À Lassa en commune IV du District de Bamako, dans la nuit du 7 au 8 mars, aux environs de 23 heures, le sergent-chef de police, Salif Koné, en service au Groupement mobile de sécurité (GMS), et son acolyte M. D, ont été appréhendés par les populations en plein braquage à main armée et conduits à la brigade de recherche de gendarmerie du camp 1, où le lieutenant Mohamed Elmeidy Ag Iddas l’ont mis en taule.
Depuis leur prise de service à la tête des différentes unités, le colonel Alpha Yaya Sangaré, commandant de région de gendarmerie de Bamako, et le contrôleur général de police Siaka B. Sidibé, directeur régional de la police du District de Bamako, ont fait de la lutte contre l’insécurité, à Bamako et ses alentours, leur priorité.
Et en plus de cela, ils n’ont jamais cessé de sensibiliser les populations de ne plus se rendre justice. Aujourd’hui, force est de reconnaître que leurs messages de sensibilisation sont entendus par les populations.
En atteste l’attitude de la population de Lassa, en commune IV du District de Bamako. Malgré la tension, elle a pu contenir sa colère en emmenant deux braqueurs à la brigade de recherche de gendarmerie du camp 1, commandée par l’imperturbable lieutenant Mohamed Elmeidy Ag Iddas.
Rappel des faits
Nous sommes la nuit du 7 au 8 mars dans les environs de 23 heures à Lassa, en commune IV du District de Bamako, quand le sergent-chef de police, Salif Koné, du Groupement mobile de sécurité (GMS), et son acolyte M. D, ont commencé à semer la terreur coupant le sommeil aux paisibles citoyens.
Le sergent-chef de police Salif Koné et son complice, selon nos informations, ne sont pas à leur premier forfait. Il se trouve qu’ils ont échappé à maintes reprises à la fureur populaire dans la même zone. Cette nuit-là, ils n’ont pu avoir le temps de prendre la tangente, comme ils avaient réussi à le faire dans les cas précédents.
Le policier en question était habillé en tenue correcte sur laquelle, il avait porté une autre tenue civile. Le stratagème est simple : le sergent-chef de police porte sa tenue civile pour réaliser sa sale besogne. Mais, au moindre couac, il l’enlève pour revêtir son uniforme de policier. Ainsi, il supplie les populations à ne pas procéder au lynchage de son complice sous prétexte qu’il l’amènerait à la police. Dès qu’il arrive à extirper son complice des mains de la foule en colère, ils font chemin ensemble. Comme si de rien n’était !
Ce jour-là, leur tentative a échoué car le citoyen braqué a pu identifier le sergent-chef de police Salif Koné et son complice comme étant de vrais brigands. Alertés, les riverains ont engagé une chasse à l’homme jusqu’à leur tanière sur la colline de Lassa, où ils furent arrêtés et conduits automatiquement à la brigade de recherche du camp 1.
Interrogés successivement par les limiers de l’imperturbable lieutenant Mohamed Elmeidy Ag Iddas, commandant de brigade de recherche du camp 1, les deux brigands ont fini par reconnaître leur forfait et avouer avoir mené plusieurs opérations dans le même secteur. Présentement, ils ont été placés en garde à vue à la BR du camp 1 en attendant d’être présentés à un juge du tribunal de la commune.
Les deux commandants de gendarmerie et police du District se font entendre
Dans la vie, il y a des hommes qui marquent l’histoire d’une nation par leur courage, leur abnégation, leur patriotisme. Le colonel Alpha Yaya Sangaré, commandant de région de gendarmerie de Bamako, et le contrôleur général de police, Siaka B. Sidibé, directeur régional de la police du District de Bamako, font partie de ceux-là qui se font remarquer par le sérieux dans le travail. Ces derniers ont toujours prôné le concept de la police de proximité et incité les populations à ne pas se rendre justice. On peut le dire sans se tromper, leurs messages de sensibilisation ont été bien compris et entendus par les populations.
Suivant respectivement les instructions données par leurs chefs hiérarchiques, le colonel Alpha Yaya Sangaré et le contrôleur général de police Siaka B. Sidibé sont en train de jouer leur rôle dans la mise en œuvre des politiques de sécurisation de leurs départements. C’est pourquoi, aujourd’hui, ils font la fierté de leurs concitoyens.
Ousmane DIAKITE
“…où le lieutenant Mohamed Elmeidy Ag Iddas (l’ont) LES A mis en taule.” !!!
LE FRANCAIS N’ A JAMAIS ÉTÉ, N’ EST PAS, ET NE SERA JAMAIS UNE LANGUE DE PROGRES POUR NOUS AFRICAINS.
DONC, NE FORCONS PAS Á CE QUE CETTE LANGUE SOIT NOTRE LANGUE OFFICIELLE.
70 ANS DE COLONISATION FRANCAISE NE JUSTIFIENT AUCUNEMENT LE STATUT DE LANGUE OFFICIELLE DU FRANCAIS DANS NOS PAYS.
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