Entrée du pont Fahd : Une fumée qui empoisonne la vie des usagers

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    C’est insensé de dire que Bamako est sale. Si certaines capitales africaines se distinguent par des efforts entrepris pour débarrasser les populations des amoncellements des tas d’ordures du quotidien des citoyens, Bamako reste encore une ville  qui affiche sa fierté avec ces montagnes d’ordures, qui se concurrencent en volume de commune en commune.

     

    Même si le gouvernement de Oumar Tatam Ly tente de congédier ce mauvais sort, il n’en demeure pas moins que les responsables de la question manquent de volonté. Pour preuve, depuis plus d’une semaine maintenant, une fumée nauséabonde empoissonne la vie des usagers du pont Fadh. Pourtant cette fumée se dégage dans un amas d’ordure situé près de la cité ministérielle, qui se consume sous la barbe et le nez du Premier ministre et de son ministre de l’Assainissement. Même étant  sous des climatiseurs dans des bureaux hermétiquement fermés, l’importance de la fumée est de sorte qu’elle n’échappe point à leur vue.

     

     

    Il urge que les Autorités municipales y font face. Car, ce dépôt d’ordures n’est pas à un endroit indiqué pour y servir. Il est non seulement exposé au fronton des visiteurs de notre capitale, mais sur la berge du fleuve au milieu d’une bananeraie qui se consume par les flammes qui surgit des ordures en feu. Vivement de nouvelles autorités communales, qui seront soucieux du bien être du cadre de vie des Bamakois et  des endroits qui font la beauté de Bamako.

     

     

    Mohamed A. Diakité

     

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    1 commentaire

    1. Grad Dieu! Nos journaleux écrivent dans quelle langue déjà! En tout cas, ceci n’est pas du français!Voyez vous même ça:”Il urge que les Autorités municipales y font face. Car, ce dépôt d’ordures n’est pas à un endroit indiqué pour y servir. Il est non seulement exposé au fronton des visiteurs de notre capitale, mais sur la berge du fleuve au milieu d’une bananeraie qui se consume par les flammes qui surgit des ordures en feu. Vivement de nouvelles autorités communales, qui seront soucieux du bien être du cadre de vie des Bamakois et des endroits qui font la beauté de Bamako.”

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