Pour avoir abusé de son élève de 13 ans : Le directeur « jouisseur »Seydou MEATCHI arrêté par le commissariat du 3ème Arrondissement

    5

    Cette histoire aussi rocambolesque que ridicule s’est déroulée la semaine dernière au quartier Hippodrome en Commune II du district de Bamako. C’est un couple, dont nous tairons les noms, vivant dans ce paisible quartier, jadis habité appelé « Million kin », qui a saisi, le lundi 19 septembre dernier aux environs de 21 heures, le Commissariat de police du 3ème Arrondissement pour porter plainte contre le présumé ‘’jouisseur’’. Il s’agit de Seydou MEATCHI, Directeur de l’école fondamentale la «Référence », situé dans le même quartier pour attentat à la pudeur et aux bonnes mœurs. Pour tout dire, détournement  de mineur à la personne de leur fille, âgée d’à peine 13 ans. Le fait, qualifiable de pédophilie, lui vaut donc aujourd’hui son incarcération à la Maison d’arrêt de Bamako après une instruction menée de main de maître par les hommes du commissaire principal, Ibrahim Soma Kéïta. Qui ont bouclé l’enquête au bout de 72 heures. Il a ainsi été placé sous mandat de dépôt depuis le mercredi 21 septembre dernier, à la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, où il médite désormais sur son sort.

    Selon nos sources, ce sont les parents de la fillette qui ont conduit le malfrat de 41ans, marié et père de 2 enfants, originaire du Togo,au Poste de police du 3ème Arrondissement. Au motif qu’il aurait abusé de leur fille de 13 ans, en classe de  8ème année de l’établissement, au sein de l’école ‘’Référence’’.   Dès leur arrivée, le commissaire Principal, Ibrahima Soma KEÏTA, a aussitôt instruit à son chef de la police judicaire, le commissaire Jean Marie DRABO, assisté par son adjoint, inspecteur principal Souleymane GOÏTA d’ouvrir une enquête. Au cours de leur interpellation, la maman de la victime, a affirmé qu’elle procède, depuis à l’âge de 11 ans, à un contrôle et un suivi de toilettage sur sa fille. C’est dans ce cadre qu’elle a constaté dans la nuit du 19 septembre dernier qu’il y’a eu un dérangement des parois vaginales, donc selon elle, une pénétration.

    Pour connaitre les vraies raisons de cet état de fait, elle a affirmé avoir engagé un échange entre femme au cours de la quelle sa fille l’a avoué tout en dénonçant le directeur de leur établissement.  Selon la victime, il y’a environ 4 à 5 mois que le directeur la sollicite pour aller nettoyer son bureau. Et qu’à chaque fois qu’elle rentre, qu’il commence à la taper les fesses, quelques fois qu’il tente de l’embrasser.

    C’est ainsi qu’un jour sans se souvenir de la date exacte, mais dans les environs de 12 heures, qu’il l’a dit de venir balayer son bureau. Une fois à l’intérieur, il l’a bouclé à clé ensuite la terrasser sur la moquette. Aussitôt, il s’est jeté sur elle. « J’ai crié mais il a fermé ma bouche avec sa main que j’ai mordue. Malgré tout, il est parvenu à me déshabiller et a fait sortir son sexe pour abuser de moi. Ensuite, il a repris la clé du bureau qu’il avait jeté quelque part pour ouvrir la porte. C’est ainsi que je suis rentrée à la maison en pleurant pour laver ma robe qui était entachée de quelques gouttes de sang. J’ai eu peur de la réaction de mon père, raison pour la quelle je n’ai pas voulu informer ma mère » a-t-elle révélé

    A ses dires, elle a eu honte d’expliquer cette situation à ses copines qui peuvent même témoigner que leur directeur la faisait des attouchements. Avant de préciser qu’à part lui seul, personne d’autre ne l’a jamais fait de tels attouchements et qu’elle n’a jamais fait de rapports sexuels.

    Selon toujours nos sources,  vu la gravité des faita et de l’accusation, le chef de la police judiciaire et son adjoint ont d’abord sollicité le médecin chef de l’hôpital Gabriel TOURE aux fins d’examiner les causes et la gravité de l’anomalie vaginale sur la demoiselle en question. Avantd’entendre les témoins qui ont tous déclaré que le nommé directeur en est capable.La mère d’une élève, a déclaré, qu’elle lui a surpris dans son bureau, accroupie sur une fille. Il y’a environ 6 mois lorsqu’elle était partie récupérer le bulletin de sa fille.

    Parmi les camarades de classe interrogés, elles ont affirmé que la dite victime leurs disait chaque fois que le Directeur la faisait des attouchements au niveau de ses seins et de ses fesses une fois rentrer dans le bureau. Certaines d’entre elles ont même déclaré que le directeur l’appelle sa future femme et qu’il l’a même donné de l’argent à leur présence.

    Elles ont affirmé également qu’elles ont l’habitude d’entendre à travers les élèves que le Directeur a une fois ouvert la porte de la toilette pendant que la victime y était. Avant de dire qu’il mène une aventure avec une élève de la 9ème Année. Une d’entre elles a eu le courage d’affirmer que, la victime de la pédophilie l’a relaté qu’une fois, qu’il a abusé d’elle. Ce jour qu’elles ont informés un boutiquier qui les a chassés.

    Selon nos sources, le nommé Seydou MEATCHI est inconnu des archives judiciaires, il a été remis à la justice pour répondre de son acte.

    Moussa S DIABY(Stagiaire)

     

    Commentaires via Facebook :

    5 COMMENTAIRES

    1. LE COMMISSAIRE SOMA KEITA ET SES HOMMES SONT SOLLICITES POUR METTRE LE GRAPPIN SUR LEUR COLLEGUE DE SIKASSO QUI A VIOLE UNE BONNE DE 12 ANS, FILLE D’UN PAUVRE PAYSAN. LE COUPABLE SE TROUVE PRESENTEMENT DANS UN COMMISSARIAT DE BAMAKO CE QUI FACILITE LA CHOSE. PRIERE DE BOUCLER CETTE HISTOIRE EN 72 HEURES ET D’ENVOYER LE VIOLEUR A BAMAKO COURA.

    2. Des personnes pedophiles de la sorte et tous leurs genres doivent être pendus par les pieds et les castrer.
      Vivement le retour de la Peine Capitale, la Peine de Mort. Voilà….
      Mes sincères sympathies a la famille et autres familles qui sont dans les mêmes cas.

      • OUI SURTOUT QUAND C’EST UN TOGOLAIS SI NON LE POLICIER MALIEN QUI A VIOLE LA BONNE DE 12 ANS, FILLE D’UN PAYSAN DE SIKASSO A MEME OBTENU MUTATION A BAMAKO AVEC PROMOTION. A KA MALIBA HALAKI TÖ DO.

    Comments are closed.