaisir, il prenait de temps en temps les jeunes filles communément appelées «clé 14». Selon nos sources, il a même un jeune «fournisseur» du nom d’Adama. Dès que le besoin se fait sentir, il mettait les compétences de ce dernier à profit pour calmer ses ardeurs. Notre vieux Bassidiki mettait tous les moyens en jeu pour atteindre sa proie. L’autre détail sur le vieux Bassidiki est que sa préférence n’est autre que les filles dont les seins sont debout. La date du samedi 23 novembre dernier, restera à jamais gravée dans la mémoire du «vieux père», comme le disent les Ivoiriens. Il a été embarqué par le jeune Adama. Ce dernier qui avait besoin d’argent, téléphone à son ami Bassidiki pour lui dire qu’il a une «marchandise» au point. Le rendez-vous est pris pour vingt heures chez le vieux.

Comme convenu, le proxénète Adama est arrivé avec Astou. Il est retourné avec les cinq mille francs que le vieux lui remettait d’habitude. La charmante Astou, courte de taille a conclu son marché à quinze mille francs. Après quelques bouteilles de bière, les deux amoureux occasionnels décidèrent de prendre la direction de la chambre pour une partie de jambes en l’air. C’est au cours des caresses que le vieux Bassidiki s’est rendu compte que les seins d’Astou ne sont pas du tout en forme comme il le voulait. Il se lève en disant à la fille de s’habiller. «J’aime les filles qui ont les seins debout. On dirait que tu as déjà une dizaine d’enfants», déclare Bassidiki.

Il met la main dans son portefeuille pour remettre la somme de cinq mille au lieu de quinze mille. C’est là que la moutarde est montée au nez de la jeune fille qui lui bondit dessus pour réclamer son dû. Notre vieux a du son salut à la vigilance et  la promptitude des gardiens du coin.
Destin GNIMADI

Un agent d’Edm électrocuté à Bacodjicoroni ACI
Cette scène macabre s’est déroulée le mardi dernier, aux environs de 17 heures  à Bacodjicoroni ACI, près du bar restaurant «La rose d’or».

L’agent en question est monté sur un poteau électrique. Peu après, une fumée s’est dégagée.

La panique a gagné les occupants du marché. Beaucoup ont pris la poudre d’escampette.

Aussitôt l’alerte donnée, une ambulance de la protection civile est arrivée sur les lieux toute sirène hurlante, sans pouvoir faire grand chose. Finalement, c’est un véhicule d’EDM-SA, muni d’une échelle automatique, qui put faire descendre l’agent mort, entrainant une autre panique. Ce fâcheux  accident vient encore une fois mettre à nu la vétusté des équipements de la société EDM-SA.

Badou S KOBA

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