A deux semaines des noces : Une fiancée renonce à son mariage pour infidélité

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    Le sieur Mamadou, la trentaine bouclée, jeune commerçant au grand marché de Bamako, tombe sur une fille du nom de Mah, élève dans un collège de la place. C’était au cours d’une promenade, un samedi après-midi du mois de novembre de l’an passé. Alors que sa nouvelle conquête revenait du domicile d’une de ses copines.

    Après avoir fait la connaissance de la pimpante Mah, suffisamment garnie et d’une beauté radieuse, Mamadou prit le soin d’appâter la sirène en lui proposant une sortie la même soirée, dans le but, dit-on, de mieux se connaître. La demoiselle accepta. Dès la de la tombée nuit, les deux complices se retrouvèrent dans un maquis pour savourer leur première rencontre.

    Mamadou qui nourrissait le désir de curer rapidement le «fond de la marmite» fut rejeté sur le champ par la fille. Depuis, Mamadou comprit, malgré ses moyens mis sur la table, que tous les fonds de cuisses ne sont pas à explorer, séance tenante. Tout compte fait, une amitié vit le jour entre Mamadou et Mah.

    Mamadou ne tarda pas à faire la connaissance des parents de sa nouvelle conquête. Orpheline de père et de mère, elle vivait avec sa tante maternelle (veuve) et l’une de ses filles. Une dévergondé répudiée pour d’adultère. Le brave Mamadou décida sans plus tarder à épouser Mah. Les négociations allèrent bon train.

    Il se trouve seulement qu’il y a  des faveurs désagréables, surtout si vous êtes courageux et que c’est votre belle-sœur qui les met en évidence. En clair, dans la soirée du samedi du 28 avril, Mamadou en a fait les frais lorsqu’il débarqua chez sa dulcinée. Ce jour-là, la maison était déserte. Depuis les toilettes, la cousine de Mah l’invita à prendre «place au salon. Votre chérie ne tardera pas à venir», dit-elle d’une voix câline. Elle savait pertinemment que Mah était avec sa tante chez un oncle habitant derrière le fleuve.

    De retour des toilettes, elle salua Mamadou, entra dans la chambre à coucher et appela au secours.  Le bonhomme pénètre furtivement dans la piaule. Il ne crut, ni à ses oreilles ni à ses yeux quand la cousine qui avait toujours sa serviette à la taille lui tendit une pommade et lui demanda de lui masser le dos. Boule de gomme !

    Après moult hésitations, l’épreuve commença pour Mamadou. Il se tenait derrière un derrière cambré au bord du lit d’où la putain le pria de faire comme si c’était Mah. Doucement, sa main tremblotante descendit jusqu’aux fesses de la décomposé cousine. Mamadou se libéra. Car, son genou était debout et il ne tarda pas à défaire sa ceinture.

    Au moment où il était presque au 7e ciel, il entendit du bruit dans le salon. C’était la malheureuse Mah et sa tante. Elles se précipitèrent dans la chambre à coucher pour constater que c’était trop tard. Car, le lion avait déjà saisi la biche.

    «Je savais que ma fille ne résiste pas devant un homme. On dirait qu’elle est maudite. Tu ne passes pas la nuit chez moi», déclara la tante de Mah qui versa de la bouillie sur Mamadou, quittant les lieux en regardant le bout de ses orteilles  à deux semaines d’une nuit de noces parties en l’air. Sa conquête en avait décidé ainsi…

    Destin GNIMADI

     

    Viol collectif à Dar-Salam

     Trois jeunes se relayent sur une jeune fille

    La population du quartier Dar-Salam a vécu une scène obscène la semaine passée. Il s’agit d’un viol collectif en plein jour. Ce phénomène toujours condamné par l’opinion nationale et internationale semble ne pas s’arrêter demain. De quoi s’agit-il ?

    Une fille du nom de Rianna, habitante de la capitale Bamako vient de subir un viol collectif perpétré par trois jeunes délinquants sexuels. Selon nos sources, cette séance de tir au but ou de tartiner le numéro onze s’est déroulée dans une voiture en plein jour.

    Le comble dans cette affaire est que la partie de jambes en l’air s’est transformée en plateau de tournage d’un film pornographique. En un mot, les ébats des trois hommes ont été filmés. Dans ce chef d’œuvre inédit à Bamako, on voit Rianna, les larmes aux yeux, les cuisses ouvertes entre lesquelles passaient et repassaient les trois violeurs.

    Comment s’est-elle retrouvée avec ces trois hommes ? «Babiè, babiè, babiè écarte tes jambes pour que j’introduise mon bakary  dedans correctement. Ouvre-moi ça bien. Tais-toi, enlève tes mains sinon je vais remettre le film de nos ébats à tout le monde», criait un jeune du nom de Papy comme un âne en chaleur comme d’ailleurs son compagnon.

    «Au nom de Dieu ! Je vous demande pardon. Papy, je te demande pardon. Ayez pitié de moi par la grâce d’Allah. Je vous en prie mes frères. Cela me fait très mal. Au nom de Dieu mes frères», martelait Rianna.

    Notre sœur ne savait plus à quel saint se vouer devant ses baiseurs hors pairs. Ils n’ont même pas pris la précaution de se protéger. A chaque passage, ils prennent la précaution de mettre un comprimé dans le vagin de la fille.

    La situation dans laquelle s’est empêtrée Rianna est déplorable. On se demande : Quel sera son sort pour le reste de sa vie ? Que fera la police et la justice.

    Destin GNIMADI

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    32 COMMENTAIRES

    1. qui sait peut être c’est ce que rihana voulait et que la situation a dégénéré et qu’elle ait ensuite voulu faire retour en arrière?!!!
      et d’ailleurs que faisait elle avec ces 3 garçons?!

    2. Putain! je crains que ces trois gaillards là qui semblent avoir regardé le film “LE SEIGNEUR DES ANNEAUX” ne se soient transformés, eux, en “SAIGNEURS DES ANUS” Mort de rires: 😀

      • 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 tu as une sacrée culture cinématographique 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    3. Rianna l’a cherché, mais ça n’empêche que trois (3) dangers publics soient saisi de leur zizi pour le restant de leur vie.C’est pas leur premier acte et ça n’en sera non plus le derniers.Donc ils doivent être mis hors d’état de nuire…Un message à nos soeurs qui courent jour et nuit derrière ces ratés de la société, rappeurs clacheurs , droguets…Cherchez-vous une autre vie.Tôt ou tard vous regretterez votre choix..

    4. Malheureusement cette scène regrettable passée à Dares salam s’est retrouvé dans les phones des jeunes gens à travers la ville de Bamako.
      Qu’en est-il de nos mœurs?
      Malheureusement notre société a fuit sa responsabilité de la gardienne

      • Salut mon frere;
        Est ce que vous pourriez m’aider a avoir des informations sur la fille, “Rianna”. Je vous donne mon e-mail mohamaddia47@yahoo.com. S’il vous plait.
        Mohamad, un Malien aux USA

    5. Il faut dire à notre sieur Mamadou: à force de tentation et de vouloir le beur,l’argent du beur et en plus enculer la crémière on peur tout. à bon entendeur salut.

      • BORY, toi là tu dois être un grand enculeur des jolis culs des jeunes filles bamakoises, pas vrai??? 😆 😆 😆 😆 😆 😆

        • Salut Mr. Zagalo;
          Pouriez vous me donner plus d’information sur cette jeune fille nommee Rianna,s’il vous plait? Je voudrais savoir d’avantage sur cette fille. Mon e-mail est mohamaddia47@yahoo.com.
          Merci

    6. Ce journaliste est d’une imbecilite inouie!! Je n’ai jamais lu un article aussi mediocre et avec autant de fautes!!! Imbecile heureux!!!!

    7. Malheureusement cette histoire de viol est vrai. J’ai moi même vu la vidéo aujourd’hui les gens se l’échange par bluetooth. Il parait que les jeunes concernés sont en fuite.

    8. pourquoi vs en prendre o journaliste ct belle et bein la réalité a bamako ojorduil il ne fs pas ce voile la face bamako est pur que la France il ya des boite échangiste ct un paye démocrate nn

    9. je ne comprend pas pourquoi les gens crtiquent ce journaliste.
      Laisser le faire son job ça aussi c’est une forme de democratie.

        • Ce que je lui reproche, personnellement, se sont les injures, à l’adresse de la mère de la victime!!!!

          Que ces bandits soient punis, et que les journalistes revoient leurs copies avant de les mettre en ligne.

          • On peut parler de faits divers sans être vulgaire!!! et ce journaliste est la vulgarité personnifiée

    10. je demande au directeur de publication du journal le prétoire de chasser des journalistes irrespectueux de ce genre qui se permet de faire des injures grossières dans le journal “qoui qoui” ecarté tes jambes que j’introduise mon Bakary.c’est ton Bakary c’est ton imbécile n’importe quoi.

    11. Ce journaliste doit etre sanctionner et banni du monde journalistique, il pourra ensuite librement travailler dans le domaine pornographique.Degeulasse vous etes,irrespectueux,irresponsable DESTIN.

    12. Destin, ahhh Destin……..Et dire que y a des gens qui croient à tes sottises. Lorsque tu racontes de tels faits divers, un conseil, ne va pas dans les détails, sinon tout le monde saura que c’est de l’iréel, juste un moyen de te faire passer pour un imbécile.

    13. C’est vraimant dommage que le journaliste ne soit pas meilleur que les différents acteurs de son récit, tant les faits rapportés le sont dans des termes très choquants.De grâce, un peu de respect pour les lecteurs et les bonnes moeurs

    14. Vraiment que c’est déplorable !!!! On doit évoluer c’est vraiment sauvage tout çà !!! C’est jeunes méritent une punition exemplaire. Bon Dieu nous implorons ta protection pour nos soeurs contre ces genres drames.

    15. Destin Gnimadi gagne sa vie avec des histoires de fesses !! attention à lui ,quand les barbus vont debarquer à Bamako avec leur charia ,Destin va se retrouver au chomage 😆 😆 😆 😆

      • Un peu de respect aux lecteurs, quel journalistes dans un pays comme le Mali ne sait pas taire les insultes vraiment faites attention c’est vrais que les jeunes doivent êtres sévèrement punis mais toi le journaliste tu es aussi coupable d’insulte grave à l’endroit de la mère de la victime.
        Faites lire vos articles par votre Chef de publication avant de les mettre dans le net. 🙄 🙄 🙄 🙄

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