Le président de l’Association des Jeunes Diplômés Stagiaires de l’APEJ, contingent 2019 (AJDS-APEJ), Mamadou DIAWARA, a animé une conférence de presse le lundi 11 mars 2019 à la Maison des jeunes de Bamako. L’objectif de cette conférence était de porter à la connaissance de l’opinion nationale l’existence de leur association, créée le 28 février dernier. Le programme des activités projetées en 2019 était à l’ordre du jour.
Dans le souci du bien-être des stagiaires et du bon déroulement du stage, les jeunes diplômés stagiaires de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes du Mali (APEJ) se sont organisés en association. Avant hier matin, le président de ladite association était face à la presse à l’occasion du lancement officiel des activités de leur association.
Au cours de cette rencontre avec les hommes de médias, le président Mamadou DIAWARA dit MAO a expliqué les objectifs de l’association et les activités à entreprendre. En effet, l’AJDS n’est pas une association de plus, mais une association qui a des objectifs claires, nets et précis, explique-t-il.
Selon lui, il s’agit pour eux de créer les conditions nécessaires à la bonne marche du stage, d’accompagner les stagiaires du début jusqu’à la fin. A l’en croire, ils mèneront, pendant la période de leur stage, des activités suivantes : une conférence débat sur l’employabilité des jeunes et les techniques d’embauche ; une compétition sportive entre les différents départements ; une visite dans les fermes agricoles ; un voyage dans les régions pour s’imprégner de la réalité des stagiaires et une activité culturelle pour clôturer l’année.
Pour le président du contingent 2019, la réalisation des activités nécessite le respect des principes, tels que le respect de soi et celui des autres, du travail bien fait. Pour ce faire, il invite ses camarades à être sérieux dans leurs lieux d’affectation et à respecter leurs collègues. De surcroit, il leur demander de pas être des stagiaires amorphes, qui s’ennuient au travail. Ils doivent se montrer disponibles à aider leurs responsables hiérarchiques, même si ceux-ci ne leur donnent pas de tâches à effectuer, recommande-t-il.
Oumar SANOGO