Lorsqu’on soigne la pauvreté de quelqu’un, on lui aura sauvé des maladies et augmenté son espérance de vie. La construction des caniveaux dans une partie de Djicoroni-Para à hauteur de plus de 7 millions de FCFA est l’œuvre d’un homme de Dieu et de cœur : le Grand Maître Cheick Soufi Bilal. Nous avons visité le chantier, le 3 octobre dernier.
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Il s’agit de la construction de deux caniveaux au niveau de la rue 338 à Djicoroni-Para Abdoulayebougou en Commune IV du district de Bamako. L’événement a rassemblé plusieurs notabilités et chefs religieux du quartier. Chacune de ces personnalités témoigne du plus profond de son cœur, la bienfaisance et la grandeur d’âme de l’homme. Selon le chef de village de Abdoulayebougou, c’est un homme de Dieu tout court. Depuis son arrivée dans son quartier, il n’a cessé de voler au secours des plus démunis. L’un des actes les plus sociables du Guide spirituel soufique, c’est d’avoir accepté la démolition de sa maison nouvellement construite en dur qui se trouvait là où devrait passer la route. Les exemples ne finissent pas.
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L’imam du quartier abonde dans le même sens. Pour ce dernier, il ne s’agit guère de jeter des fleurs sur le Grand Maître Spirituel : l’on ne doit pas douter un seul instant de la Sainteté de Cheick Soufi Bilal du fait de sa magnanimité, de sa grandeur d’âme et de la philanthropie qu’il incarne. Ces valeurs sont propres aux « bien-aimés » de Dieu, lance l’imam de Abdoulayebougou. Le président de l’association des jeunes musulmans de Bamako a à son tour félicité Cheick Soufi Bilal pour ses immenses œuvres humanitaires qu’il offre gracieusement aux populations les plus démunies.
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Selon l’entourage du Grand Maître, la construction des deux caniveaux sur la route 338 à Djicoroni Para Abdoulayebougou, les matériaux de construction, l’étude de faisabilité en passant par la main d’œuvre, ont coûté au bienfaiteur la somme de 7. 585.000FCFA. Ce geste n’est en réalité que la face émergée de l’iceberg.
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Ceux qui connaissent Cheick Soufi Bilal ne peuvent pas tarir de le conter. Partout où il passe, il pose des actes hautement humanitaires à telle enseigne que certains l’assimilent à un messie venu du ciel pour guérir la souffrance des pauvres. On se rappelle dans ce même quartier, l’homme de Dieu a l’habitude de ravitailler le centre de santé en produits anti-paludéens pour les femmes en état de grossesse et les nouvelles maternités. Aux enfants dont les parents vivent dans la précarité, il prenait en charge leurs frais de fournitures scolaires. A Tiémokobougou, il a construit une école entière pour les enfants de ce village. Les frais des fournitures scolaires de tous les enfants des parents démunis, lui revenaient. Pour le Guide Spirituel, la religion musulmane ne veut pas dire seulement prendre l’argent des autres, il signifie aussi donner et rendre la religion utilitaire. C’est cela la vertu cardinale d’un homme de Dieu. Cheick Soufi Bilal a plusieurs autres projets pour les démunis. Merci Grand Maître.
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