A.G.T est un juriste qui a quitté son Goundam natal lors de la crise pour venir à Bamako avec sa femme, S.M.H. dite Bijou. Après la libération des régions, Bijou était pressée de retourner bien qu’elle avait eu des propositions d’embauche à Bamako. Son mari, après un refus, l’a finalement laissée rentrer.
En vérité, Bijou avait une relation amoureuse poussée avec N.M. Ce dernier avait quitté Goundam pour Gao, où il s’est même marié avant de revenir lui aussi à Goundam après la crise. C’est comme si les deux amoureux s’étaient donné rendez-vous à Goundam. Bijou, dès son retour, ne se sentait plus à l’aise avec les parents de son mari ; elle a créé une vive tension afin de se faire une ouverture. Entre-temps, les habitants ont senti que malgré son statut de femme mariée, elle continuait à fréquenter son amant N.M, qui l’a même enceintée, avant de pratiquer un avortement. Tout cela a duré 10 mois alors que son mari continuait à tout faire pour elle. C’est vrai qu’elle a une relative autonomie financière puisqu’elle travaille et a par conséquent un salaire.
Cependant, comme elle ne cessait de fréquenter son amant à Wana, situé à 11 Km de Goundam ville, les parents de son mari ont été obligés de demander à celui-ci d’agir en conséquence, car cette situation avait fini par couvrir de honte toute la famille. C’était donc un déshonneur que sa famille supportait mal.
C’est ainsi que dans le mardi 10 mars, A.G.T, juriste et professeur de droit en service à Bamako, se rend nuitamment à Goundam et à Wana avec deux témoins pour surprendre sa femme S.M.H, une infirmière qui l’avait convaincu, cinq mois plus tôt, de la laisser partir travailler dans l’Ong Merlin. Ce mardi 10 mars, quand son mari lui rend visite, Bijou lui fait voir de toutes les couleurs.
Auparavant, faut-il rappeler, Bijou et son amant N.M, agent de la Croix Rouge à Wana, natif de Gao mais habitant à Goundam, continuèrent à se fréquenter, aux dires des témoins des parents, amis, collègues des deux agents concernés et un boutiquier à Wana du nom de Hamey, un tamasheq. Les mêmes personnes rapportent aux oreilles du mari que son épouse venait de vivre une baisse de tension consécutive à son avortement à Goundam. Au fait, Bijou et N.M vivaient sous le même toit à Wana en véritable couple d’adolescents.
Une fois sur place à Wana, A.G.T, lui-même, apercevra Bijou en train de s’enlacer contre N.M en fredonnant une chanson d’amour dénommée «diarabi». A.G.T. accompagnait en ce moment des enseignants du milieu qui étaient venus échanger avec lui dont un natif de Goundam, B.S. Pire, en rentrant chez lui, A.G.T surprend les deux tourtereaux en train de faire la bête à deux dos dans son lit. Il a pris tout son temps pour les écouter dans leur basse besogne. Et tout se passait sous les yeux de leur collègue F.Y dite La vieille.
Surpris tous les trois, ils ont dû reconnaître leur forfaiture qui durait depuis de 10 mois. Comme on pouvait s’y attendre, S.M.H est prête à accepter le divorce et à réparer le préjudice causé à son mari. A.G.T, lui, s’apprête à entamer une procédure de divorce.
Sinaly KEITA
Mauvais récit d’une incohérence pas digne d’un journaliste sensé maitriser la syntaxe.
Une femme trompe son mari et Maliweb se hate de publier l’histoire… Mais pourquoi ne feriez-vous pas de même quand ce sont les maris qui s’amusent auprès de jeunes bamakoises par exemple ? Vous pourriez en remplir du papier comme c’est apparement tout ce que vous savez faire… Ah, mais ce n’est pas pareil, c’est vrai ! Une femme, on peut la tromper, un homme non…
D’autre part, quel grand courage que de raconter publiquement les histoires qui ne regardent absolument que les concernés en dissimulant les noms mais en publiant tous les détails possibles pour comprendre qui sont les personnes…
Du grand journalisme ! Bravo ! Et quel honneur !
que du n’importe quoi , on en perdrait la tete a tout lire.Pffffff ni queue ni tete cette histoire.LA HONTE QUOI
Comment un chiffon du genre a-t-il pu échapper à la vigilance de la rédaction du journal “Le reporter”? Un peu de rigueur messieurs de la presse. Un peu de respect également pour vos lecteurs.
Cet article est à l’image du niveau scolaire au Mali. L’auteur ne mérite même pas d’enseigner une classe de 1ère année fondamentale.
Monsieur KEITA, s’il te plait épargne nous des torchons de ce genre. Tu fais honte à la presse malienne.
Et Sinaly KEITA de deposer son plume d’illetré
l histoire est tres mal racontee.Ahhhhhhhhhhhhhhhh, les journalistes de Maliba.Soyez clairs, simples et précis.
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