Affaire de couple : L’Inspecteur Ousseyni Diarra complice d’un divorce de couple

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    L’affaire dont il s’agit concerne le couple Famoudou Keita, son épouse Mme Nah Keita et l’inspecteur de police  M. Ousseyni Diarra. Elle est relative par rapport à une concurrence déloyale que le sieur Inspecteur de police aura orchestré entre Monsieur et Madame.

     

    Dans la gestion d’un foyer toutes les méthodes sont permises, pour pouvoir générer des ressources au profit d’une bonne marche de leur couple. C’est l’idéal qu’avait poussé M. Famoudou Keita a  confié la gérance de son kiosque à sa femme Nah Keita, après leur mariage.  Celle-ci était sensée de lui faire le compte journalier de ce kiosque. Le kiosque en question sis à proximité du commissariat de 9ème Arrondissement de Sébénikoro sert de secrétariat public.

     

    Après des relations intimes avec les policiers dudit Arrondissement, Mme Nah Keita a décidé de n’est plus rendre compte à son mari, au sujet des recettes et dépenses qu’elle faisait.  Par ce comportement indigne à l’égard de son mari, on pouvait comprendre déjà que la femme avait organisé un complot pour pouvoir subtiliser le kiosque. Mécontent des agissements de sa femme Famoudou Keita  a décidé de prendre sa responsabilité, en tant qu’époux. Cette réaction consistait à retirer à  fermer de son kiosque.

     

    Nah Keita, compte tenu de son rapprochement avec l’Inspecteur Ousseiny Diarra, ira se confier à lui. Celui-ci, par son statut de police-inspecteur  vient au secours de la dame, par son opposition à la fermeture du kiosque. Autre attitude extrajudiciaire de M. l’Inspecteur, c’est d’avoir forcé M. Famoudou Keita à se rendre dans son bureau sous la conduite de 4 policiers  en mission.  Auparavant, M. Keita n’avait reçu aucune convocation venant dudit Arrondissement.  Ce comportement de l’Inspecteur Diarra était fait dans le but de pouvoir l’humilier devant sa femme, en tenant des tels propos : « Pourquoi tu viens casser la porte de madame, tu n’as pas honte. Même si c’est le divorce tu ne peux pas la faire quitter dans ce lieu. Je mets les gens au violon pour des choses pareilles. » Après ce traitement humiliant, la gérance du kiosque était dans les mains de Madame. Voulant avoir une suite favorable dans l’affaire, Famoudou Keita a saisi la Direction Nationale de la Police, par voie officielle.

     

    Cependant, ou est-elle passé l’éthique et la déontologie de la profession de police ! L’Etat  en créant le corps de police, c’est pour qu’elle puisse contribuer à  la sécurisation des personnes et leurs biens. Mais, aujourd’hui, par le comportement déplorable de certains d’entre eux, la police est en passe de devenir un corps de briseur de foyer. En tout cas, le comportement de sieur l’Inspecteur Diarra est déshonorant, pour tous ceux qu’ont acceptés de faire dans ladite profession.

     

    Ki-Zerbo

     

     

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    10 COMMENTAIRES

    1. au lieu de s’en prendre au journaliste ou la forme de son écrit, veuillez voir le fond du fait, il me semble que la durée de la formation commune de base est insuffisante pour un encadrement meilleur de nos agents de la police. Ni de foi, ni de connaissance, ni d’amour, ni de probité, ni d’honnêteté, ni…………. n’est visible dans leur comportement quotidien. Il serait mieux de proceder à une vérification sure de leur moralité et leur personalité si vraiment le mérite est là.

    2. Ce goujat de policier doit être déshabillé. La tenue de policier ne le permet pas d’être indigne. S’il s’avère qu’il est à la base de ce divorce il finira très mal. On ne sépare pas ce que Dieu à uni.

    3. Tel père tel fils.. On sait à quoi s’en tenir concernant les policiers maliens qui héritent de cette profession de père en fils.

    4. C’est quoi cet article? qu’est que le journaliste veut dénoncer? >>C’est pathétique!

    5. TRES BON ARTICLE DES FAITS COMME CELA DOIVENT ETRE MIS A JOUR.

      LES PORTEURS UNIFORME DANS NOS PAYS SOUS DEVEOLPPES POUR LA LPUS PART ABUSENT DU PETIT POUVOIR QUE LE PEUPLE LEUR A DONNE ”RESPON?SABILITE DE VEILLER A L’ORDRE PUBLIC ET AU RESPECT DE LA LOI.”

      MERCI CHER JOURNALISTE VOUS N AVEZ FAIT QUE VOTRE TRAVAIL UN TRES BON ARTICLE QUI MONTRE ENCORE UNE FOIS LES DEFAILLACES DANS NOS CORPS DE PROTECTION QUI NE FONT PAS LEUR TRAVAIL ET DONT LES RESPONSABLES SONT DE VRAIS PHARAONS DANS LEUR MILIEUR DE COMMANDEMENT.

      MERCI CHER JOURNALISTE LE PEUPLE MALIEN VOUS SOUTIENT. 💡

    6. Article sans sens.Il y’a plein d’incorrections……Il ferait mieux d’aller cultiver *le mallo kéné*
      Ki de Maupassant….A Bé nianabo.Doni-doni,kononi da n’gala…

    7. “Elle est relative par rapport à une concurrence déloyale que le sieur Inspecteur de police aura orchestré entre Monsieur et Madame.”

      SVP, chers lecteurs, aidez moi a comprendre ce que le “journaliste” veut dire par cette phrase 😆 Je vous en prie, aidez moi! 😛 😛 😀 😀 😆 😆

    8. En quoi “la police est en passe de devenir un corps de briseur de foyer”? Pour un cas isolé qui du reste est à vérifier cet analphabète de journaliste s’en prend à toute une institution. As tu écouté la version de l’autre partie ? Espèce de pauvre journaliste. As tu mesuré l’ampleur de ton article? A la place de l’Inspecteur, je poursuivrai ce faux Ki Zerbo.

    9. monsieur le faux journaliste retounes a l’ecole car tu ne connais rien ton article est truffé de fautes honte a toi

    10. Quelle honte cet article, même un bon élève de la 6ème année d’avant les événements de mars 1991 écrit mieux que ça.

      Quelle honte! Monsieur le journaliste, apprends le métier d’abord avant de l’exercer. Ne mets pas la charrue avant les bœufs svp.

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