Comme d’ordinaire, les routes goudronnées des quartiers Banconis souffrent d’un véritable handicap doublement dangereux pour les usagers et les populations environnantes ; la poussière. Cette situation qui perdure, interpelle fortement le maire de la commune I et ses adjoints.
Présentement, les routes goudronnées qui sillonnent les quartiers Banconi sont insalubre. Et pour cause, elles sont envahies par la poussière qui les inonde. Le nettoyage hebdomadaire n’est plus d’actualité ou du moins n’est plus régulièrement respecté. Cela est devenu courant à Bamako, qui est pourtant notre chère capitale (tous les quartiers confondus, exceptés les quartiers administratifs), de circuler dans la poussière sur une route goudronnée. L’expérience montre que cette poussière qui inonde souvent nos route est très dangereuse, tant pour notre santé que pour notre sécurité routière. Bref, avec le froid qui s’annonce, suivi toujours de ses innombrables tempêtes, les aliments consommés au bord de ces routes seraient à craindre dans la mesure où nos maires ne soignent pas cette plaie à temps. La sonnette d’alarme vient d’être donnée pour assainir ces lieux publics indispensables pour notre plein épanouissement. Pour relever ce défi solennel, le maire de la commune I du district de Bamako et ses adjoints doivent conjuguer conjointement leurs efforts pour remédier cet handicap, répondant du même coup aux attentes des usagers et des riverains routiers.
A suivre…
Ibréhima DIAMOUENE
