Agression de Ibrahim Traoré de l’Aeem : Les deux ministres en charge de l’éducation promettent d’ouvrir une enquête

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    Suite à l’agression  contre  l’étudiant Ibrahim  TRAORE, le 2 juillet 2012 au cyber café de la FAST, les deux ministres en charge de l’Education Messieurs Harouna KANTE et Adama OUANE  ont rendu visite au blessé  à l’Hôpital  Gabriel Touré pour s’enquérir de son état de santé et prendre toutes les dispositions  pour un suivi médical approprié. Les deux ministres ont condamné  cet acte et  pris toutes  les mesures nécessaires pour ouvrir une enquête afin  d’identifier les auteurs et les traduire en justice.

    Tiouta Traoré

     

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    4 COMMENTAIRES

    1. Sanogo a t-il la maîtrise ses escadrons de la terreur?
      Tout ce qui se passe en matière d’insécurité à Bamako est à mettre au compte de militaires, policiers et badauds au service du CENDRE et des organisations pro-putsch. Dans un pays, où les militaires et les pro-putsch, rançonnent et règlent leurs comptes en toute impunité ne vous étonner pas à assister à de pareils actes. Nous sommes au far-west où la loi du plus fort prime. Les plus forts aujourd’hui, sont le CNEDRE et ses sbires. Au lieu d’aller aider les pauvres populations du Nord, ils se montrent en Rambo contre de pauvres citoyens dont ils ont en chargent leur sécurité. C’est la honte! A mon avis, ils ne valent pas mieux que les islamistes et les bandits armés.

    2. Le ridicule ne tu pas et pourtant!! Comment un journaliste peut parler de l’AEEM dans la situation actuelle du pays. Cette association fait partie des mutliple problèmes maliennes. Au moment venu on faire l’état de la nation et on va netoyer tous ces dechets d’association et de syndicats. Ca viendra. Bande de nullards.

      Par fini personne ne lira ce journal!!!!!

    3. Mieux veau dissoudre l’AEEM, qui n’existe presque pas. Les agresseurs au lieu de lui tué, ils ont juste lui blessé seulement non. Les deux ministres, ils n’ont qu’a allez au diable. D’ailleurs dans les Hôpitaux, il ya que des paracétamol.

      Le journaliste, n’écrit pas de journal bado, sans tête ni queue. Tu n’en même pas décrit comment il à été agressé.

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