Après s’être rendue à l’insu de son mari au lieu du rassemblement du Maouloud d’un prêcheur à Bamako : Une femme retrouve son enfant mort dans un puits

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    Les habitants d’un quartier populaire de la rive droite se souviendront longtemps de cette triste histoire lors du Maouloud dernier. En effet à l’occasion de cet événement religieux, un célèbre prêcheur avait organisé un rassemblement de ses partisans dans un stade de Bamako. Parmi ces partisans figure une femme mariée que nous appellerons MT dont le mari vivait à l’extérieur. C’est ainsi qu’elle annonça à sa belle famille son intention d’aller à ce rassemblement car sachant que son mari refuserait cette demande pour être hostile à ce célèbre prêcheur. C’est sans surprise que la belle famille refusa tout en mettant MT en garde au cas où son mari apprenait cela. Malgré toutes les conséquences qui pouvaient en découler, notre héroïne du jour a décidé de partir en abandonnant son enfant de Cinq(05) ans dans la famille à l’insu de sa belle famille. C’est le lendemain matin que toute la famille s’est rendue de l’absence de l’enfant. En ce moment précis tout le monde était unanime que l’enfant était avec sa mère. C’est à son retour que chacun a compris que l’enfant a disparu. Du coup des recherches furent effectués pendant deux jours. Malheureusement l’enfant sera retrouvé mort dans un puits grâce à l’identification de l’une de ses chaussures. Après l’avis des médecins, l’enfant fut enterré au cimetière dudit quartier. Certes la mort appartient à Dieu qui décide la mort de tout le monde, mais on peut dire aussi que cette femme mariée a bel et bien cherché la mort de son enfant pour non respect à son mari au profit d’une autre personne fut-elle un célèbre prêcheur. En conséquence elle doit s’attendre à toutes les conséquences et ne pas se plaindre auprès de qui que qu’à ça soit et surtout auprès de Dieu. Comme dit un adage « On ne récolte ce qu’on a semé ».

    Saïd

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    4 COMMENTAIRES

    1. Il y a tellement de contradiction entre nos réactions et ce que nous partageons dans notre imaginaire collectif. Tantôt nous affirmons que la mort est le fait de Dieu; dans le même temps si cette mort arrive, nous cherchons à coupé la tête d’un innocent. Si c’est vrai que la mort est le fait de Dieu et du destin pourquoi nous nous en prenons à cette femme. Si le jour là, elle était plutôt aller au marché, qu’est-ce que nous allions dire d’elle? Puis quel est le rapport entre le fait de s’absenter sans l’autorisation de son mari (à l’étranger) et la mort de son enfant? Si la mort est le fait de Dieu et du destin? Est-ce que le destin est évitable? Si vraiment ce destin existe et que c’est Dieu qui choisi le jour de notre mort, alors mes amis, même si la femme là était allée aux toilettes le jour là, son enfant mourrait à coup sûr. Je me demande si le mari aussi demandait l’autorisation de sa femme pour bouger dans son pays étranger. Puis monsieur le journaliste, vous ne faite aucune analyse dans votre écrit, vous ne prenez aucune distance dans vos conclusion. Je m’excuse de vous dire que vous réfléchissez comme l’homme de la rue.

    2. elle est igorante car sans l’accord de son mari elle ne devait pas bouger du pouce. l’homme propose et dieu dispose. je demande pardon a son mari et aussi eduquer cette femme. elle est noire en islam. paix a l’ame de son enfant. courage a son mari.

    3. son mari doit la repudie immediatement sans terau lieu de recolter des benedictions elle sera maudit jusqu a la fin des temps

      • Bonsoir
        je vous demande la modération et le non jugement car nul ne connais l’intention de cette femme! Elle est peut être parti pour s’instruire donc se rapprocher de son Seigneur en tout cas elle n’étais pas dans un lieu détestable
        qu’Allah fasse miséricorde à son fils et apaise cette famille amine

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