Affaire de mœurs : La particulière s’est tapée notre président

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    La petite fille là ? Non, ce n’est pas vrai. Safouroulaye. L’étonnement  la colère et le cri de détresse d’un des collaborateurs du boss qui venait d’en être informé. Ce pauvre collaborateur ignorerait –il la réalité du pays au point de ne pas savoir, que dans les bureaux et couloirs lambrissés de l’administration malienne, il y a pire que tout ça ? En tout cas, cette ‘’petite’’ fille là, coupe désormais le sommeil à beaucoup de gens, à commencer sûrement par le boss qui en serait follement amoureux et ne bougerait plus sans elle.

     

     S’il y a foye dans la famille du boss qui en a déjà vu  pire de par le passé, tel n’est en tout cas pas le cas dans l’enceinte de l’institution au sein de laquelle la chose a cours. Colère, indignation, Selon une source proche du cabinet de la grande Institution, la secrétaire très particulière, belle, mignonne et d’un attrait particulièrement avenant, n’a pas perdu son temps. Son charme a conquis le cœur du boss.

     

    Perdus dans les brumes parfumées de la passion, nos deux tourtereaux oublient très souvent le temps qui passe et traînent au bureau bien après les heures de fermeture. Notre tendre assistante est vraiment une bonne et assidue  élève de Corneille ; La valeur d’un homme, pardon d’une femme n’attend point le nombre des années. A son âge, elle joue sans doute un double rôle qui pourrait l’amener à peser sur le cours des évènements engageant fortement la vie de notre beau pays. Mieux, notre source ajoute, que la désormais très puissante particulière est dans tous les voyages du chef suprême de l’institution. Mais, que voulez vous, ne dit on pas que ce que  femme veut  Dieu  veut? Seulement qu’en retour, la femme elle, ne fait jamais ce que Dieu veut.

     

    Cette affaire, conclu – t-il, ne colère guerre la famille du boss, elle l’amuse et s’interprète comme un juste retour de la manivelle. Comme pour dire, que courte queue se paie toujours par courte queue. Vraiment, notre pays là fait peur dèèèèè. Nous y reviendrons Inch Allah.

    Sory de Moti

     

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