Le chauffeur d’un camion benne a perdu le contrôle de son mastodonte sur le 3e pont et fini sa course au fond du fleuve Niger tôt lundi matin. Trois personnes étaient à bord. Deux ont perdu la vie. La troisième s’en est sortie indemne. Les dégâts matériels sur l’ouvrage d’art sont énormes.
Un accident tragique s’est produit le lundi 22 août 2016 à l’aube sur le pont de l’amitié sino-malienne communément appelé “Troisième pont”. Un camion benne en partance pour Koulikoro a percuté des garde-fous et fini sa course les six roues en l’air dans le fleuve aux environs de la résidence du défunt Soufi Adama Yalcouyé.
Alertée par les usagers, une première équipe d’intervention de la protection civile de la caserne de Sotuba a été dépêchée sur les lieux. Vu la nature du sinistre, les agents de Sotuba ont fait appel à la direction régionale de la protection civile du district.
“A notre arrivée, nous avons constaté que les garde-fous du pont sont arrachés jusqu’à une cinquantaine de mètres. Et j’ai vu le camion benne renversé dans l’eau. Comme bilan de l’accident, il y a deux morts et un rescapé. Celui-ci a pu sortir de la cabine. Ne sachant pas nager, il cherchait des sauveteurs. Les éléments ont pu le sortir de l’eau. Aussitôt il nous a déclaré que deux autres personnes se trouvent dans l’eau. Nous avons continué nos opérations de secours et elles sont abouties à faire extraire leurs corps sans vie”, a précisé le commandant Bakary Daou, directeur régional de la protection civile du district de Bamako, sur place.
Interrogé sur les circonstances d’un tel accident, le commandant Daou a évoqué l’hypothèse de l’excès de vitesse ou encore du sommeil au volant. La deuxième thèse a été confirmée avec les premières explications fournies par le rescapé.
“Il nous a fait savoir que lui-même dormait au moment de l’accident. Ce qui porte à croire que le chauffeur sommeillait également et surtout vu l’heure de l’accident. Mais les enquêtes nous édifieront davantage sur les causes de l’accident”, a ajouté le directeur régionale de la protection civile de Bamako.
Vers 9 h du matin, les agents de la protection civile ont pu faire sortir la cabine du camion de l’eau. Le rescapé, après sa sortie de l’urgence de l’Hôpital du Mali, a été mis à la disposition de la police du 13e arrondissement pour les besoins de l’enquête diligentée.
Maliki Diallo
Que leur ame repose en paix et mes sincères condoléances a leurs familles.
Esperons que les enquetes et leurs conclusions aboutiront a des resultats comcrets
Les gardes-fou du pont sont les mêmes utilisés pour le décor des rampes d’ escaliers dans les bâtiments. Sinon comment dès simples taxi et motos peuvent casser cette protection et se retrouver dans le fleuve. Des Maliens malins ont détourné l’argent pour le bon materiel et leur mauvaises actions tuent au quotidien nos compatriotes et autres. Il est temps de demander une expertise pour sanctionner cette série d’homicides.
Le 3 em pond le 3 em pond .Avec ces pierres noire a son flanc qui resemble a dela houille .C’est le berceau des diables qui veulent le sang humain .
si une voiture tombe dans le fleuve et qu’on ne save pas nanger vite on se noie.Arreter de dire que les deux autres dormain.le vivant panique et dira cela .
Que la Grâce du Tout Puissant Allah soit avec eux. Amine ! La vitesse, l’irrespect du code de la route, le manque d’entretien et l’erreurement des visites techniques… peuvent être la cause de ce sinistre. Seule solution, la prudence.
Ce n’est pas parce que le rescapé qui était à “la place du mort” somnolait que le conducteur aussi en faisait autant!Laissons les enquêteurs faire leur travail.Paix à l’âme des tués.
……..ce pont est très mal construit et les véhicules roulent trop vite dessus sans aucun respect du code de la route .
Ce pont est très bien conçu, et la vitesse y est limitée à 60 km/h. Ce n’est pas la faute aux concepteurs du pont, si l’incivisme culturel malien fait que personne ne respecte cette limitation de vitesse. Il faut arrêter le dénigrement systématique.
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Pensées rebelles.
Paix à leurs âmes!
Les propriétaires de ces mastodontes n’entretiennent pas correctement leur véhicule, or ces genres de semi-remorques sont très exigeantes en terme d’entretien surtout les circuit hydrauliques qui commandent freins, embrayages et volants. Il faut discipliner ces gens sinon c’est le KO total; les propriétaires sont convaincus que c’est le chapelet qui sauve des accidents dans le défaut d’entretien des semi-remorques, or Allah les ont donné la connaissance technique qu’il faut pour juguler ces genres d’accidents. Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Pays au bord du précipice.
NB: Très Chers propriétaires, entretenaient nos semi-remorques et les dangers s’écartent tout de suite.
s’est faut mr coulibaly yacouba quand ont ne connait pas on ouvre pas la bouche pour ce faire passé comme un expert le système de freinage et d’embrayage de s’est genre de véhicules ne sont pas hydraulique mais pneumatique s’est juste les roues directrices qui sont hydraulique et s’est genre de véhicule sont appeler véhicule articulé s’est juste le véhicule remorqué qui est appeler semi remorque
Les propriétaires de ces mastodontes n’entretiennent pas correctement leur véhicule, or ces genres de semi-remorques sont très exigeantes en terme d’entretien surtout les circuit hydrauliques qui commandent freins, embrayages et volants. Il faut discipliner ces gens sinon c’est le KO total; les propriétaires sont convaincus que c’est le chapelet qui sauve des accidents dans le défaut d’entretien des semi-remorques, or Allah les ont donné la connaissance technique qu’il faut pour juguler ces genres d’accidents. Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Pays au bord du précipice.
NB: Très Chers propriétaires, entretenaient nos semi-remorques et le danger s’écartent tout de suite.
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