La 21ème conférence des Nations unies sur le climat a débuté hier matin à Paris. 150 chefs d’État dont le président de la République, Ibrim Boubacar Keita, l’Onu et l’Union européenne sont présents au Bourget dans la banlieue de la capitale française, pour relever les défis du changement climatique. L’objectif de cette rencontre est d’obtenir un accord contraignant pour limiter le réchauffement de la planète en dessous de 2 degrés d’ici 2100. L’Afrique est largement représentée à cette COP 21. Le continent Africain est confronté à de nombreux défis.
La COP 21 a débuté hier matin à Paris. Elle va durer 12 jours en présence de 180 pays. Sur place, l’atmosphère est au travail aux questions spécifiques à l’environnement. La sécurité est renforcée à Paris et au niveau des frontières du pays. En plus de ces mesures, l’accès aux voitures personnelles à certaines routes a été restreint depuis hier. Les transports en commun sont gratuits partout dans la ville depuis hier et encore aujourd’hui.
Dans son discours d’ouverture, le président Français n’a pas caché son espoir quant à la réussite de cette COP. Il a également demandé à ses homologues de ne pas décevoir cet espoir. Selon François Hollande, « il s’agit de décider de l’avenir de la planète ici à Paris ».
Pour cette conférence, l’Afrique a choisi de parler d’une seule voix et sera représentée par un malien Seyni Nafo. Pour les experts, le continent Africain est plus victime qu’émetteur de gaz à effet de serre. L’Afrique prône donc l’adaptation. Selon les observateurs, le continent a d’énormes potentiels pour faire face aux changements climatiques, mais il est aussi confronté à des problèmes de moyens pour les mettre en œuvre.
C’est pour cela que l’Afrique compte beaucoup sur le fonds climat qui devrait lui permettre d’atteindre les objectifs recherchés. Cependant un autre défi pointe à l’horizon. Il s’agit de la gestion de ce fonds. Un accord de transparence sera nécessaire. De son côté l’Union africaine a déjà élaboré sa propre feuille de route avec un premier rendez-vous en 2020. Année à laquelle le futur accord devra rentrer en vigueur.
En attendant, la tendance générale n’est pas favorable à un accord contraignant. Mais il reste encore 11 jours pour faire évoluer cette position.
Selon les organisations de la société civile, au Mali cette conférence sur le climat, doit être l’espace qui permettra au pays de plaider pour un appui conséquent en faveur des actions d’adaptation au dérèglement climatique. Au micro de Studio Tamani, Issa Kamissogo, le président de la Coalition des Alternatives Africaines d’Aides au Développement, s’est expliqué : « les enjeux pour le Mali, c’est surtout tout ce qui concerne le financement des actions d’adaptation. Donc je pense que nous avons beaucoup à nous battre à ce niveau-là pour que la part des pays du Sud soit assez considérable. Mais il y a aussi la responsabilité des dirigeants politiques dans la transition vers les énergies renouvelable. Le Mali en particulier, doit beaucoup jouer à ce niveau. Vous savez nous sommes un pays qui regorge de potentialités énormes en matière d’énergies renouvelable surtout du solaire. Je pense que ça c’est des points sur lesquels nous devons lutter, nous battre, faire passer nos messages afin que les accords qui vont être signés soient suffisamment contraignants à ce niveau-là ».
Avec l’envoyé spécial de Tamani
Un véritable honneur pour le Mali, cet honneur est à saluer et est à considérer vivement.
Nous remercions les pays participant pour la réussite de cette belle initiative qui permet de relever les défis du changement climatique.
Le président de la république vient d’apporter pour le Mali à partir de son leadership une chance à ce pays de se trouver une bonne position dans une des grands positionnements de l’Afrique et de l’UE.
Le Mali est vraiment Honorer, porte-parole des pays Africain, ça c’est une grande chose pour le Mali.
Cela contribuera à l’exploitation de nos produits naturels tels que le soleil qui est en abondance au Mali.
On ne peut guère anéantir le réchauffement climatique mais en unissant nos forces on peut faire plus. Bon vent et surtout, j’exhorte ces initiateurs à mettre un accent fort sur le continent africain car nous sommes les plus concernés.
Bon courage aux organisateurs de cette conférence placé sous le cadre du réchauffement climatique. Nous les soutenons dans ce concept….
De toute évidence, tous les continents font face au réchauffement climatique. Mais, c’est ensemble mais dans la main que nous pourrons y mettre fin. Alors, je suis bien ravi de la tenue de cette conférence.
En tant qu’Africain, je me réjouis de la tenue de cette conférence. Il faut reconnaitre que cette lutte est un combat de tous les jours.
Ensemble nous arriverons à faire mieux, c’est vrai que ce n’est pas facile mais il faut agir tant qu’on peut.
Nous approuvons la présence du président de la République Ibrahim Boubacar Keita dans cette conférence. On est tous au témoin de la sensibilité de ce sujet, cette conférence ne peut pas se passer sans dirigeants.
Espérons que cette conférence des Nations unies sur le réchauffement climatique aboutisse en concret. Selon, mes constats l’Afrique est le continent le plus touché par ce fléau.
Le réchauffement climatique est un fléau qui touche généralement le continent Africain. Dans ce contexte, une telle conférence mérite la présence des dirigeants africains.
L’Afrique fonde de réel espoir en cette conférence sur le réchauffement climatique sans oublier qu’elle est l’une des plus grandes victimes de ce fléau planétaire. Les fonds climat lui permettra de répondre efficacement contre ce phénomène.
Je fonde un grand espoir en cette conférence sur le climat parce qu’elle favorisera à de nombreux pays en développement d’exiger dans ce cadre un soutien financier et technologique pour réduire leurs émissions et faire face aux impacts déjà ressentis.
C’est un honneur pour mon pays de prendre la parole au nom de l’Afrique à cette conférence sur le climat.
Vivement que cette conférence trouve une solution optimale à ce fléau mondial dont mon continent en est la plus grande victime.
Le bouleversement est une réalité en général dans le monde entier et en particulier l’Afrique qui en fait les frais sans toutefois être un continent plus industrialisé. En effet, la COP 21 permettra de trouver un accord plus contraignant qui obligerait les nations les plus pollueurs de dédommager les nations les moins pollueurs.
Contrairement aux autres conférences sur le climat, la COP21 a pour objectif de définir les mesures à prendre pour contenir le réchauffement climatique global de la planète à 2 degrés d’ici à 2100, limite au-delà de laquelle ses conséquences risqueraient d’être irrémédiables.
Aujourd’hui, grâce à des travaux scientifiques de plus en plus précis, on peut dire avec certitude que le climat change et qu’une part importante de ce dérèglement est liée à l’activité humaine. Cependant, il a fallu beaucoup de temps avant qu’un cadre international pour la lutte contre le changement climatique ne soit réellement mis en place. La COP 21 permettra de donner une réponse sur le problème du réchauffement climatique à travers la conclusion d’un accord plus contraignant.
Je me réjouis à l’idée que les Africains aient décidé de parler d’une seule voix. Assurément, si les dirigeants décident de parler d’une seule voix, c’est qu’ils mesurent la portée cette conférence au profit de l’Afrique. Cela permettra aux plus grands pollueurs mondiaux que sont les grandes puissances industrielles mondiales d’avoir un œil regardant sur l’Afrique qui subit impunément de leurs actes. Vivement, à l’issue de cette sortie que les accords soient plus contraignants.
La conférence des Nations unies sur le climat est une plateforme qui permet de débattre sur la question climatique. En effet, cette conférence est l’occasion pour nos dirigeants d’étaler les conséquences du bouleversement climatique sur le continent Africain. Sachant que l’Afrique émet moins de gaz à effet de serre, mais elle est la plus touchée par ce phénomène.
La pollution de la planète par les gaz à effet de serre est une réalité.
Et nous savons que les plus grands responsables sont les pays industrialisé.
Ces sont ces pays doivent prendre des mesure pour réduire la production de déchets polluants pour que nous puissions aller vers un monde où il fait bien vivre.
Nous souhaitons vivement que contrairement aux autres conférences sur le climat,les résolutions qui vont sortir de celle là soient appliquée pour que certains pays puissent diminuer leur production de gaz à effet de serre.Il ne sert à rien de prendre des résolutions si on ne peut les appliquer.Alors faut il un programme de suivi de ces résolutions pour permettre aux pays comme le mien de ne pas être toujours lésés.
L’honneur donné au Mali à cette conférence sur le climat prouve que notre pays joue un grand rôle dans cette lutte.Nous espérons que des mesures concrètes seront prises pour nous permettre de continuer le travail que vous avons déjà commencé.
C’est un véritable honneur pour notre pays qu’un de ses ressortissants soit désigné comme le porte parole de l’Afrique à cette conférence.Cela vient montrer le leadership du président IBK sur le plan international.
Nous espérons que le fond climat sera une réalité pour permettre à notre pays de mettre en œuvre ses projet d’énergie renouvelable…
L’Afrique place vraiment beaucoup d’espoir en cette conférence car elle permettra de prendre des résolutions qui vont certainement faire bouger les lignes.
Notre continent est victime du réchauffement climatique pourtant nous produisons très peu de gaz à effet de serre.Les grandes puissances qui sont les plus grosses productrices doivent réduire leur production pour nous permettre de mieux respirer à travers le monde.
Si l’Afrique a décidé de parler d’une seule voix à cette conférence,c’est qu’elle mesure l’enjeu et a aussi compris que la division ne peut que nous affaiblir face aux grandes puissances.
Vivement que cette conférence s’achève sur de bonne résolutions.
Je fonde beaucoup d’espoir en cette conférence et j’espère qu’elle permettra de trouver des solutions à ce problème qui ne doit pas être négligé car la situation est alarmante.
Vivement que Cop21 délivre le monde qui connait de plus en plus de catastrophe du fait du réchauffement climatique.
L’Afrique est beaucoup menacée car si sa contribution aux émissions globales de gaz à effet de serre est pour l’instant de moins de 5 % pour 15 % de la population mondiale, l’Afrique est fortement concernée par les changements climatiques. La plupart des États de ce continent appartiennent à la catégorie des pays en développement, ce qui les rend plus vulnérables. Si les émissions globales poursuivent leur augmentation, les épisodes de sécheresses ou au contraire d’inondations risquent de se multiplier, entraînant davantage de famines, de migrations, voire de conflits en l’absence d’une gestion efficace.
Il nous appartient donc de nous investir dans cet accord pour éviter tous ces travers.
Avec le réchauffement climatique tous les secteurs sont touchés: +1.3 dégré la température moyenne en Europe pour la décennie 2002-2011 et l’ère pré-industrielle. Dans le monde, la température globale a, en comparaison, augmenté de 0,8°C
Les glaciers des Alpes européennes ont perdu près de deux tiers de leur volume depuis 1850. Phénomène non linéaire, les glaciers se régénèrent globalement moins l’hiver et fondent plus vite l’été. Le front du glacier des Bossons, plus grande cascade glacière d’Europe, a ainsi reculé de 900 mètres depuis 1982, mais n’a pas reculé en 2014.
Capables d’absorber le dioxyde de carbone, les océans ont vu leur acidification augmenter de 30% depuis 1850. Une acidification près de 100 fois plus rapide qu’au cours des 55 millions d’années précédentes.
Où allons nous donc?
Le changement climatique doit nous interpeller tous car en moyenne, le niveau des océans a augmenté de 3 millimètres par an ces vingt dernières années. Un phénomène en nette accélération dans la mesure où ce niveau n’a augmenté en moyenne que de 1,7 millimètre par an au cours du XXe siècle. Un endiguement des côtes est donc nécessaire et a déjà commencé en Europe notamment pour lutter contre les fortes marées et les tempêtes qui les érodent. Depuis la fin du XIXe siècle, le niveau des mers a monté de 19 centimètres.
Il faut que quelque chose soit fait pour améliorer cette situation.
Ce problème sur le changement climatique me chagrine beaucoup car c’est un problème qui en appelle un autre. Tous sont unanimes que les états retournent aux ressources renouvelables mais lesquels?
Et les pays qui,en disposent de très peu que deviennent-ils?
Il faut être prudent pour ne pas que ce chapitre soit à la base de conflits dans le monde; car certaines puissances voudront à coup sûr piller les richesses des autres.
Il faut retourner aux énergies renouvelable mais à quel prix?
Il y a des pays qui ne possèdent pas suffisamment de ressources; où vont-elles donc trouver ces énergies?
Moi je pense qu’il doit y avoir un accord avec des clauses spécifiques à certaines zones bien déterminées.
Que les participants parlent d’accord contraignant je pense que ça ne tient pas vraiment la route car un accord est censé être conclu dans le consensus.
Mais tout compte fait ce sont les pays occidentaux qui sont les principaux pollueurs donc à eux la contrainte.
Sur la question des fonds que la conférence a décidé d’octroyer à l’Afrique je pense que c’est une bonne chose pour booster les choses au niveau de l’application des accords.
Cependant, exiger que la gestions soit transparente est une insulte grave à l’endroit de l’Afrique et donc s’il pense que ne sera pas transparente qu’ils gardent leur argent et nous subirons tous les effets. A y voir plus clair ce sont eux les principaux coupables de cette situation.
Je pense que dans cette logique de réduction des gaz à effets de serre, les pays les plus industrialisés ont plus de responsabilité que nous les Africains c’est pourquoi il leur incombe de trouver des solutions idoines sans compromettre les enjeux de développement de l’Afrique qui sont beaucoup basés sur le développement des industries.
C’est vraiment un honneur pour notre pays que ce soit un de nos dignes fils qui porte la voix de l’Afrique. Je souhaite vraiment que cette conférence ne soit pas une unième conférence de trop car il est grand temps d’agir.
Je salue l’action des différents états qui participent à ce somment. Vivement que ce sommet puisse aboutir sur un accord pour que la planète puisse se sentir un peu plus bien car au rythme où nous allons avec ces catastrophes naturelles qui sont provoquées par le changement climatique; il faut que quelques chose soit fait.
L’honneur nous sommes vraiment rendus, de la participation de notre chef de l’Etat SEM Ibrahim Boubacar Keïta à la position du porte-parole des pays Africain.
Le président de la république vient d’apporter pour le Mali à partir de son leadership une chance à ce pays de se trouver une bonne position dans une des grands positionnements de l’Afrique et de l’UE.
Il a apporter quoi pour le Mali Ibk ?
Apart l humiliation
Même la situation géographique de mon pays a besoin de cette intervention de co21, voilà que l’honneur vient de lui sourire en lui donnant la position de porte-parole des pays Africain.
Cop21 est une grande opportunité pour les pays de l’Afrique, nous sommes honorer par la participation de notre pays et de cet honneur qui lui soit réserver en tant que porte-parole des pays Africain.
Vivement la réussite de cette Coopération de 150 Pays.
Il faut qu’ont se mettent à travailler sans compter sur les autres rien ne vaut la liberté d’un homme ou d’un pays
En d’autre terme aussi La concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a atteint un niveau record au mois de mars, un signe évident du réchauffement climatique, selon l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).
En mars, la concentration mondiale moyenne mensuelle de CO2 dans l’atmosphère a ainsi dépassé pour la première fois le seuil des 400 parties par million (ppm).
«Ce n’était qu’une question de temps», a souligné mercredi Pieter Tans, le principal scientifique chargé de la surveillance des gaz à effets de serre à la NOAA. Il a précisé que les stations de mesure de l’agence avaient déjà indiqué des seuils supérieurs aux 400 ppm dans l’Arctique au printemps 2012, et à Hawaï en 2013.
«Atteindre le seuil des 400 ppm en moyenne dans l’ensemble du monde est significatif», a estimé le scientifique.
Le réchauffement climatique, auquel contribuent les gaz à effet de serre, sera au centre de la prochaine conférence sur le climat de l’ONU à la fin de l’année à Paris. Elle doit déboucher sur un accord engageant plus de 190 pays dans la lutte contre le réchauffement accéléré de la planète pour le limiter à 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle.
Jusqu’à la révolution industrielle du 19e siècle et le recours massif aux énergies fossiles, le taux de CO2 dans l’atmosphère n’avait pas dépassé les 300 ppm durant au moins 800.000 ans, selon des prélèvements effectués dans les carottes de glace polaire.
Acham je suis d’accord avec ton point de vu et je peux ajouter que :
«Cela montre que la combustion du charbon et du pétrole a entraîné une augmentation de plus de 120 ppm des concentrations de CO2 depuis l’ère pré-industrielle, dont la moitié depuis 1980», a insisté Pieter Tans.
L’Agence internationale de l’énergie a annoncé le 13 mars que l’augmentation des émissions mondiales de C02 provenant de la combustion des énergies fossiles s’était arrêtée en 2014 pour se stabiliser au même niveau qu’en 2013.
Un honneur pour mon pays le Mali.
Le cinquième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)9, paru en 2014, prévoit une hausse des températures de 0,3 à 4,8 °C d’ici 2100.
Selon le comité organisateur, l’objectif de cette conférence est « d’aboutir, pour la première fois, à un accord universel et contraignant permettant de lutter efficacement contre le dérèglement climatique et d’impulser/d’accélérer la transition vers des sociétés et des économies résilientes et sobres en carbone10 ». À cet effet, l’accord, censé entrer en vigueur en 2020, devra à la fois traiter de l’atténuation — la baisse des émissions de gaz à effet de serre — et de l’adaptation des sociétés aux dérèglements climatiques existants et à venir. Il s’agira de trouver un équilibre entre les besoins et les capacités de chaque pays. La répartition de l’effort entre les émetteurs historiques et les économies émergentes est l’un des points sensibles de la négociation.
Pour préparer cet accord, chaque pays doit préparer et publier en amont de la COP21 une contribution qui présente un plan de travail concret à même de permettre à l’État concerné de faire sa part au sein de l’effort universel.
La COP21 doit également permettre aux pays développés de mobiliser 100 milliards de dollars par an à partir de 2020, en partie via le Fonds vert pour le climat, afin d’aider les pays en voie de développement à lutter contre le dérèglement climatique.
Selon mes recherches voici en un mot , les objectifs de la COP21
La Conférence de Paris de 2015 sur le changement climatique a lieu du 30 novembre au 11 décembre 2015 au Bourget en France. Elle est à la fois la 21e conférence des parties (en anglais : Conference of the parties, d’où le nom COP21) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et la 11e conférence des parties siégeant en tant que réunion des parties au protocole de Kyoto (CMP-11)1. Chaque année, les participants de cette conférence se réunissent pour décider des mesures à mettre en place, dans le but de limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C. Cette convention reconnaît l’existence « d’un changement climatique ».
Ce sommet international se tient au Parc des expositions de Paris-Le Bourget. Il doit aboutir à un accord international sur le climat, applicable à tous les pays, dans l’objectif de limiter le réchauffement mondial à 2 °C d’ici 2100.
Quel fierté pour le Mali de porter les couleurs mondiales sur les épaules.
En amont de cette conférence, une assemblée s’est tenue pour discuter des enjeux climatiques en Méditerranée à Marseille lors de la MedCop21 les 4 et 5 juin 2015.
La dégradation des terres se retrouve sur tout le continent et constitue un problème majeur. Près de 500 million d’hectares sont dégradés ou considérés comme très dégradés. Ceci est aussi bien lié à la pression démographique qu’à une mal utilisation des terres, le manque de moyen pour la cultiver correctement et la sécheresse. La dégradation des terres mène à une intensification du phénomène de désertisation et à la perte des terres arables. Un environnement dégradé produit moins de nourriture, rend les produits de combustion naturels plus rares, réduit la résistance des écosystèmes et , ainsi, rend le phénomène de malnutrition plus grand encore et accentue la fragilité des personnes face aux maladies.
Les conséquences cumulées de tous ces facteurs sur l’environnement sont la dégradation intensive de la terre et des autres ressources naturelles. Les problèmes sont nombreux : désertification, perte de terres arables et vertes, diminution de la productivité du sol, perte de la biodiversité, pollution et diminution des ressources en eau naturelle et détérioration de la qualité de l’air, et ceci surtout dans les espaces urbains. Dans les villes, cela a encore plus d’implications sur la nourriture, le management des ressources naturelles, la santé des personnes et sur les efforts faits pour éradiquer la pauvreté.
Tout le monde entier doit très vite trouver un terrain d’attente sur le sujet de la protection de l’environnement. Avec l’évolution du monde, la nature devient de plus anéantie par les débris d’usines, les déchets toxiques, les fumés, les gaz à effet de sers. Le monde court vers la perte si on ne fait rien.
La pollution atmosphérique induit de la corrosion due au dioxyde de soufre, des noircissements et encroûtements des bâtiments par les poussières issues en grande partie de la combustion des produits pétroliers, ainsi que des altérations diverses en association avec le gel, l’humidité et les micro-organismes.
«Nous allons bientôt vivre en permanence dans une atmosphère dont la teneur moyenne en CO2 sera supérieure à 400 parties par million», a dit Michel Jarraud. Cela va se traduire par des «températures mondiales plus élevées, par une multiplication des phénomènes extrêmes (vagues de chaleur et inondations notamment), par la fonte des glaces, la hausse du niveau de la mer et l’acidification des océans», a-t-il poursuivi.
En parlant de l’atmosphère et surtout de l’environnement
Des graphiques publiés par cette agence de l’Onu montrent que le niveau de dioxyde de carbone (CO2), le principal gaz à effet de serre, se rapproche avec une grande régularité du seuil des 400 parties par million (ppm), soit 0,04 %. Chaque année montre un nouveau record depuis la tenue des premières statistiques fiables à partir de 1984. Les niveaux de CO2 ont atteint en moyenne 397,7 ppm l’an dernier et ont brièvement franchi la barre des 400 ppm début 2014 dans l’hémisphère nord, puis à nouveau dans le monde début 2015. Ces mesures proviennent d’une trentaine de stations de référence «Global Atmosphere Watch» dans le monde, dont celle installée au sommet du Puy de Dôme en France.
Les polluants sont des gaz ou des particules irritants et agressifs qui pénètrent plus ou moins loin dans l’appareil respiratoire et qui peuvent induire des effets respiratoires ou cardiovasculaires tels que :
Une augmentation des affections respiratoires : bronchiolites, rhino-pharyngites, etc…
Une dégradation de la fonction ventilatoire : baisse de la capacité respiratoire, excès de toux ou de crises d’asthme.
Une hypersécrétion bronchique.
Une augmentation des irritations oculaires.
Une augmentation de la morbidité cardio-vasculaire (particules fines).
Une dégradation des défenses de l’organisme aux infections microbiennes.
Une incidence sur la mortalité à court terme pour affections respiratoires ou cardio-vasculaires (dioxyde de soufre et particules fines).
Une incidence sur la mortalité à long terme par effets mutagènes et cancérigènes (particules fines, benzène).
Le fait de respirer de l’air pur est considéré comme une condition essentielle de la santé et du bien-être de l’homme. Cependant la pollution de l’air continue de faire peser une menace importante sur le plan sanitaire partout dans le monde. […] Plus de 2 millions de décès prématurés peuvent chaque année être attribués aux effets de la pollution de l’air extérieur dans les villes et de l’air à l’intérieur des habitations […] à travers le monde »
En Afrique, il a occasionné le déplacement des bras valides en ville à la recherche de travail car pour assurer leur autonomie alimentaire causée par la sécheresse. Les sécheresses durent de plus en plus. Nous déplaçons nos troupeaux lorsqu’il ne reste plus que de la poussière sur le sol,
Il ne peut pas y avoir un accord de Paris sur le réchauffement d’un côté et de l’autre, les objectifs du développement durable de l’ONU : c’est une seule et même cause. Les pays pollueurs ne se rendent pas comptent qu’ils sont en train de se faire du mal. Nous, nous allons disparaître, mais le changement va toucher la planète toute entière
L’intervention d’un malien à ce sommet est à saluer car nous sommes victime de ce réchauffement climatique qui a créé d’énormes difficultés à l’Afrique.
C’est un honneur pour le peuple d’être le porte parole de toute l’Afrique à ce sommet.
IBK est l’homme qu’il faut pour le Mali et tous nos encouragement
L’état de l’environnement du continent africain est encore influencé principalement par la fort croissance démographique, l’augmentation d’une pauvreté chronique et les comportements à l’encontre de la protection de l’environnement, et ceci surtout quant il s’agit d’agriculture. Ces facteurs ont conduit au phénomène désormais connu de l’interaction population- agriculture- environnement. Il existe également d’autres facteurs néfastes à l’environnement en Afrique : ce sont les inégalités du marché international, le fardeau de la dette, l’impact de la sécheresse et autres catastrophes naturelles et les politiques de développement inefficaces.
L’Afrique est le continent qui produit le moins de gaz à effet de serre. C’est cependant lui qui en subit le plus les conséquences sur son environnement, au détriment de la santé de sa population.L’Afrique est le continent qui produit le moins de gaz à effet de serre. C’est cependant lui qui en subit le plus les conséquences sur son environnement, au détriment de la santé de sa population.
Le faite de voir notre pays ainsi à l’honneur lors d’une rencontre internationale d’une extrême importance est encore plus salutaire. Le Mali a été désigné porte parole de toute l’Afrique lors de cette rencontre. Toute la population malienne est fière et souhaite bon vent à nos représentant.
La couche d’ozone est en train de ce dégrader de jour en jour. Les grande puissance sont les plus grand pollueurs de la nature. Le continent africain est le continent qui pollue le moins mais qui sera le plus toucher.
L’entretien du climat est l’affaire de tous sans exception, le monde entier est en danger avec la population de la nature. Tout le monde entier doit se mettre ensemble pour trouver des solutions de sortie de crise.
Dès son arrivée au pouvoir IBK a tout mis en place pour pouvoir établir les relations diplomatiques de notre pays. Nous remarquons que cette lutte depuis bien longtemps à commencer à porter fruit. Alors toute la population malienne est fière et félicite le président de la République et en plus de cela le corps diplomatique malien.
Nous sommes fiers de notre diplomatie et du président de la république, son excellence Ibrahim Boubacar Keïta. C’est la première fois que le Mali soit désigné porte-parole des pays africains à une conférence sur le changement climatique. C’est un progrès qu’a fait IBK dans le domaine de la diplomatie. 😯 😯 💡 💡
Vive L’Afrique 😉 😉
Vive le Mali 😆 😆
Vive IBK 😛 😛
Vive la diplomatie malienne 😀 😀
Vive la COP 21 8) 8)
Je rejoins ma voix à celle de son excellence François Hollande, président de la France, pour demande à tous les chefs d’Etat de ne pas décevoir l’espoir de décider l’avenir de la planète. Paris sera la ville où le sort du monde sera décidé si seulement si les chefs d’Etat parviennent à cet accord. 😆 😆 💡 💡
La diplomatie malienne commence à retrouve son image. Cela grâce à l’engagement d’Ibrahim Boubacar Keïta. Nous félicitons la délégation malienne présente à cette conférence sur le changement climatique. 💡 💡
L’environnement est une richesse commune. Il doit être protégé et conserver pour le bien de tous. Les pays se doivent de protéger cette ressource pour les générations futures. Je félicite la diplomatie malienne et ses potentialités. 😛 😛 😀 😀 😀
Depuis l’avènement d’IBK à la magistrature suprême, il c’était donné comme objectif de relever avec honneur et l’estime à la diplomatie malienne vis-à-vis du reste du monde. Je remarque que sa détermination depuis un certain temps commence à porter satisfaction. La diplomatie malienne est l’une des diplomaties les plus respecter dans le domaine des relations internationales à travers le monde.
Le continent africain est confronté à de nombreux défi à relever dans le cadre du changement climatique. Le réchauffement de la planète en dessous de 2 degré d’ici 2100 est un défi que doit relever les pays du monde. Ce n’est ni un problème africain ni occidental.
Relever le défi du changement climatique est un problème et un atout du monde tout entier. Nous constatons que plus de 170 pays sont présentés à cette conférence de Paris. Ce n’est ni l’Afrique ni l’Occident mais le monde entier qui doit se mettre à relever le défi du changement climatique. 😛 😛 💡 💡
Le monde entier est présent au COP21. Vu l’importance de cette conférence et que le Mali soit désigné porte-parole des pays africains, c’est vraiment une bonne chose. Le monde entier est confronté à un défi à relever d’ici 2100. La conclusion d’un accord est en cours à cette conférence. 💡 💡 😛 😛 😀 😀
Je suis content d’entendre que notre pays a eu l’honneur d’être désigné porte-parole des pays africains au COP21. C’est du succès. C ce COP21 est autant plus important qu’il ne doit pas être négligé. 😳 😳 😆 😆 😆
Le changement climatique est u fléau qui touche tous les pays du monde sans exception. L’Afrique, l’Occident comme tous les autres continents sont impliqué dans le défi du changement climatique. 😛 😛 😀 😀
Je tient tout d’abord à féliciter le travail salutaire du corps diplomatique malien, car nul était leurs effort le Mali n’aurait point ce privilège. Toute la population malienne est fière de voire son pays représenter toute l’Afrique entier comme porte parole au COP21. 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛
Le fait que le Mali soit désigné porte-parole des pays africains est un mérite qui revient à notre président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta. Le changement climatique est un fait qui concerne tous les pays. 😀 😀 😛 😛 😛
Tu as parfaite ment raison, IBK est la solution, depuis son investiture s’est chargé personnellement et avec l’aide primordiale du Ministre des affaires étrangères, de l’intégration africaine et de la coopération international Abdoulaye Diop ont entamés une lutte infernale pour l’image de notre pays soit rehausser sur la scène internationale. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡
Sur le plan diplomatique, le MALI avait plusieurs défis à relever notamment son honneur, sa dignité et même défendre son intégrité territoriale, rétablir aussi la bonne collaboration et l’intégration qui existaient entre le Mali et le reste du monde. Après l’avènement des émeutes du 22 MARS 2012, le Mali avait perdu toute la considération et la crédibilité qui existaient entre elle et le reste du monde.
Toutes mes félicitions à monsieur Nafo Seyni qui a représenté hier toute l’Afrique à la conférence de cop 21. Ce qui montre que notre pays est considéré sur le plan international diplomatiquement.
C’est le Mali qui était à l’honneur comme cela, un malien choisi pour parler au nom de toute l’Afrique vraiment c’est un grant honneur et une bonne image pour notre pays. Bravo à monsieur Nafo !!!
Félicitations à monsieur Nafo Seyni d’avoir eu cette chance de parler au nom de l’Afrique auprès de la communauté internationale. C’est le Mali tout entier qui a été honoré comme cela et tous les maliens doivent se réjouir de cela.
C’est la diplomatie de notre pays qui a parlé ici. Ce qui montre que notre politique diplomatique est la meilleure en Afrique et nous avons des grands diplomates chez nous. Bravo à monsieur Nafo !!!
Bravo à monsieur Nafo, il a honoré tout le Mali et toute l’Afrique. Cela a été une bonne image pour notre pays et cela vas nous donner d’autre chance à travers le monde et le plan international.
Le Mali a été à l’honneur devant le monde entier, toutes mes félicitations à monsieur NAFO SEYNI qui a parlé au nom de l’Afrique.
Félicitations monsieur Nafo d’avoir été choisi pour représenter toute l’Afrique, vous faites la fierté du Mali et toute l’Afrique. Merci !!!
Depuis qu’IBK est venu à la tête de ce pays la diplomatie malienne prouve chaque jour avec des grant honneurs que notre pays bénéficie à travers les grandes rencontres dans le monde.
Voilà encore notre pays à l’honneur devant des centaines de pays pour parler au nom de l’Afrique et de tous les africains.
Bravo à monsieur Seyni Nafo d’avoir été choisi comme le représentant de l’Afrique à cette conférence internationale sur le changement climatique.
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