Dans la République de Bingué tout est désormais permis. Même obligé le propriétaire de maison à céder par force sa villa parce que le locataire est devenu ministre. Et ministre, la villa est en train de gratter le ciel.
Militaire et ministre, il n’a aucun respect pour qui que ce soit dans ce quartier. Pourtant, il a une femme qui a toujours été exemplaire. Comme ses collègues, en chassant le grand menteur du pouvoir, ils ont réclamé les arsenaux pour nous libérer du joug du MNLA. Entretemps, le septentrion tombe et ils cherchent à gérer la République de Bingué avec des montages grotesques, tout azimut. N’étant pas parvenu, désormais dans les grosses bagnoles, portant des vestes à prix d’or, se servant à souhait du riz RM 40 et excellence, la vision change. Finalement, c’est se faire la poche qui préoccupe et surtout se taper une belle villa avec toutes les commodités pour les progénitures. Ainsi, il faut se déployer dans les postes juteux en se servant et servir ses copains, coquins, etc., même pas à bonne intelligence. Seulement, parce qu’on détient la baïonnette. Savons-nous que la roue de l’histoire tourne, certainement que non. Mais tout a une fin et souvent la fin peut-être tragique. ‘’L’humilité et la courtoisie sont des aspects de la piété’’ Prohète Mohamed (PSL).
B. DABO
MTC
Comment devient on journaliste au Mali?
un tournevis sans fin,espece de journaleux
maintenant les journalistes ont tellement peur qu’ils parlent dans le vide; un article sans nom !
En effet, l’auteur de l’article en dit trop ou pas assez : il faudrait donner un nom à ce ministre, c’est cela le courage.
On applaudit un régime et on vomit sur lui quelques semaines après. C’est pourquoi il faut cesser de croire excessivement au changement. Depuis 1960 le Mali n’a pas changé dans la tête des gens. Même après des milliers de morts pour ce changement. Rien…………foyiiiiiiii……poutèrèèèèèèèèè.
“Gros jaloux saboteur aux yeux de crocodile”. Je suis sure, ta jalousie te donne frequemment des migraines et des insomnies et tu dois passer une nuit sur deux des nuits `blanches. ” Take it easy !”. Quand a cause de cette jalousie, le clairon va sonner….tu auras enfin la paix. Pas si sure! L’au-dela reserve aussi des surprises.
Avec un tel article, on ne doit pas s’etonner du traitement infligé à certains journalistes!!! Je me pose une question: en ecrivant un tel chiffon, le “journaliste ne devrait il pas avoir honte? 👿 🙁
Si cela s’appelle article de presse, c’est que moi aussi je vais créer un journal pour publier ce que je qualifie de vomissures abjectes.
respecter vos lecteurs et ayez assez de couille.s pour nommer le ministre en question
ok ok, c’est ça la beauté de cet article “sans début ni fin”. Wait and see pour la fin!
un article sans “début ni fin”
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