Circulation routière les comportements des agents de police sont décriés : . Que faut-il faire ? ou est le gouvernement ? Ce qui s’est passe à la descente du pont.

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    Au petit soir de la fête du Samedi 23 mai 2020 un drame inqualifiable s’est produit à la descente du pont notamment à la descente ou stationnent des policiers à quelques mètres de la descente la mission de la circulation routière, comme son nom l’indique est d’assurer sur les grands axes la fluidité de la circulation et à rappeler à l’ordre les mauvais usagers de la route. Cela s’appelle la mission régalienne de la compagnie de circulation routière. Dans l’accomplissement de cette mission il ya toujours à dire et à redire dans les relations souvent conflictuelles entre chauffeurs et policiers. Mais, comme le dirait cet adage de chez nous « pousse-pousse » s’arrête au mur, le jour de la fête, lors d’un entretien d’Ibou SY dans une vidéo a affirmé par le magistrat lui-même qu’un agent de police a raclé son arme sur lui voici les faits relatés dans la vidéo, un policier a sifflé le juge Fodé Ousmane DIAKITE vers 20 à 20h 30 et lui demanda de s’arrêter en demandant les papiers du véhicule et le magistrat en question donne la carte grise du véhicule et l’agent non satisfait demandant encor son permis de conduire « le magistrat rappel que lui en tant que professionnel à la matière pense rectifier le policier que ce n’est pas l’infraction du permis puisqu’il n’a pas brulé le feu ni fuir donc la carte serait suffisant pour ce contrôle et l’agent de la police a insiste jusqu’à ce qu’il montre sa carte professionnelle » auquel mentionne de laisser passer au détenteur de la carte qui est attribué non seulement aux juges , aux députés et aux ministres …et puis signé par un décret présidentiel toujours l’agent insatisfait demande le permis du juge Fodé, il a rappelé le chef de fil pour l’explication et ce dernier a été plus pire que son agent a avoué le magistrat que dit l’art. 25, Il est interdit au fonctionnaire de police d’exercer dans le service comme en dehors du service des tortures, sévices ou traitements, cruels, dégradants ou humiliants et de constituer, d’une manière générale, une entrave à la jouissance des droits fondamentaux de la personne humaine, sauf cas expressément prévus par la loi.

    En Somme il appel tous les agents de la police de travailler dans la légalité des textes et respecter l’autorité en plus la police n’est que civile comme nous arrivé à la maison l’uniforme ne servira pas grande chose et la vie en société va recommencer donc qu’ils se calment.

    Mohamed SOGODOGO

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