Du rififi dans une chambre de passe située non loin de la place CAN. L’homme, plus de la quarantaine, un coureur de jupons par excellence, a passé plus de trois heures de temps sur une femme mariée. Ne pensez surtout pas à une performance à inscrire dans le Guiness des records. Loin de là. En réalité, il a perdu du temps sur la femme parce qu’il ne pouvait plus retirer son «bakary» après l’acte.
Selon nos sources, le patron a jeté du jour au lendemain sa flamme sur la femme de son employé. Tout se passait entre les deux sans que le mari ne le sache. Mais l’affaire va éclater suite à une dispute entre le mari de la dame frivole et le chauffeur du directeur. «Penses-tu que tu es un homme ? Au moment où tu te considères comme un savant ici, ta femme est en bonne position sous le grand chef», a lancé le chauffeur avec un ton moqueur.
Depuis ce jour, le mari a vite compris que le chauffeur est certainement au courant d’une relation intime entre son employeur et sa femme. Naturellement, jusqu’à ce moment-là, le chauffeur qui conduisait le patron, était le seul à être au parfum. Il connaissait très bien l’endroit et les heures où se déroulaient les escapades, au moment où le mari cocu, de nationalité béninoise, était encore au travail. Mais la vengeance de ce dernier ne s’est pas du tout fait attendre. N’a-t-on pas coutume de dire que trente jours au voleur et un jour au propriétaire ?
En ce jour de la fête des amoureux, communément appelée Saint Valentin, le mari est dans la chambre à coucher pour s’apprêter à prendre la route du travail. A cet instant, il entend le bruit du portable de sa femme mis sur mode vibreur. L’appel affiche le prénom de la sœur jumelle de sa femme. Il hèle son épouse pour lui demander de venir prendre son portable. Cette dernière retourne à la cuisine. Sans se douter de quoi que ce soit, la femme volage ne tarde pas à dire à son mari qu’elle doit partir au marché pour que la fête soit au top pour le couple, le soir. Mais en partant au service, l’homme prend soin de dresser une corde a l’entrée de la porte. Ce que la femme mariée ne doit pas traverser et avoir des rapports sexuels avec un autre homme.
Le directeur et l’épouse de son employé se retrouvent dans leur lieu de prédilection. Un coin qui ne se dessèche pas les soirs, les fréquentations étant timides dans la journée. Le couple commande deux plats de frites avec poulet qu’ils dégustent pour se donner des forces avant les choses sérieuses. Le tout arrosé d’une bonne dose de bière. C’est après ce festin qu’ils louent une chambre pour calmer les ardeurs, et, partant, mieux digérer. Trente minutes après, des cris fusent de la chambre. Les vigiles galopent, comme en de pareilles circonstances, pour défoncer la porte. Ils découvrent que l’homme adopte la position d’un chien et la femme celle d’une chienne. Ils sont collés, le mâle ne pouvant plus se décoller de sa proie. Un spectacle digne d’un film porno.
En réponse aux regards inquisiteurs des vigiles, l’homme reste de marbre. Il ne peut s’expliquer ou du moins refuse de se confier. Malgré l’intervention de son marabout appelé à la rescousse, le coureur de jupons voit toujours son «bakary» coincé entre les cuisses de la femme. Le marabout n’ira par quatre chemins pour demander la présence du mari de la femme afin de mettre fin à cette accolade particulière entre les deux tourtereaux. C’est grâce à l’intervention des bonnes volontés que le mari accepte finalement de venir voir le gros gibier tombé dans le piège qu’il a tendu à sa femme. Pendant ce temps, durant trois heures, le couple est resté dans cette position, s’accouplant comme des chiens. C’est grâce à deux œufs de poule que l’homme et la femme se sont séparés sous le regard des adeptes des bars. Moralité : lorsqu’on est un coureur de jupons impénitent, mieux vaut prendre quelques précautions pour éviter le pire. Surtout gare à ceux qui adorent fréquenter les femmes d’autrui.
Destin GNIMADI
si cela arrivait à tous ceux qui font la meme chose, les celibataires auraient au moins la paix!!!
Sirin nia ta yoromin nia blayen !
certains donnent la priorité aux femmes mariées dans leur vie alors kil y a tellement de jeunes filles libres et sans pbs.
il n’a eu k ce kil merite
le mali est pays de debauche par exelence……que dieu nous protege…
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