Diré : Il tue une fillette, sans être inquiété

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    Diré : Il tue une fillette,  sans être  inquiété

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    La scène s’est passée le 30 juillet dernier à Diré. A bord de son véhicule, le maire de la commune rurale de Tienkour (commune du député Nock Ag Atia), Almoudou Oumar Touré provoque un terrible accident de la circulation et tue une petite fille qui balayait devant une porte. L’affaire qui est portée devant la gendarmerie pourrait faire long feu dans la mesure où le député remuerait ciel et terre pour l’étouffer. Ce dans la mesure où la victime tuée est la fille d’un de ses Bellah. Deux heures de temps seulement après l’accident, les populations de Diré ont aperçu le maire devant sa boutique avec sa voiture garée à côté de lui. Et pourtant, en plus de la gendarmerie, Diré dispose d’un juge qui de toute évidence ne semble pas pressé de  lever le petit doigt.

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    Il se dit que le maire Almoudou Touré n’est pas à son premier accident et qu’à chaque fois, il n’y a pas eu de suite. Cette fois-ci, il y a eu mort d’homme et les populations sont bien curieuses de voir comment l’affaire va évoluer.

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    Presse en flagrant délit d’ «inconfraternité »

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    C’est le moins que l’on puisse dire du papier de notre confrère,le  «Canard Libéré». Le Scribouillard, non moins empereur du Canard, titre : Affaire de la maîtresse du Président : Trahison à l’air,

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    Des journalistes tentent de monnayer leur soutien au Procureur Sombé Théra »

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    Au Scribouillard de chapeauter «Affaire de la maîtresse ou grosse affaire de la presse ? En tout cas, le petit sujet de dissertation n’a pas fini de livrer tous ses dessous scabreux. Affaire d’Etat ou règlement de compte politicien ?» C’est juste malheureux de constater que des cons- frères, pour sauver, «on ne sait quoi », pousseraient la vilenie jusqu’à ramer à contre-courant des règles élémentaires de la confraternité et surtout de la défense de la liberté de la presse.

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    Si les révélations de notre con- frère s’avéraient, c’en est fini de la profession. Sauf à la refonder avec des sacrifices subséquents. Pauvres scribouillards du ventre et d’opportunisme vil. Pitié ! ça suffit, le ras des pâquerettes et les caniveaux nauséabonds. Pauvres de nous !

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    MHC

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