Bataille autour de l’héritage du vieux et regretté El Hadji Ousmane Kontao dit Konko à Mopti Quand Maître Sy Marie Chantal Sissoko, « notaire de Mopti » marche sur le droit légal

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    Dans le conflit opposant les enfants autour de l’héritage du vieux et richissime El Hadji Ousmane Kontao dit Konko, rappelé à Dieu, il y a de cela quelques années ; Madame le Notaire de la région de Mopti, Maître Sy Marie Chantal Sissoko, qui aurait reçu une promesse de la part d’un des fils du défunt riche homme de la Venise malienne, n’a eu d’autres pans, que de marcher sur le droit légal. Aussi, il ressort que Ibrahim Kontao dit Mamou Konko, qui a promu au Notaire de Mopti, une villa d’une valeur de 21 millions de FCFA a dû prendre le dessus sur ses autres frères, avec la complicité de certains hommes de la justice, notamment Mme le Notaire de Mopti, Maître Sy Marie Chantal Sissoko et un magistrat du nom de Nazim.

    Pour parvenir à leurs fins, le notaire de Mopti, Sy Marie Chantal Sissoko et M. Nazim ont dû passer par des accords conclus avec Ibrahim Kontao dit Mamou Konko. Ce dernier, qui du vivant de son père ne se serait pas gêner de le poursuivre en justice pour une quelconque affaire de femme, tout acte qui a semé la séparation entre le vieux de son vivant et lui, serait décidé à bouter tous ses frères de l’héritage de celui qui l’avait banni. Pour avoir le dessus sur ses autres frères, il a dû traiter avec des hommes de la justice.

    De nos jours, l’un des fils de Konko est victime d’injustice, de la part de Mamou, le fils aîné. En dépit de la villa de 21 millions de FCFA, qu’il a promue au notaire de Mopti Maître Sy Marie Chantal Sissoko, Mamou serait prêt à débouter son frère Oumar Kontao dit Sory, de tout ce dont le vieux de son vivant lui avait légué en bonne et due forme. Pour éviter de tomber dans le piège que lui a tendu son frère aîné, Oumar Kontao dit Sory Konko, qui avait bénéficié une parcelle au centre de la ville de Mopti, dont les documents réglementaires de ladite parcelle avaient été établis en son nom par le vieux de son vivant, a décidé de saisir le Tribunal de Commerce de Mopti, le 17 juillet 2009, par le biais de son Conseil Me Hamadoun Dicko, avocat àla Cour.

    Et déjà lors d’un premier jugement relatif au même dossier, le 11 août 2003, le Juge de référé du Tribunal de Commerce de Mopti avait ordonné l’expulsion de Ibrahim Kontao dit Mamou Konko, qui était appelé à évacuer les lieux, dont le propriétaire reconnu est : Oumar Kontao dit Sory. Mais sur appel interjeté, par Mamou Konko, la chambre des référés dela Courd’Appel de Mopti avait infirmé l’ordonnance et était incompétente aux motifs que les autres héritiers contestaient l’acte de donation, et qu’il était établi que Ibrahim Kontao dit Mamou Konko avait effectué des investissements sur la parcelle (sise ex-somieux et ex-Jigisèmè) d’un montant de 100 millions de FCFA.

    Par la même, il avait été indiqué, que le seul héritier, qui avait attaqué cette donation était Ibrahim Kontao dit Mamou Konko.La Couraprès avoir parcouru le dossier, avait confirmé le jugement et débouté Mamou de sa requête en annulation. De Mopti, Mamou a formé un pourvoi contre cet arrêt àla Cour Suprême  à Bamako. Là aussi, il a été déchu de son pourvoi. Aussi, il n’a pu fournir aucun dossier (aucune preuve) sur la somme de 100 millions de FCFA, qu’il déclarait avoir investi sur les lieux. Il est avéré que sur une place non construite, que Mamou avait installé deux pompes et deux futs souterrains à essence, qui ne sont en service que depuis 2005.

    Par conséquent, Mamou et son conseil, Me Simon Lougué avaient rétorqué contrairement aux allégations du requérant, la succession de feu Konko est : « loin d’être légale ». En un mot  la requête de Mamou Konko avait été déclarée mal fondée. Sans démordre, Mamou aurait décidé de mettre tout en œuvre pour annuler le « Titre foncier N°20 inséré au livre foncier du cercle de Mopti ; Vol-1F-20 communément appelé : Superette-Jigisème-somiex. L’acte de vente de la parcelle avait été conclu entrela SOMIEXet lui en son temps : 1993, l’a été devant le notaire de Mopti, feu Garba Guindo » que détient son frère Sory par rapport à la parcelle en question. En 1996, feu El Hadji Ousmane Kontao dit Konko avait demandé à Sory d’y construire une station d’essence « Pagou Service » sur une portion dont il confia la gestion à Mamou. Sory a dû accepter cela à l’époque à cause de son père.

    A l’époque toujours, la notification avait été faite à Mamou, le 5 juin 2003 d’évacuer les lieux conformément au sens de l’article 711 du Code de Procédure Commercial Civil et Social (C.P.C.C.S). Aussi, les dispositions des articles 2282 du Code civil ; 491 et 711 du C.P.C.C.S avaient été maintenues parla Cour. Lesquellesmettaient Sory dans ses droits.

    Sachant tout cela, Mamou décida de lier amitié avec un membre du droit en la personne de Me Sy Marie Chantal Sissoko, notaire de son état, aux seules fins de débouter Sory de son bien. Pour ce faire, sans concerter ses autres frères, il faisait une promesse à Me Sy Marie Chantal Sissoko, d’une villa dont la valeur est estimée à 21 millions de FCFA. Cette promesse a semble-t-il rendue aveugle Me Sy M. C. Sissoko. La suite se passe de tout commentaire, car en lieu et place du défunt vieux Konko, c’est elle qui s’est érigée en maître des lieux, et procéda au partage des biens de feu Konko à ses fils.

    A la suite, il intenta un pourvoi au niveau dela Cour Suprêmeà Bamako, lequel pourvoi venait après celui déposer par Me H. Dicko, avocat àla Couragissant au nom et pour le compte de Sory commerçant domicilié à Mopti. En la forme, par acte N°009 reçu au greffe le 5 février 2010, Me H. Dicko, agissant au nom et pour le compte de Oumar Kontao dit Sory a déclaré le pourvoi de Mamou en cassation contre l’arrêt N°02 du 5 février 2010 rendu public par la chambre des référés dela Courd’Appel de Mopti dans une instance en rétractation d’arrêt qui oppose son client à Mamou. C’est fort de tous les arguments présentés par le conseil de Sory, quela Courconformément aux dispositions du C.P.C.C.S a pris la décision de mettre Sory dans ses droits.

    N’ayant pas eu de satisfaction auprès de la justice dans ses démarches, Mamou a décidé de traiter avec le notaire de Mopti, Me Sy M.C. Sissoko. Pour ce faire, il décida de donner en récompense (honoraires) une villa (un bien familial commun) de feu El Hadji Konko à Me Sy M.C. Sissoko ; laquelle villa est située à Sévaré dans la commune urbaine de Mopti, face au logement de feu, le notaire Garba Guindo, rappelé lui aussi à Dieu, il y a de cela trois ans. La valeur marchande de la villa (bien commun familial) qui a été offerte, à Me Sy M. C. Sissoko par Ibrahim Kontao dit Mamou Konko, est estimée à 20 949 555 FCFA. Fort de ce cadeau empoisonné en main, ainsi, madame le notaire se livra à une série de falsification des documents au profit de son désormais complice : Ibrahim Kontao dit Mamou Konko.

    Par ailleurs, à l’insu des autres héritiers du vieux Konko, Mamou en complicité avec Me Sy M. C. Sissoko ont vendu une autre maison du vieux, dont la valeur est estimée à plus de 13 millions de FCFA. Cette villa qui a été vendue à l’insu des autres héritiers est située à Sévaré, au nord de la rizerie (ORM) sur la rue 88, porte 78.

    Par requête écrite en date du 20 octobre 2010, Me Sy Marie Chantal Sissoko, Notaire àla Résidencede Mopti, sollicite le Tribunal civil de céans l’homologation du partage de la succession de Feu El Hadji Ousmane Kontao dit Konko, décédé le 25 décembre 2000 à Mopti et ayant laissé pour lui succéder : quatre veuves et 25 enfants, suivant d’hérédité N°169 du Tribunal civil de Mopti en date du 2 avril 2001 ; enrôlée à l’audience du 18 novembre 2010, l’affaire a été débattue en chambre du conseil puis mise en délibéré pour le 25 novembre 2010.

    A l’ouverture des débats, après vérification, Me Sy M. C. Sissoko, la requérante expose qu’elle a été désignée par le Tribunal de céans en qualité de notaire pour liquider et proposer un partage de la succession de feu Ousmane Kontao dit Konko, suivant jugement ADD N°106 du 15 juin 2009. Au vrai sens des mots, cela n’était qu’une manipulation entre elle et Mamou, aux seules fins de débouter certains héritiers du vieux Konko. Aux dires de Oumar Kontao dit Sory, il n’a été contacté par personne à propos d’une quelconque désignation de Me Sy Marie Chantal Sissoko, comme chargée de liquider et partager les héritages de leur défunt père.

    Sory de confier qu’une commission avait été constituée par de sages personnes, notabilité et imams de Mopti, pour effectuer les partages des biens de leur père défunt. Cette commission, dont il dispose la liste des membres (copie a été reçue par notre rédaction, tout comme les  autres copies des différents jugements rendus  publics autour de ces héritages du vieux Konko) ; était formée par les sieurs : Brahima Touré dit Koulou (décédé) ; Housseyni Konipo, un notable de Mopti ; El Hadji Amadou Kondo, marabout à Mopti ; Souleymane Konaké (famille du grand imam de Mopti) ; Aly Gano, notable à Mopti ; Alphamoye Naciré, notable à Mopti ; Amadou Kado Samassekou, imam dela Mosquéede Toguel, un quartier de Mopti et Gaoussou Nientao, tailleur à Mopti.

    Ce sont eux qui ont effectué le partage de l’héritage du vieux Konko à ses quatre épouses et à ses 25 enfants. Les biens qui avaient été individuellement légués à certains héritiers ne faisaient pas partis de ceux qui devaient être partagés.  De nos jours, de par les jeux auxquels s’adonnent Ibrahim Kontao dit Mamou Konko et son complice Me Sy Marie Chantal Sissoko, nos osons dire que cette affaire est à suivre !

    Par Zhao Ahmed Amadou Bamba

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    6 COMMENTAIRES

    1. Je vois que l’on pédale à côté du vélo en s’affichant sur l’orthographe des mots que l’amateurisme du Journaliste ne maîtrise pas.Moi ce qui m’intéresse c’est le cotenu de l’article qui revèle suffisamment de confusions quant à savoir si l’arrêt dont pourvoi a reglé définitivement la succession du vieux,si la maison attribuée par le vieux de son vivant a été reversée dans la masse successorale,si la commission de sages de Mopti-on ne dit qui l’a insitituée- avait fait procédé au partage des biens en legs et quand,et enfin quelle est la responsablilité de Najim dans cette affaire,s’il y en a, de la Notaire.Nous communs nous souhaitons plus d’éclaircissements.

    2. Les gars c est pas de sa faut c est le resultat d une mavaise condition de recrutement
      Mais il ne pas le seul meme son directeur aussi
      puisqu il doit relire le travail de son salarie avant de le poste

    3. petite leçon de vocabulaire et de conjugaison:

      -promettre:s’engager à faire ou donner quelque chose. à la 3eme personne du passé composé, il se conjugue: il a promis.

      -promouvoir: faire progresser ou élever à un grade. à la 3eme personne du passé composé, il se conjugue : il a promu.

      • Vous devrez, tous les deux,retourner à l’école!
        Au lieu de donner vos avis sur cette histoire d’héritage, vous jouez au prof de français! Sachez que, même ceux qui ont inventée la langue de Molière font des fautes!

        Allez, à vous de trouver la faute!

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