Du bar à la maison conjugale

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    Une affaire qui soulève des questions à kalaban. Les scènes d’adultères divisent du jour au lendemain les ménages. Quand on demande à un homme pourquoi il flirte avec la femme d’autrui, on s’entend répondre par des propos du genre : « Elle est en forme, bien réluisante et vraiment jolie et très belle » Voilà qui est bien dit et c’est souvent vrai. Mais c’est aussi dire que la tienne ne présente pas le même aspect.

    Il s’agit bel et bien de Kona. De retour de la France en 2011, il s’est marié avec la charmante Massi. Cette dernière vit dans des conditions morales, matérielles, financières. En un mot, elle vit dans un environnement de paix, de quiétude et bénéficie de la considération de ses parents. C’est dans ce cadre qu’ après avoir célébré son mariage, son père n’a pas hésité à lui remettre la clé d’une maison sise à kalaban. Unis par la bénédiction des parents, Kona et Massi vivaient tranquillement dans leur maison avec une ménagère. Précisons que Kona travaille dans un hôtel de la place et sa femme au sein de l’entreprise de son père. Etant dans une grande maison, le couple décide de mettre en valeur la maison. En un temps record, cinq chambres à coucher un salon ont été construits. C’est dans ce sillage que grâce au concours d’une agence immobilière, Fatou, plus de la trentaine et d’un bon teint devient locataire. Selon nos sources, elle est agréable au vue et avait des atouts pour éblouir l’homme. Un bel après-midi, Kona fut licencié pour avoir été surpris dans les toilettes de l’hôtel avec une collègue. De bouche à oreille, la femme est informée. Il dira à sa femme que c’était sous l’effet de l’alcool qu’il à commis  l’acte. Pouvait-elle mettre fin à son mariage ? Non. Elle était déjà enceinte. Elle portait une grossesse de cinq mois et a accepté malgré elle le pardon demandé par son mari. Faute d’emploi, Kona s’est lancé dans l’alcool. C’est ainsi qu’un soir, il soulevait le coude dans un bar et croise la «go» Fatou. Pour atteindre sa proie, le bourreau de Kona demenda à la fille de boire dans son compte. Tout a commencé dans le bar. Cette dernière qui est une «fille de joie» cherche de l’argent pour ses besoins. Les deux amants se voyaient régulièrement dans le bar. L’habitude est une seconde nature. Emporté par l’envie en cette soirée du 22 juin, il se leva à pas feutrés pour se rendre dans la chambre de la locataire Fatou. C’était sans compter la présence d’un locataire qui sortait de la douche. Ce dernier n’était du tout en bon terme avec Kona. Il l’a même menacé un jour de mettre ses affaires s’il accuse encore du retard dans le loyer. Tôt le matin, l’affaire était sous l’arbre à palabre. La ménagère ne tarda pas à mettre sa patronne au parfum. Le week-end dernier était le grand. Vers minuit, croyant que sa femme dormait profondément, il se leva sur la pointe des pieds et rejoignait la charmante Fatou. Sur le champ, elle alerta les autres locataires. Il a été pris la main dans le sac. Massi demanda aux deux amants de partir de la maison avant qu’il ne soit trop tard. Ajourd’hui, il a la liberté pour s’adonner pleinement à Fatou. Les amateurs des escapdes…A bon entendeur salut.

     

    La Rédaction

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    17 COMMENTAIRES

    1. Massi peut porter plainte au niveau de Ançar Dine Tombouctou pour qu’ils recoivent chacun 100 coups de fouets. 🙄 🙄 🙄

    2. Il est nul ! Il ne sait pas écrire ! Il est complètement décousu à l’image de son style !!!!!! ET C’EST UN JOURNALISTE MALIEN ….
      Qu’avons nous fait pour mériter pareille médiocrité ?

        • C’est le prototype de journaliste malien!!!!!!!!!!!!!
          Aventurier, un peu de tenue! Cet article est nul et n’honore pas le Mali

    3. Il est nul ! Il ne sait pas écrire ! Il est complètement décousu à l’image de son style !!!!!! ET C’EST UN JOURNALISTE MALIEN ….
      Qu’avons nous fait pour mériter pareille médiocrioté ?

      • Il mérite tout simplement d’être battu! Mais il est encore mieux que ces journaleux qui se prennent au sérieux en se mêlant soit disant de la politique et en voulant mettre les maliens dos à dos!”Allah té dji to nônô là” 😈 😈 😈 😈 😈

    4. ENCORE UNE HISTOIRE BIDON INVENTE PAR UN JOURNALISTE …
      C’ EST BIZARRE TOUTES SES HISTOIRES BIDONS SE DEROULENT A KALABAN ( quel KALABAN ????)
      COMMENT UN COUPLE QUI VIT DANS DE BONNES CONDITIONS FINANCIERES ET QUI CONSTRUIT 5 CHAMBRES EN UN TEMPS RECORD VA HABITER EN MEME TEMPS QUE LES AUTRES CO LOCATAIRES SUR LE MEME LIEU ???
      FATOU DEVIENT LOCATAIRE : depuis quand a ton vu une femme seule ( sans enfant ) au MALI devenir locataire ?
      TROP DE MENSONGES CE JOURNALISTE NE S’EST MEME PAS INVENTE DES HISTOIRES CREDIBLES !

    5. Quelle honte pour le Mali. On souffre de l’autre coté et certains sont là à dire des bobard. Aw ka sabassa.

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