Amour via internet: A 23 ans elle se fait assassiner pour rien

    11

    Quand elles sont face à leur petit écran d’ordinateur ou du téléphone portable, connectées, elles oublient tout au profit d’un supposé bonheur. Ici, c’est un autre portail du monde, leur offrant fictivement à distance: plaisir, amour et bonheur.

     

    Au grand dame des recherches académiques, on vit et rêve à partir de Facebook, s’offrir : un amant ou mari à l’étranger, pour une vie meilleure.

     

     

    Un cas récent s’est tourné très mal à Bamako.

    Il y a  un mois de cela, une jeune étudiante âgée de 23ans, qui a eu à rencontrer, au cours de ses navigations sur Facebook, un homme fortuné. Heureuse, la jeune fille n’a pris le soin de mieux connaître son homme. Avec discrétion, le sieur lui envoyait de l’argent afin qu’elle puisse subvenir à ses besoins. La famille, les amis, nul n’est mis dans la confidence. Elle faisait sa vie et estimait ne devoir explications à personne.

     

    Romantique.  Elle tomba amoureuse. Et pour une fois, elle fit l’exposé de sa nouvelle vie à son amie de confiance, Rokia Haïdara.

     

     «Mon nouvel homme s’appelle ‘’Edua’’. Il vit au Nigéria et viendra bientôt à Bamako pour des affaires, avait-elle dit à son amie Rokia. Il m’a même donné un rendez-vous dans une villa qu’il a louée pour son séjour à Bamako-Sénou.» « Fais attention,-lui répondit  Rokia », prenant les conseils de son amie Rokia pour de signes de jalousie.

     

     Plus l’arrivée d’Edua s’approchait, plus  elle s’éloignait de son amie Rokia.  

     

    Dès qu’Edu est venu du Nigéria, il fut immédiatement rejoint par sa  gentille Malienne.  

    Ainsi partie de son quartier ce jour, rejoindre son homme dans ladite villa sise à Sénou,  le lendemain matin son corps est  retrouvé gisant à coté d’un dépotoir d’ordures à Sénou. Ce qu’elle ignorait, en est que son mec [Edu le  Nigérian] est un professionnel  de l’enrichissement dont les sacrifices exigeaient à « amputer les organes génitaux d’une inconnue, quelles que soient ses origines. », selon les connaisseurs en la matière.

     

    « Les jeunes filles de Bamako n’aiment que les étrangers », lâche de passage, Awa, une vendeuse d’eau.

    Pour la famille, c’est une désolation ». La seule chose qu’on sait, est que le criminel s’appelle Edu. Où est-il passé, d’où vient-il réellement ? Nul ne sait plus.

     

    Kadiatou Sy (stagiaire)

    La Révélation.

     

    Commentaires via Facebook :

    11 COMMENTAIRES

    1. Voilà le genre de journal qu’il ne faut jamais permettre à un enfant (élève bien sûr) de lire en aucune circonstance.Mme ou Mlle Kadiatou Sy,tu es bonne à couvrir les activités de Case Saramaya 4.Je m’arrangerai avec la Production pour t’y envoyer.Bonne chance ma belle.

    2. Vous débutez mal ma chère il y a tellement de fautes et surtout de phrases malformées. Mais je crois que la faute revient surtout à vos encadreurs et surtout au Journal révélation lui même croire qu’il n’y a personne dans ce journal pour lire les publications avant de les mettre en ligne. C’est pitoyable

    3. Le journal Révélation aura intérêt à éviter ces genres d’articles farfelus. Plus de 50 fautes, des phrases affreusement mal formulées, des idées floues, une paresse intellectuelle qui pousse l’auteure à mettre “etc” là où il ne le faut pas.
      Bref, c’est un journal bon à servir comme papier toilette.

    Comments are closed.