Fait divers : Quand la baraka lâcha la “jeteuse d’enfant” Haya !

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    Au petit matin du lundi dernier, alors que les habitants du quarier Faladié s’affairaient dans les derniers réglages de leur marathon pour la quête du pain quotidien, Haya, une aide-ménagère d’à peine 20 ans, avait une toute autre idée derrière la tête dans sa ronde aux alentours de la “Boulangérie Bambo”.

    En effet, certains passant la voyaient roder dans les parages, avec serviette en mains, sans se douter qu’il y avait quelque chose la dans. Et pourtant, il y avait bien plus qu’une “chose” la-das, car la pauvre cherchait tout bonnement de se débarrasser de son enfant, un nouveau né d’à peine quelques heures. Seule fausse note : elle était cependant loin d’imaginer que son comportement avait amener une personne à doubler de vigilance à son égard !

     

    Ainsi se lança-t-elle dans sa répugnante entreprise, lorsque brusquement, elle s’approcha d’un coin à l’écart et y déposa la serviette qu’elle tenait en main. Avant de s’engager pour repartir comme elle était venue, elle prit soin (par pitié ou par instinct de mère ?) de découvrir le visage de l’enfant, et vlan, la voilà repartir. C’est ce dernier geste fait par Haya qui amena celui qui l’observait d’aller voir ce que tout cela retournait.

     

    Surprise, c’est un tout “petit ange” que le “Monsieur découvrit”. Tout de suite, il héla l’Aide ménagère qui tenta de se sauver, avant d’être maîtrisée par d’autres passants. Interrogée sur son acte, elle affirme que son intention était de se débarrasser de l’enfant, et non le tuer, pourquoi d’ailleurs, dira-t-elle, elle a fait en sorte qu’un passant puisse l’apercévoir et s’occuper de lui.

     

    Sommée de reprendre l’enfant, elle réfusera en bloc, arquant qu’elle étiat sur le point de retourner au village, et qu’elle ne pouvait pas y retourner avec un enfant en main. Elle recevra même une bonne dose de gifle qui ne la fléchit point sa décision d’abandonner le nouveau-né. Il y avait donc aucune autre solution que de faire appel à la police. Ce qui fut fait. Fin de l’histoire !

     

    Assane SY DOLO

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    1 commentaire

    1. C’est inquiétant le phénomène, mais il faut s’attaquer aux racines, qui est les “MESSIEURS” qui enceintent ces pauvres filles et puis les laissent et les abandonnent comme si de rien n’était passé.

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