Les usagers de l’axe routier marché de N’Golonina et Cité du Niger, et précisément au niveau du virage vers la Cité du Niger ne savent plus à quel saint se vouer. L’accès à la Cité du Niger est en passe de devenir un calvaire pour ses résidents et ses travailleurs sans compter les familles qui vivent dans les environs, et cela à cause des ordures qui obstruent la voie, qui s’invitent sur le goudron, dans les familles avec ses odeurs nauséabondes. Bien que la Cité du Niger soit considérée comme une vitrine de Bamako grâce à son cadre naturel, les autorités de la commune II ne sont nullement préoccupées de la situation.
Si rien n’est fait d’ici peu, cet axe routier construit à coup de milliards de nos francs sera bientôt interrompu à cause des ordures et l’inaction des autorités communales. Cela au grand-dam des usagers de cette route, les habitations voisines, les personnes qui travaillent dans la Cité et les personnalités qui y résident. Avec l’inaction de la mairie, la santé des premiers cités est en danger, les derniers constitués majoritairement d’étrangers garderont un souvenir désagréable de notre chère capitale. Pourtant les services qui y sont logés tout comme les résidents payent extrêmement cher pour se doter un tel cadre de vie et de travail. Ces ordures ne sont que des vecteurs de maladies.
Située en commune II du district de Bamako, la Cité du Niger est une zoné cotée. Son terrain fait partie des terrains les plus chers de Bamako. Mieux, les plus hautes autorités du pays ont mis l’accès sur la modernisation de notre capitale. Dans ce cadre les grands axes routiers ont été réalisés, malheureusement qui ont du mal à être entretenus. En plus de la route, ces lieux ne doivent pas être un dépositoire d’ordures, la est zone peuplée et non loin des dépôts de citernes de carburants.
A suivre
A.M
