Malgré l’implication du ministère de tutelle et la facilitation de la centrale-mère, l’UNTM, l’ancien secrétaire général, Namory Kéïta, lui-même suspendu du comité syndical depuis 2013, aurait usé de stratagèmes depuis plusieurs semaines pour éviter de faire face à l’assemblée souveraine. Il menait des actions au nom du personnel sans le consulter.
Ainsi, sur convocation de l’Assemblée générale extraordinaire assistée par le bureau d’Etudes de Me Aliou Traoré, le personnel a approuvé la pétition en s’insurgeant contre les déviations graves de l’ancien bureau contre la direction.
Ce bureau du comité syndical s’est caractérisé par des violations et des déviations graves de ses missions en prenant en otage les directeurs qui se sont succédé à la tête de l’APEJ. Ses membres s’arrogeaient des privilèges indus comme des véhicules de fonction, reclassement sous chantage, financement de proches, gestion opaque du fonds social depuis plusieurs années… L’ancien bureau s’immisçait également dans la gestion de la structure, favorisait le développement et l’instauration de clans, etc. La liste des griefs est longue.
Mais, depuis l’arrivée de Amadou Cissé à la tête de ce service, rien n’est plus comme avant. Raison pour laquelle ce syndicat l’accuse de tous les pêchés d’Israël.
Suite aux débats, le nouveau bureau mis en place comprenant 14 membres est dirigé par Mohamed Lamine Malikité. L’assemblée a également désigné 5 délégués titulaires du personnel et 5 délégués suppléants.
Cléophas TYENOU
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C’est dans l’union que tout est possible, bon vent au nouveau bureau.
les travailleurs ont interet à s’unir et à defendre leur droit en s’acquittant de leur devoir.Malheur à tout personnel qui prete son flanc à la division.
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