Du 1er au 2 juin, Water Aid en partenariat avec l’Association pour le progrès et la défense des droits des femmes (APDF) a organisé un atelier national d’information et de formation des militants de l’APDF et des ONG partenaires dans le cadre de la vulgarisation du code de l’eau et de l’assainissement.
Cette rencontre répond à un besoin réel de vulgarisation des textes applicables au secteur de l’eau et en particulier le code de l’eau pour une meilleure compréhension et une jouissance des droits d’accès aux services AEPHA par les communautés vulnérables.
Aux dires de la responsable de Water Aid, Mme Fatoumata Haïdara, certes des progrès notoires sont enregistrés dans le secteur avec un taux d’accès de 73,1% à l’eau cependant, avec le contexte actuel de crise socio-politique et sécuritaire, les besoins de plus en plus croissants exigent de la part de tous plus d’attention à l’endroit des couches vulnérables dans la jouissance de leurs droits d’accès. “C’est pourquoi, nous avons décidé, connaissant l’engagement et la forte détermination des militantes et militants de l’APDF pour la cause des femmes et des enfants, de nouer un partenariat innovant et dynamique pour contribuer aux efforts de l’Etat dans la promotion du droit d’accès aux services d’eau, d’hygiène et d’assainissement” a-t-elle déclaré.
Signalons que le secteur de l’eau se caractérise par la multiplicité des acteurs et les fortes pressions liées aux différentes utilisations de l’eau, souvent source de conflits.Cette situation a engendré une problématique dont les fondements sont, entre autres, la méconnaissance ou le non respect des règles et principes directeurs de la protection, de la mobilisation, de l’utilisation et de la gestion de l’eau qui ont autant d’aspects essentiels contenus dans la loi n°006/du 31 janvier 2002 portant code de l’eau.
Ce nouvel outil, qui jette les bases fondamentales de la gestion de nos ressources en eau, mérite d’être vulgarisé afin de mieux assurer son application. C’est ainsi que Water Aid a décidé de traduire le code en langue bamanankan et peulh pour une meilleure vulgarisation dans leur zone d’intervention.
Bandiougou DIABATE
je suis d’accord. on ne doit pas attendre une situation comme celle-ci pour apporter des seaux. Mme Haidara pense que ce sont des seaux qui vont aider? ou sont les puits? au lieu d’utiliser l’argent de Water Aid pour ses marabouts et mettre ses patrons a sa disposition, elle ferait mieux de presenter un projet viable pour l’assainissement et l’eau au Mali. nous suivons de pres et verrons ce qui va en suivre.
Salut! mettez-nous ce code sur le net
Le futur est noir dans tous les domaines.
Les ONG nous aident assez, je vous dis que notre politique la gestion de l’eau est totalement nulle. Je vai vous donner une petite statistique: une personne a moyenne consomme environ 130 litres par jour. Au Mali la moyenne est laquelle? a plus de 15 a 20 litres sinon meme moindre.Donc des vies sont en danger et le developpement ecomique aussi. Cela me parrait inadmissible surtout que une des plus grands fleuves d’Afrique traverse les 2/3 du Mali, encore plus notre capitale est divisee en 2 par ce fleuve et apres 50 ans nous ne sommes pas capables de mettre cela en valeurs. Au contraire, le fleuve se degrade de jour en jour, l’ecosysteme disparait beaucoup. Regradez les autres villes du monde meme a Afrique tout au tour. Revoyez vos methodes svp (le gouvernement et water aid).
WATER AID EST UNE ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DURABLE OU UNE ORGANISATION POLITIQUE? OU UNE ORGANISATION DE DEVELOPPEMENT SAPEUR POMPIER? ET ALORS!!!!
y’a pas un code d el’eau et de l’aassainissement au Mali. Il existe seulement un code de l’eau, merci de revoir vos sources
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