Dépravation des mœurs à Bamako : Un journaliste «don juan» a failli amener une folle à l’hôtel

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    «Mieux vaut rater un baiser que de baiser un raté», n’a-t-on pas coutume de dire ? En tout cas ce jeune journaliste était bien parti pour amener dans son lit d’hôtel cette jeune dame qui ne jouit pas de toutes ses facultés mentales.

    La scène s’est passée au quartier du fleuve dans un service public de l’Etat dont nous garderons le nom. Ce jeune journaliste était parti pour un reportage. Ce jour, ce reportage a pris un peu de retard. Entre temps, à la porte avec les autres confrères un débat houleux sur la situation du pays s’était engagé. Soudain un silence de cimetière, car venait d’apparaitre une beauté, une sirène qui ne pouvait passer inaperçue.

    En réalité, cette jeune dame dont il s’agit, n’a rien d’une folle. Elle est très belle, souriante, son charme, ses rondeurs et sa poitrine généreuse ne laissent  aucun homme indifférent. Surtout pas notre confrère qui a du mal à supporter une femme avec une telle beauté angélique. Comme tout «don juan», il ne passe pas par mille chemins, il appela la jeune dame.

    Très ravie visiblement par la demande de ce gentil, charmant Monsieur, bien habillé, elle s’approche donc à notre confrère pour retourner la politesse. Une causerie intime s’installa entre les «deux amants» de circonstance qui venaient à peine de se connaitre.

    Pour notre confrère, sa journée est bien gagnée, car un gros poisson vient de mordre à son hameçon. Les deux, côte à côte comme des tourtereaux, se sont livrés à une scène on dirait qu’ils se connaissaient depuis des années. Et tant pis pour le reportage du jour, il est reste dehors avec la jeune dame jusqu’à la fin de la cérémonie qu’il était venu couvrir. Et quand  les autres confrères sortent de la salle, ils s’approchent des «deux amoureux».

    L’un des confrères, à travers les propos insensés de la jeune dame s’est vite aperçu que la jeune dame ne jouit pas de toutes ses facultés, si tôt il fera signe aux autres qui comprendront très vite et pendront leur distance. Au moment où le «don juan» conclut l’affaire et voulait amener la jeune dame dans un hôtel pour passer du bon moment, elle exige d’amener son fils avec elle. Toute chose que le jeune homme a essayé de comprendre malgré le paradoxe.

    Mais à la grande surprise de notre confrère, il la voit revenir avec un chat qu’elle tenait si prompt avec autant de tendresse qu’il comprit que la bonne a des problèmes. C’est là que le confrère a su pourquoi tous les autres confrères avaient pris congé de lui et de sa dulcinée, malade mentale. Il prend son engin et fonce à l’air. Comme pour dire que l’avantage d’être intelligent, ce qu’on peut toujours faire l’imbécile…. En tout cas, il l’aura fallu de peu !

    Fousseyni SISSOKO

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    4 COMMENTAIRES

    1. Cher Fousseyni Sissoko, vous vous considérez comme un journaliste ou plutôt un conteur? Ce genre de récit est digne des histoires de Djéli Baba Sissoko ou son fils Djéli Solo???
      En plus, il ne faut pas gâter le nom des vrais journalistes en nous racontant des histoires à faire dormir débout. Vous n’avez pas mieux à faire?

    2. Quel journaliste….. Le Mali est complètement foutu… comment peut on oser poster des chiffons de ce genre sur le WEB à la face du monde…..

    3. «Mieux vaut rater un baiser que de baiser un raté», n’a-t-on pas coutume de dire “. 👿 👿 😥 😥 😥
      ” Il prend son engin et fonce à l’air…” 👿 👿 👿 👿

      Ces deux phrases denotent la vulgarte et la nullite de l’auteur de cet “article”!

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