Depuis un certain temps, les employés de l’entreprise de distribution et Négoce de produits alimentaires broient du noir. Ils s’érigent contre le comportement peu orthodoxe du directeur général, Hassan Sahel. Et gare à un imprudent qui lève son petit doigt pour le dénoncer ouvertement, ce dernier est automatiquement menacé, voire même licencié. Quelle intimidation !
Les employés de l’entreprise de distribution et Négoce de produits alimentaires, traversent un véritable calvaire depuis belle lurette. Cette situation perdure à telle enseigne que le droit des employés est foulé au sol sans que justice soit rendue.
Pourtant, afin de lutter contre la corruption, le chômage et réduire la pauvreté, les autorités sont à pied œuvre pour la cause. Pour preuve, les récépissés et des registres de commerce sont attribués à longueur de journée en faveur des entrepreneurs et hommes d’affaires. Mais force est de reconnaitre que ces efforts sont foulés au sol par certaines personnes mal intentionnées au vu et au su des autorités sans que justice soit rendue.
De quoi s’agit-il ?
En effet, l’entreprise de distribution et Négoce de produits alimentaires, située à la Zone industrielle du NIF 082104164B n’est plus que l’ombre d’elle-même. Pour en savoir plus, notre reporteur a mené une investigation autour du sujet. Il ressort de nos enquêtes que l’entreprise évolue dans le domaine de la distribution alimentaire (sel, éponge métal galvanise, liquide vaisselle, lait INCOLAC, chocolat, lait INCOLAC AROMATISE) et que les emballages de certains produits ne sont pas destructibles face à l’environnement. Force est de reconnaître que le droit des employés est foulé au sol et gare à un imprudent qui ose lever sont petit doigt pour réclamer ses droits. Ce dernier est automatique suspendu, voire même licencié à cause du comportement peu orthodoxe du directeur général répondant au nom Hassan Sahel, de nationalité libanaise. Selon nos sources, l’entreprise DISNEPAL bénéficie les contrats huppés de l’administration et la MINUSMA, les mines, ainsi que certains opérateurs clandestins.
Selon notre source, les employés sont privés de leurs droits, primes, mesures de sécurité, l’inscription à la sécurité sociale (CANAM, INPS). Pour défendre le droit des employés, le comité syndical dirigé par son secrétaire général Bala Keïta aurait entamé des démarches auprès des autorités. Nos sources confirment également que le secrétaire général, non moins l’agent commercial est suspendu et mis à la porte depuis plus de trois mois, pour motif qu’il a refusé d’être employé comme ouvrier. Il aurait été interpellé par le fameux directeur général pour signer un contrat de chômage technique en complicité avec un cadre de l’inspection de travail don nous gardons l’anonymat pour l’instant, en attendant qu’il soit mis dans ses droits. Quelle injustice !
Nous y reviendrons !
Yacouba Dembélé
vous appelez cela un fait divers ? je meurs de honte !!!
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