Mêmes réduites depuis la fin d’année 2013, les manifestations de ce laisser aller auquel l’actuel Directeur Général Amadou CISSE compte définitivement mettre un terme sont nombreuses.
L’objectif de M. CISSE étant de transformer ce qui était un far-west sous d’autres cieux en une véritable administration structurée, planifiée, responsable et résolument dédiée à ses missions régaliennes conformément aux directives du Département de tutelle et des plus hautes autorités.
Primo, le premier groupe de ces manifestions négatives est le déni manifeste d’autorité. A l’instar d’un petit cartel, une poignée d’irréductibles a tourné le dos à tout ce qui ressemble au code du travail et à son observation. Ainsi que les autres textes. Ils ont décidé alors d’ériger leur système parallèle fait d’intimidations, de colportages et de favoritisme pour exister. Cette mafia sans lois a eu le toupet ambiant de s’arroger le départ de plusieurs patrons de la boite chaque fois que ses intérêts sont effarouchés. Elle en est donc demeurée allègre et rassurée négligeant de peu que tous les rocs n’ont pas le même centre de gravité.
Secundo, ce consortium de hooligans aux relents faussement syndicalistes mêmes désuets a pour spécialité d’être plus royaliste que le roi en s’érigeant en décideurs désignés, piétinant au passage tout lien de subordination et en se portant garant du prince du jour au détriment de l’intérêt public manifeste. Cet énoncé illicite avait fait un lit douillet au cœur d’un système qui a visiblement manqué de gouvernail en un moment donné. Aujourd’hui la leçon est apprise.
Tercio, cette pratique apocryphe avait installé une impunité de la faute en tous cas pour le biotope. De l’absentéisme à la prise illégale d’intérêts, au favoritisme en passant par le népotisme, les promotions accommodées, tout y advenaient comme arme et mérite à l’oisiveté. Dans cette nébuleuse de conciliabules complices et nuisibles au service public, la moindre décision et le moindre acte de gestion stricte prévue cependant par la loi N°90-110 portant principes fondamentaux de la création, de l’organisation et du fonctionnement des Etablissements publics à caractère administratif et une kyrielle d’autres textes sont amplifiées sorties de leur contexte et interprètes comme un tremblement de terre, un crime de lèse majesté, pardon une énormité administrative. Que nenni ! Rien de plus normal et de plus légal que l’on cherche à dénaturer dans le fond et dans la forme !
Ainsi les récents recrutements effectués en début d’année et autorisés par les organes délibérants pour faire face aux nécessités de service, l’affectations de ces nouveaux agents ainsi que les permutations d’opportunité pour plus d’efficacité dans la mise en œuvre des axes du PEJ 2 sont présentés par colonnes interposées d’une presse maniée et borgne car refusant d’aller à l’information de la partie civile lésée et vilipendée à tort. Même la simple dialectique élémentaire de l’addition et de la soustraction manquent aux apprentis « procureurs » qui s’autorisent à insulter sur la place publique quand ils ont fini par réaliser que le règne de leur mafia dépouillée de toute légitimité est à son crépuscule.
Alpha Sanogo
APEJ : Le crépuscule de la mafia
Il est de notoriété publique que l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes est longtemps demeurée un EPA rendu acariâtre par une petite poignée d’aventuriers qui jouaient à cacher le soleil avec leurs mains ? Hélas ils ont perdu la boussole qu’ils avaient ramassé sur un terrain fertile au trouble. Ce temps est révolu ! Cette époque appartient bien au passé et leurs pratiques avec !
APEJ
Siège APEJ
Mêmes réduites depuis la fin d’année 2013, les manifestations de ce laisser aller auquel l’actuel Directeur Général Amadou CISSE compte définitivement mettre un terme sont nombreuses.
L’objectif de M. CISSE étant de transformer ce qui était un far-west sous d’autres cieux en une véritable administration structurée, planifiée, responsable et résolument dédiée à ses missions régaliennes conformément aux directives du Département de tutelle et des plus hautes autorités.
Primo, le premier groupe de ces manifestions négatives est le déni manifeste d’autorité. A l’instar d’un petit cartel, une poignée d’irréductibles a tourné le dos à tout ce qui ressemble au code du travail et à son observation. Ainsi que les autres textes. Ils ont décidé alors d’ériger leur système parallèle fait d’intimidations, de colportages et de favoritisme pour exister. Cette mafia sans lois a eu le toupet ambiant de s’arroger le départ de plusieurs patrons de la boite chaque fois que ses intérêts sont effarouchés. Elle en est donc demeurée allègre et rassurée négligeant de peu que tous les rocs n’ont pas le même centre de gravité.
Secundo, ce consortium de hooligans aux relents faussement syndicalistes mêmes désuets a pour spécialité d’être plus royaliste que le roi en s’érigeant en décideurs désignés, piétinant au passage tout lien de subordination et en se portant garant du prince du jour au détriment de l’intérêt public manifeste. Cet énoncé illicite avait fait un lit douillet au cœur d’un système qui a visiblement manqué de gouvernail en un moment donné. Aujourd’hui la leçon est apprise.
Tercio, cette pratique apocryphe avait installé une impunité de la faute en tous cas pour le biotope. De l’absentéisme à la prise illégale d’intérêts, au favoritisme en passant par le népotisme, les promotions accommodées, tout y advenaient comme arme et mérite à l’oisiveté. Dans cette nébuleuse de conciliabules complices et nuisibles au service public, la moindre décision et le moindre acte de gestion stricte prévue cependant par la loi N°90-110 portant principes fondamentaux de la création, de l’organisation et du fonctionnement des Etablissements publics à caractère administratif et une kyrielle d’autres textes sont amplifiées sorties de leur contexte et interprètes comme un tremblement de terre, un crime de lèse majesté, pardon une énormité administrative. Que nenni ! Rien de plus normal et de plus légal que l’on cherche à dénaturer dans le fond et dans la forme !
Ainsi les récents recrutements effectués en début d’année et autorisés par les organes délibérants pour faire face aux nécessités de service, l’affectations de ces nouveaux agents ainsi que les permutations d’opportunité pour plus d’efficacité dans la mise en œuvre des axes du PEJ 2 sont présentés par colonnes interposées d’une presse maniée et borgne car refusant d’aller à l’information de la partie civile lésée et vilipendée à tort. Même la simple dialectique élémentaire de l’addition et de la soustraction manquent aux apprentis « procureurs » qui s’autorisent à insulter sur la place publique quand ils ont fini par réaliser que le règne de leur mafia dépouillée de toute légitimité est à son crépuscule.
REGLEMENT DE COMPTE ET INSTABILITE ADMINISTRATIVE A L’APEJ
Le DG Amadou Cissé a procédé à 78 nominations et affectations en cinq mois
Du jamais vu dans les annales de l’administration malienne ! Ce qui se passe à l’APEJ dépasse l’entendement, le directeur général, Amadou Cissé qui a du mal à gérer ses agents, les divise, les mute et les affecte à sa guise. Selon son humeur, il prend les décisions de tous ordres qui ne font que bloquer cette structure qui a déjà des difficultés à faire face à la problématique de l’emploi des jeunes. Les nominations et affectations se font à la pelle sans aucune base légale. Les critères de compétences, d’ancienneté, de capacité à la fois intellectuelle et physique sont relégués au second plan. Ce qui importe pour Amadou Cissé, c’est d’appartenir à son clan. En clair, les seuls critères sont : le clientélisme, l’affairisme et le copinage.
Ainsi, du 05 février 2015, date de la première décision au 04 juin 2015, date de la dernière décision, pour le moment, 78 agents ont été nommés et affectés. En détail : le 05 février 2015, la décision a concerné 22 agents. Le 08 mai 2015, elle a concerné 32 agents. Et la troisième, du 04 juin 2015 a vu la nomination et l’affectation de 24 travailleurs. A titre de rappel, l’effectif des agents de l’APEJ tourne autour de 122 personnes. Le DG, Amadou Cissé agit dans l’illégalité. Selon un responsable de l’UNTM que nous avons interrogé, dans les statuts de la fonction publique, aucun directeur ne peut toucher à 50% de l’effectif des travailleurs de sa structure. Dans le cas de l’APEJ, presque 65% des agents ont été concernés en ci-peu de temps.
Sur un autre plan, des chiffres sont balancés tous les jours que l’APEJ s’y emploie dans l’atteinte des objectifs de création des emplois définis dans le programme du président de la République. Ces chiffres, selon les connaisseurs, sont faux. IBK doit ouvrir les yeux sinon le réveil sera brutal. Le jour du décompte final sera une grande déception. Et pour cause, aucune stratégie efficace n’est mise en place pour créer des emplois en masse. Ce qui importe pour l’actuel directeur de l’APEJ c’est de remplir les poches, diviser les agents ainsi que les jeunes en quête d’emploi. Il est aidé en cela par le ministre de l’emploi, de la jeunesse et de la construction citoyenne, Mahamane Baby pour qui IBK a beaucoup d’estime. Mais sa sincère envers ce dernier est douteuse. Tant qu’il ne se séparera du DG de l’APEJ, aucun acte concret ne sera posé à l’agence
Nous avons attiré l’attention des plus hautes autorités du pays par rapport à la mauvaise gestion des ressources publiques en cours à l’APEJ. Nous n’avons pas été entendus. La publication du rapport 2013 du bureau du vérificateur général vient nous réconforter dans notre logique que l’agence créée pour l’emploi des jeunes est une agence privée qui sert les intérêts pas des jeunes à la recherche de l’emploi mais de quelques privilégiés placés au sein du département, à la direction de l’APEJ et quelques jeunes ou associations de jeunes à la solde du ministre, du DG et proches du cercle restreint. L’APEJ depuis sa création a été mal gérée mais, l’actuel directeur général, Amadou Cissé, qui crie sur tous les toits qu’il est un proche du ministre, Mahamane Baby, fait ce qu’il veut et n’a de compte à rendre à personne, a donné un coup de poignard dans le dos de la structure. Par son arrogance, son incompétence, sa politique de diviser le syndicat ainsi que tous les travailleurs pour mieux régner, l’agence broie du noir. Elle est minée par la fraude à grande échelle et la mauvaise gestion. Aujourd’hui, l’atmosphère est morose à l’agence. Le moral du personnel est à son plus bas niveau. Amadou Cissé, un DG de plein pouvoir terrorise une certaine catégorie de travailleurs. Dans sa politique de semer « la merde » au sein des agents, il a initié une pétition avec pour finalité de mettre en place un nouveau syndicat en violation flagrante de tous les règlements et lois en matière syndicale. « Pour qui connaît les difficultés d’avoir un boulot dans ce pays pauvre, certains travailleurs pas courageux, sans dignité, ont sauté sur l’occasion. Ils ont signé la pétition contre leur volonté parce que leur travail était en jeu. Ils ont peur. Ce sont des lâches », a fulminé un cadre du département de l’emploi, de la jeunesse et de la construction citoyenne qui n’est d’accord avec la méthode de gestion de l‘APEJ et de poursuivre : « Les plus courageux, les plus responsables, c’est-à-dire ceux qui ont refusé de signer la fameuse pétition ont été traités de tous les maux. Ils ont été considérés comme les bannis. Ce sont eux qui font les frais aujourd’hui des nominations et affectations arbitraires ».
Le 1er mai dernier, le DG, a franchi le rubicond dans sa tentative de diviser les travailleurs. Ceux qui ont acheté les pagnes du syndicat légitime et reconnu par l’UNTM ont été sommés de les rendre. Il aurait fait sortir de l’argent de la caisse de l’agence pour commander lui-même des pagnes au nom du syndicat fantoche qu’il a mis en place donc un syndicat à ses ordres pour l’aider à piller les ressources de l’APEJ une structure publique sans pression, ni dénonciation. Ainsi, tous les agents qui ont refusé de signer la pétition et de payer les pagnes avec son syndicat à lui sont entrés dans son collimateur. Même ceux qui ont voulu être neutres dans ce bras de fer ont fait les frais. Comme un éléphant dans un magasin des poupées, il a fait le ménage. Il a fait des nominations et affectations selon son bon vouloir.
La suite est connue, ils ont été sanctionnés sur le plan administratif. Certains ont été mutés, dégradés ou relevés de leur poste. Les mutations ont été faites de façon déferlante. Un chef de parc s’est retrouvé chauffeur particulier du DGA. Un autre coursier a été muté à la coordination de Mopti. Un vieux chauffeur a aussi été sanctionné pour son refus de pactiser avec le diable. Il a été muté à la coordination de Bamako pour qu’il ne trouve plus de mission. Donc ses revenus vont chuter. Un autre agent doit quitter son poste à Gao pour rejoindre son nouveau poste à Tombouctou mais la direction est entrain d’exercer une terrible pression sur ce dernier pour qu’il parte à Tombouctou sans passation de service.
Malheureusement certains travailleurs de son propre clan commencent à comprendre que le DG agit pour ses propres intérêts. Son seul souci c’est de préserver son poste en exploitant les agents naïfs. « Sinon qu’est-ce qu’un directeur général a à foutre dans une minable affaire de pagnes ? Amadou Cissé manque-t-il de personnalité, mérite-t-il de diriger une structure comme l’APEJ ? », s’interroge un ancien cadre de l’APEJ. Avec Amadou Cissé à l’APEJ, on aura tout vu. Il gère la boîte comme sa famille. Il dirige l’agence comme Pierre N’kurunziza dirige le Burundi c’est-à-dire d’une main de fer. Toute autre voix contraire à la sienne est muselée, embastillée, relevée, dégradée. C’est ce climat qui prévaut à l’APEJ. D’après nos sources, le ministre de l’Emploi, de la jeunesse et de la construction citoyenne, Mahamane Baby est belle et bien au courant des agissements du DG, Amadou Cissé mais le laisse faire. Mais le jour où les choses vont tourner mal, il interviendra et ça sera trop tard.
De toutes les façons, l’histoire rattrapera tous ces gens là qui pillent les ressources du pays dans l’impunité totale. Cette situation ne demeurera pas. Elle va changer par la force des choses. Un jour tous les cadres qui se sont enrichis sur le dos du contribuable malien rendront des comptes d’une façon ou d’une autre. A bon entendeur salut !
Dans nos prochaines éditions, nous allons disséquer en détail, la décision N° 5-0040/APEJ-DG/CJ du 04 juin 2015 portant nominations et affectations parmi le personnel de l’Agence pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (APEJ). La dernière décision du 04 juin 2015 a vu la nomination et l’affectation de 24 agents dont deux agents sans contrat. C’est-à-dire que ces deux agents ont été mutés sans qu’ils aient dûment signé un contrat de travail. C’est qui est contraire aux dispositions en la matière.
Sa ne m’étonne pas au mali tand qu’il y’a l’argent les gens sont capable de vendre père et mère pour l’avoir
Monsieur le journaleux, faîtezs attention à ce que vous écrivez car ça pourra vous rattraper. i le syndicat que tu accuses de tous les maux d’Israël n’était pas légitime pour ne pas dire légal, pour l’incompétent et le méchant Baby les a reçus à la faveur de son retour du voyage de Niamey en févirer 2015 en leur demandant de mette “la balle à terre”. Ce monsieur, le Directeur Général, je veux dire, n’a qu’un DUT, avec son ami ministre le plus malhonnête du gouvenrement ont trafiqué son diplôme en le faisant passer comme un gestionnaire. Qu’il dise un Malien avec qui il est condisciple, ça n’existe pas. Mieux, il s’estillustré dans les promotions canpées, allant jusqu’à nommer une dame incompétente, aux moeurs légères, au poste stratégique de chef de département Financement et Garantie de surcroît , en retrogradant ceux qui ont occupé des hautes fonctions à de postes qui n’xistent même pas dans l’oganigramme. Baby et Cissé doivent être pendus, ils ne pensent qu’à leur confort personnel. Cissé finance les frais maraboutiques de son mentor de ministre, recrute ses copines et les parents de ce dernier au grand dam de la jeunesse Malienne, qui n’a pas la chance d’avoir des connexions avec Baby ou quelqu’un du RPM. IBK, il est temps q’agir, l’amateurisme de ces duex hommes, qui constituent une entrave sérieuse à ta politique, n’a que trop durer.
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