Dans notre société, les us et coutumes étant considérés comme l’émanation de principes traditionnels, posent des limites à certaines pratiques humaines sans en avoir explicité la teneur. La triste réalité demeure le non respect de ces règles coutumières à cause de leurs sens dépourvus d’explication rationnelle, selon la jeune génération pour qui la seule vérité reste celle de la raison.
En effet, dans l’histoire que nous allons partager, la malheureuse coïncidence est perçue par les garants des valeurs coutumières comme étant les conséquences d’un manquement à la tradition bambara interdisant la célébration du mariage de façon simultanée des sœurs directes ou sœurs de lait. Voici les faits.
Les sœurs qu’on désigne par AS l’aînée, et KS la cadette, étaient toutes fiancées. Les fiançailles de la grande sœur dataient de plusieurs années, et celles de la petite sœur, juste un an au mois de juin dernier.
Quelques mois après ses fiançailles, la sœur cadette et son fiancé ont décidé d’un commun accord d’organiser leur mariage à leur premier anniversaire de fiançailles. Quand ils ont informé les parents, la famille de la fille a appelé le fiancé de la grande sœur aussi, pour lui demander de se préparer pour la même date afin de célébrer les deux mariages en même temps sous peine de libérer leur fille. N’ayant pas d’autres options, le fiancé de AS n’a manifesté aucune opposition à cette demande.
Les préparatifs ont commencé, les familles de loin et de près, tout le monde a été invité : les amis, les voisins, les collègues… Des artistes de renommée nationaux ont été appelés.
Voici enfin le jour du mariage, la joie était au rendez vous, les mariés ont été amenés à la mairie. Cependant lorsque les filles sont devant le maire entrain de signer leur union, leur maman a fait un malaise qui a duré un moment. Pour ne pas casser l’ambiance face à la montée de la souffrance, elle a fait appel à une de ses sœurs pour l’amener en cachette voir un médecin avant le retour de ses filles.
Lorsque les mariés ont fini de signer, les protocoles ont appelé à la maison pour dire aux parents de s’apprêter à la venue des mariés pour les saluer. C’est alors que l’absence de la mère et une de ses sœurs a été remarquée. A ce moment précis même, leur mère avait déjà rendu l’âme.
Lorsqu’on a appelé sur son téléphone c’est sa sœur qui répond, et d’après notre source, une seule phrase est sortie de sa bouche : « Comment annoncer cette nouvelle aux filles aujourd’hui ?»
Ce fait est-il réellement la conséquence d’une pratique coutumière prohibée comme pensent les vieilles personnes?
M. K. DIABATE (maliweb.net)
des balivernes j’ai perdu ma maman le jour du mariage de ma deuxième épouse qu’elle avait agréée elle même .et depuis nous avons faits trois enfants .la mort intervient dans tous les cas au moment qu’on ne choisit pas .car on ne choisira jamais même 100 ans révolus
Paix à son âme
pétré c’est la joi qui la tué dèhhhh 😈 😛 😀 ❗ 8) 😯
Je ne vois aucun lien entre la mort d une mère et le choix de la date de mariage de ses enfants, absolument aucun lien.
Simple coïncidence
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