L’insécurité au Mali a atteint le sommet avec les braquages aux heures de pointe. Jeudi soir aux environs de 16h47 mn, deux hommes armés font irruption dans l’économat de la faculté des sciences économiques et de gestion et somme l’économe Mme Maiga Nana Kassambara d’ouvrir le coffre. Elle obéit le pistolet sous la tempe. L’opération a été tellement bien montée que la pauvre dame n’a pu réagir qu’après le départ des malfrats.
Ce braquage est le signe que l’insécurité au Mali est bien une réalité. Si les bandits profitaient de la nuit pour mener les opérations de vol, ils deviennent de plus en plus audacieux au point d’attaquer en plein jour. Ce qui s’est passé le jeudi soir à la Fseg n’est pas une mise en scène : le fait est bien réel. L’économat de la faculté se trouve dans un couloir qui n’est connu que du personnel est les portes sont toujours hermétiquement fermées. Les deux malfrats étaient tellement bien costumés que quand ils ont frappé à la porte de l’économat l’innocente dame ne s’était doutée de rien et a ouvert la porte. Elle est aussitôt sommée de baisser la tête, si elle tient à sa peau et si elle veut continuer à voir ses enfants. Prise de panique, elle n’avait d’autres choix que de s’exécuter. Les deux malfrats vidèrent le coffre et parviennent à s’évader. Ce n’est qu’après le départ des malfrats qu’elle donna l’alerte trop tard pour que les étudiants bouclent les issues et tentent d’arrêter les bandits qui avaient déjà vidé les lieux. Le doyen Papa Kanté, un homme réputé pour sa rigueur, fait appel au 4eme arrondissement. Rapidement, l’implacable commissaire Mamoutou Dembelé se transporte sur les lieux avec 3 de ses éléments. En flic averti, il console d’abord Mme Maiga et écoute attentivement tout ce qu’elle dit. Une enquête est aussitôt ouverte contre X. Les deux malfrats ne mettront pas longtemps à jouir de ce bien mal acquis car l’implacable commissaire Dembelé ne laisse jamais longtemps un malfrat en cavale. Mais selon le secrétaire général de la Fseg, Lassine Guindo dit Rougeot, les soupçons portent sur un ancien étudiant qui après le forfait a miraculeusement disparu. Au moment où nous mettions cet article sous presse, nous n’avons toujours pu connaitre le montant exact volé. Dans ce contexte de menace terroriste, cet acte qui n’est pas un cas isolé est un avertissement à l’endroit des autorités.
A bon entendeur salut.
Badou S.KOBA
c est des balivernes ;je jure qu elle est complice;c st trop facile
Cela veut dire que nos facultés ne sont pas sécurisées,ou étaient-ils les agents de sécurité vraiment je suis désolé si vrai que ce braquage a eu lieu.
niyefokeyesegou, tu ne connait pas certainement mme maiga nana, c’est pour cela que tu réagi comme ça et pour t’informer les bandit on était arrêter le dimanche après Sikasso pour Burkina il sont présentement au 4 eme arrondissement tu peut te renseigner, c’est parce que tu n’es pas claire que tu pense que tout le monde es comme toi.
Au denomme Khalil Sogoba
Arretez de MENTIR! Meme quand vous mentez, essayez au moins de le faire avec maniere. Vous parlez de “$500 milliards de franc cfa”, sur quelle planete cela s’est passe parce que ce n’est surement pas au Mali? Tout le monde dit corruption et vous aussi sans meme regarder sur le chiffre vous nous pondez cet IGNOBLE et VULGAIRE MENSONGE. C’EST FAUX!
Quelle honte!!!
On va du mal au pure. On fait si comme les autres n’ont pas été à l’école
😈
Bizarre comme c’est bizarre!!!
Elle voulait juste payer certainement sa tontine
POUR EVITER A L’AVENIR DES CHOSES DU GENRE, OPTER POUR LES COMPTES BANCAIRES. LES ETUDIANTS BOURSIERS N’ONT QU’A PRENDRE LEURS SOMMES DANS UNE AGENCE BANCAIRE OU DES CAISSES D’EPARGNES POUR EVITER DE FAIRE LA QUEUE POUR LES BOURSES OU DES BRAQUAGES DE LA SORTE.
IL FAUT DISSOUDRE L’AEEM ET LA REMPLACER PAR UN CONSEIL NATIONAL DONT LES MEMBRES SERONT CHOISI PARMI LES TROIS PREMIERS DE CHAQUE ETABLISSEMENT PUBLIQUE.
C’EST L’UNE DES SOLUTIONS POUR LA BONNE MARCHE DE NOTRE SYSTEME EDUCATIF
Merci parent vous avez bien parler. L’AEEM ne doit plus exister pour la bonne education de nos enfants
moi je pense que si cette histoire est vraie,il faut alors plus sécuriser les établissements publiques.mais il ya encore plus alarmant,c’est dans cette même FSEG que la Direction a fait grimper les frais d’inscription de 6 000fcfa à 10 000fcfa puis 25 000fcfa puis 45 000fcfa.chers internautes j’ai moi même été victime de cette malversation.dans un pays ou la plus part des habitants vivent au jour le jour comment peut on imaginer une telle corruption? les étudiants en sont témoin. mais une chose est sur,c’est cette corruption qui les fera tomber grâce dieu.
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