La vie ne tient qu’à un fil. Mais la façon dont ce fil se rompre des fois, jette le froid dans le dos de plus d’un. Ce passage sied au cas d’une dame affectueusement appelée Alima qui a tiré sa révérence après avoir été poignardée au nez par sa colocataire avec une aiguille de tressage de cheveux. Le drame s’est passé dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 octobre dernier, au quartier Banconi Diaguinèbougou en commune I du district de Bamako.
Le quartier Dianguinèbougou a été émaillé par un drame dans la nuit du samedi au dimanche dernier suite au décès tragique de cette dame du nom d’Alima. Connue pour son courage, Alima vendait des pagnes et gérait en même temps des tontines dans son quartier, Banconi Dianguinèbougou où elle logeait avec son mari et ses enfants. Elle était appréciée par ses collaborateurs d’autant qu’au-delà de sa générosité, ses tontines permettaient aux adhérents (hommes et femmes) de subvenir à leurs besoins. En effet, sa tontine n’était pas comme les autres. La méthode Alima était simple. Les matins, elle passe toute souriante de porte en porte pour collecter le montant que chaque adhérent paye en fonction de ses moyens. Et à la fin du mois, elle te remet le montant global que tu as payé durant le mois.
Généreuse et souriante dans la rue, Alima, selon les informations, n’était pas très heureuse à la maison même si elle s’attendait parfaitement avec son mari. Car depuis un certain temps, la bonne dame a eu maille à partir avec certains de ses colocataires, y compris Mme Coulibaly, une enseignante de profession de surcroît. Plus des jours passent, plus la mésentente s’installe entre les deux femmes, et ce, malgré les conseils du mari de l’enseignante. La situation perdure jusqu’au samedi 24 octobre dernier, où Alima recevait à son tour dans la cour commune, les membres d’une autre tontine qu’elle gérait parallèlement.C’est ce jour ou la mésentente entre elle et l’enseignante va prendre une autre tournure. Le grain d’Alima selon l’enseignant lui aurait lancé des piques. Chose qu’elle n’a pas pu digérer, à tel point qu’elle va être emportée par Satan. D’où des disputes entre elles jusqu’à ce qu’un affrontement s’en suivi dans la nuit. Malheureusement, le duel va être fatal pour la vendeuse de pagnes qui sera poignardée au nez par l’enseignante avec une aiguille de tressage de cheveux. Elle pique une crise, avant de vider son sang. Vers 00h, son mari l’amène au CSref de Korofina qui l’envoie à son tour au CHU Gabriel Touré. Mais Alima succombera à ses blessures en cours de route, laissant son mari et ses enfants dans l’émoi et la désolation. Pendant ce temps, l’auteure du crime, Mme Coulibaly a été interpellé par le commissariat du 6ème arrondissement où elle a passé sa première nuit avant sa mise à la disposition des juridictions compétentes.
Adama Coulibaly
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QUAND NOUS GRANDISSIONS, NOS MAMANS EN COLOCATION ETAIENT DES SOEURS, NOUS ETIONS TOUS FRERES ET SOEURS DANS LA COUR ET NOS PERES DES ONCLES A TOUS!
POURTANT NOS PARENTS N ETAIENT PAS SI ISLAMISES QUE LES VOTRES SONT AUJOURD’HUI ! ILS N ETAIENT PAS SI RICHES QUE LES VOTRES!
QU EST CE QUI A CHANGE? L HUMANISME A DISPARU ET A FAIT PLACE A L ISLAMIPOCRISIE! FAKE EVERY LITTLE THING! ‘DOG EAT DOG’ SOCIETY OF ABRAHAMISM!
I fault husbands for not demanding halt to petty argument that most likely if given long ” cooling period” would have been seen by women as petty argument it was plus more reasonable plus satisfying to both solution would have been found. Now we have one woman dead plus much needed to apply her profession as teacher criminally charged with killing due to lazy husbands who do not prohibit their wives from violence.
I bet those no good husbands are pretending to be innocent in this happening. They need their asses kicked unto they come to using good sense with their family.
Work smart Mali.
Henry Author Price Jr aka Kankan
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