Bien que bon nombre de ses membres figurent sur des listes pour les élections municipales du 20 novembre, la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) tente de faire porter le chapeau de l’échec de l’installation des autorités intérimaires au gouvernement.
Le processus de paix au Mali bat de l’aile. La confiance, qui s’instaurait entre les différentes parties, s’effiloche. En plus de la situation de Kidal, qui a freiné l’effectivité des autorités intérimaires, un autre coup rude vient d’être porté à l’application de l’accord pour la paix et la réconciliation.
La Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, principal signataire de l’accord), dans un communiqué en date du 6 octobre 2016, accuse ouvertement le gouvernement. Motif invoqué : elle n’a appris la décision du gouvernement du Mali d’organiser les élections municipales le 20 novembre 2016 que par voie de presse.
Pour la CMA, “cette décision est prise au moment où elle dépose sa liste de conseillers régionaux pour la mise en place des autorités intérimaires en vue de doter les régions d’organes chargés d’organiser les élections, préparer le retour des dizaines de milliers de réfugiés et de déplacés sans lesquels une élection crédible paraît irréalisable”.
La CMA estime en outre que “cette décision n’a pas associé toutes les parties signataires de l’accord pour permettre le choix d’une date consensuelle”. Et abrégeant ses récriminations, elle invite le gouvernement à adopter une démarche plus conciliante pour parvenir à des choix constructifs dans l’intérêt supérieur de la paix.
Diversion
A la lecture de ce communiqué de la CMA, il paraît utile de souligner que la Coordination tente tout bonnement de se donner bonne conscience. Sur le terrain, notamment dans les localités sous le contrôle de l’Etat, toutes les conditions étaient réunies pour installer les autorités intérimaires. Cela n’est pas le cas dans les zones comme Kidal et autres où la CMA règne sans partage.
Tout le monde est unanime pour dire que même la ville de Gao, longtemps opposée à la mise en place des autorités intérimaires, a finalement cédé avec les assurances données par le gouvernement. La logique, en pareil cas pour les autorités, serait d’anticiper sur toutes éventualités. Cette posture semble être la bonne pour permettre l’administration normale des communes.
Par ailleurs, la CMA fait de la diversion dans la mesure où nombre de ses cadres se sont inscrits sur la liste des communales dans plusieurs circonscriptions dans le Nord.
Alpha Mahamane Cissé
un peuple feneant et castre de peur de la mort qui avant glorifiait tout homme meme les femmes, c’est une consequence directe de l’islamisation et le concept de paradis( s’allier a la parade des cons louant eternellement l’envahisseur) et l’enfer (esclavage eternel, prison, menottes a vie), le LACHE a suivi, LES BRAVES SONT MORTS EN MASSE, beaucoup de lachete s’est multipliee depuis ces temps et LA LACHETE EST DEVENUE UNE NORME DE COMPORTEMENT…. 2 000 000 DE REBELLES CONTRE 10 000 000 DE NATIONALISTES REPUBLICAINS, non il ya des cherifs,…non il ya des wahabites, non il ya des chiites, non il ya des hamalites, non il ya des koureshiites, non il ya des tidianites, testicules par ci testicules par la LA DIVISION FECONDE DANS LA LACHETE GENERALISEE, 200 soldats francais 200 allemends 200 americains, 200 hollandais….des gens qui ne se battent pas s’ils ne se font pas sauter sur des mines et qui des fois arment et exploite la rebellion, ….
QUE LES RELIGIONS ABRAHAMIQUES FABRIQUENT DES LACHES EGOISTES ET MATERIALISTES CAMOUFLES DERRIERE UN DIEU-ARGENT!!!!
KOMOH KA U BE KOKLI PREN KELEN KELEN!
AUTORITES INTERIMAIRES POUR LES NOUVELLES CREATIONS ET KIDAL ET LE RESTE LES POPULATIONS CHOISIRONT ELLES MEMES LEURS ELUS.LE MALI DOIT SORTIR DES DICTATURES MOUSSA EST PARTI LA DEMOCRATIE UNE OPPORTUNITE MAIS TALONNEE AUJOURD’HUI PAR DES HOMMES ARMEES NI FOI NI LOI QUI NE LUTTENT QUE POUR LEURS PROPRES INTERETS.LES MALIENS DOIVENT S’UNIR LE PAYS EST EN DANGER.
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