A la retraite depuis le 31 décembre 2017, Fatoumata Coulibaly dite Fatimdjèma agente au niveau du centre III de la direction des impôts du district de Bamako (DID) continue de recouvrer l’argent auprès des commerçants. Cette situation inédite commence à faire grincer les dents.
Agente à la direction des impôts du district de Bamako (DID) centre III depuis plus de 20 ans, Fatoumata Coulibaly dite Fatimdjèma fait partie des fonctionnaires de l’Etat qui ont fait valoir leur droit à la retraite cette année. Malgré ce nouveau statut, Fatimdjèma ne veut pas rompre avec ses anciennes habitudes. Selon plusieurs contribuables, Fatimdjèma continue de leur soutirer de l’argent dans le cadre de recouvrement d’impôts.
Pire, elle vient chaque jour au bureau au vu et au su de tout le monde. Selon nos sources, la majorité de ses rendez-vous avec les commerçants est fixée durant le week-end au bureau. Une manière pour elle d’échapper à la vigilance des autres travailleurs pour mieux s’occuper illégalement des contribuables.
Au même moment, les jeunes stagiaires sont remerciés dans la même boite pour l’abondance du personnel. Le ministre de l’Economie et des Finances est fortement interpelé pour mettre la dame de fer hors d’état de nuire.
Affaire à suivre
Wassolo
CETTE PRATIQUE EST COURANTE PARTOUT AU MALI. LA PREUVE C’EST QUE IL YA DES PATRONS VEREUX QUI DEVAIENT ALLER A LA RETRAITE DANS UNE SOCIETE MINIERE DE LA PLACE REFUSENT DE SE RETIRER, ALORS QU’IL UNE COMPRESSION EN COURS DANS LA MEME SOCIETE. DISONS CE CAS DE FIHURE SE TROUVE PARTOUT AU MALI. IL FAUT LES COMPRENDRE , CE SONT DES GENS QUI ONT PASSE LEUR VIE A CREER DES PROBLEMES AUX PAUVRES EMPLOYES ET ILS VONT COUTE QUE COUTE PAYER CHER. IL YA UN DES PATRONS DE LA DITE SOCIETE QUI PENNE A RETROUVER SA DULUCINER QU AURAI DISPARU. CE N’EST QU’UN DEBUT CAR LES CHOSES NE FONT QUE COMMENCER . ET IL PARAIT QUE LORS DES RENCONTRE SYNDICALES LES JEUNES SYNDICALISTES N’ONT AUCUN EGART ENVERS LUI, ET MEME LE CONSIDERE DEJA COMME QUELQU’UN QUI EST DEJA A LA RETARITE. VOUS VOYEZ QUE LE RIDICULE NE TUE PAS. ET L’HISTOIRE DE LA FUITE DE SA FEMME EST DEVENU LE DEBAT DE TOUS LES LIEUX DE CAUSERIE. ET EN CONCLUSION ON TROUVE A DIRE QUE CELA EST NORMAL ET IL FALLAIT S’Y ENTENDRE.
Cette pratique a encore de beaux jours devant elle. Un cas des plus scandaleux est celui que vit l’imprimerie du ministère de l’éducation où il semble que le mot rétraite n’est que chimère.
En effet depuis 2015 un certain Diamoye Boré peine à ceder la place aux jeunes parce que detenant la carte maîtresse de séant, les différents ministres qui se sont succedés dans ce département ont tous fermé les yeux Dieu seul sait pourquoi. Et d’ailleurs tous les travaux d’imprimérie sont susceptiles d’y être effectués mais hélas les travaux d’impressions sont exécutés ailleurs pendant que la logistique et le personnel s’y prêtent bien.
Voilà une plaie qu’il urge de soigner et guérir pour permettre l’emploi des jeunes tant voulu par les gouvernants.
Hé bon dieux le ridicule ne tue pas c’est au Mali qu’on peut voire c’est chose mais c’est pas Fatimdjèman c’est ceux qui vont l’avoir au bureau le week_end. Comment le Mali peut avancer?
Comments are closed.