Opérationnelle en mai 2014, la vague de stagiaires de formations professionnelles tire son bilan. A travers un point de presse animé par le président du Collectif, Jabar Abdoul Zack Traoré, il a été question des activités menées depuis l’installation de stagiaires. Selon lui, juste après le lancement de stages de formations professionnelles par le président de la République, les bénéficiaires se sont mis à la tâche.
Cette promotion de stagiaires, au total 4620 jeunes, sous l’égide de l’Agence pour la promotion de l’emploi de jeunes (Apej) a été répartie entre différents services. Le bilan à mi-parcours dressé par le responsable du Collectif se résume en des conférences débats, la participation au Forum international de la paix aux côtés du Conseil national de jeunes du Mali, une journée de plantation d’arbres au stade du 26-Mars.
D’autres activités comme la 1re Semaine citoyenne, culturelle et sportive des stagiaires de l’Apej ont été organisées avec un franc succès. En plus de ces actions, Jabar Abdoul Zack fera remarquer que “les crise de trésorerie appartiennent au passé. Les stagiaires reçoivent très régulièrement leurs allocations mensuelles contre plusieurs mois de retard auparavant”. Avant de préciser qu’à ce jour, aucun arriéré d’allocation de stage n’est à signaler, contrairement aux autres années où les jeunes attendaient un trimestre pour se faire payer un seul mois d’allocation (sic !).
A l’en croire, s’il y a eu ses améliorations, c’est grâce à l’engagement des dirigeants de l’Apej. La nouveauté majeure dans ce stage de formations professionnelles, c’est l’existence d’un rapport de suivi de stages. Cette initiative des stagiaires a eu l’adhésion de l’Apej et 20 jeunes ont été mobilisés pour faire ce travail. Et la principale recommandation est de faire une étude de terrain avant de déployer les stagiaires.
Pour le chef des boursiers de l’emploi et des formations professionnelles, Baba Ahmed Kounta, ils sont 200 jeunes bénéficiaires et seront en mesure de créer 1000 emplois. L’activité avait pris du retard à cause du coup d’Etat mais, expliquera-t-il, grâce à la détermination du directeur général de l’Apej, elle reprend avec les formalités bancaires pour les financements. Le président de la première promotion, Mamadou Jonsan Traoré, a salué la création de l’Apej et l’existence de stages pour jeunes.
Les jeunes bénéficiaires ont apprécié à sa juste valeur, la direction de l’Apej qui a entrepris des mécanismes innovants de financements et de partenariat au profit des projets des jeunes.
A.M. C.
Arrêter moi cette histoire d’APEJ, le Général Touré avait été inspiré par des conseillés en mal de conseils. Cette pratique favorise la situation des stagiaires à vie et d’autres “stagiaires pensionnés”. Trouvons une autre formule. Encourageons la promotion de l’investissement (sincèrement) sans saupoudrage. Il ne s’agit pas de créer des structures sans aucune substance telles API Mali ou le personnel broie du noir: des mois sans salaires. Revoyons le cursus scolaire dans nos écoles. Commencer par fermer l’ENA, regarder dans quelle condition sont ces pauvres nouveaux stagiaires formés pour redresser l’administration malienne. Quelle honte! certains de ces stagiaires n’ont même pas de bureau dans leurs services d’accueil. Les initiateurs étaient pourtant de bonne foi. Favorisons l’apprentissage dans les métiers tels la maçonnerie, la menuiserie, la plomberie, les caissiers de banque……..cela se passe dans d’autres pays. Voyez vous? les administrateurs des structures chargées de la gestion des jeunes diplômés sont les cadres les plus riches du Mali: FAFPA, ANPE, APEJ, ils sont mieux traités que la structure……. je ne sais quoi? Nous faisons semblant de ne rien comprendre. De grâce laisser les jeunes en paix, ceux qui survivront des méfaits ravageurs du tabac de la drogue de l’alcool, du vol de Jakarta……..seront les acteurs de l’amélioration ou de l’achèvement de la jeunesse malienne.
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