”Les pourfendeurs n’avaient d’autre dessein que de ternir mon image ”
Dans une mise au point déposée à notre rédaction relative à l’article paru dans nos colonnes et intitulé ”Fausse accusation de pédophilie aux 1008”, Maïmouna Kane affirme être victime d’une cabale de la part de ce qu’elle qualifie ses pourfendeurs.
A Monsieur le directeur du journal ”Le Challenger”
Monsieur le directeur, suite à l’article passé dans votre journal du 27/ 09 /2010, sous le titre ”fausse accusation de pédophilie aux 1008 logements : la plaignante voulait ainsi protéger son business”, je voudrais avec tout le respect que j’ai pour votre journal et votre personne, porter un démenti aux propos diffamatoires, sans fondements de l’écrit de votre journaliste Chiaka Doumbia.
Monsieur le directeur, à l’entame, je vous assure que votre journaliste a manqué de tact, car n’ayant jamais fait un recoupement. Je n’ai jamais été dans une affaire qui me concerne. Vous comprendrez aisément que votre journaliste s’est laissé piéger par les pourfendeurs qui n’avaient d’autre dessein que de ternir mon image auprès de mes voisins, mes proches, mes supérieurs. Votre journaliste s’est plutôt attaqué à ma personne que de rendre les faits.
Monsieur le directeur, pour éclairer la lanterne de vos lecteurs, votre journaliste peut contacter la brigade des Mœurs, le Docteur Moctar Diaby du service gynéco de l’hôpital Gabriel Touré, l’imam du quartier.
Monsieur le directeur, c’est sur intervention de l’imam du quartier des 1008 logements que j’ai accepté de mettre fin à l’affaire. Voici ci-jointe la copie du retrait de ma plainte.
Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez recevoir Monsieur le directeur, l’expression de mes sentiments les plus distingués.
Maïmouna Kane,
secrétaire à la direction administrative et financière du ministère de l’Agriculture.