Au cours de sa rencontre avec la classe politique, le jeudi 08 juillet, le Premier ministre a rappelé la volonté politique des autorités de la transition de mettre en place un organe unique de gestion des élections. Ce qui n’est pas du goût d’une bonne partie des acteurs politiques qui évoquent un manque de temps.
-maliweb.net– Le Chef du gouvernement rouvre le débat autour de la mise en place de l’organe unique de gestion des élections. Dr Choguel Kokalla Maïga lors de sa rencontre avec la classe politique a rappelé la volonté politique des autorités de la transition de mettre en place un organe unique de gestion des élections. Cette préférence du Premier ministre est dictée par sa volonté d’éviter au maximum les contestations à l’issue des élections prévues pour février et mars 2022.
La volonté du Premier ministre se heurte à l’intransigeance d’une bonne partie de la classe politique qui le soupçonne de vouloir prendre comme prétexte la mise en place de l’organe unique de gestion des élections pour proroger la durée de la transition. Car pour eux, il est impossible de mettre en place l’organe unique de gestion des élections avant le terme de la transition. Ils proposent le maintien des 03 organes existants à savoir la délégation générale aux élections, la Commission nationale indépendante (CENI) qui verra ses prérogatives renforcées au détriment du ministère de l’Administration Territoriale.
La mise en place de l’organe unique des gestions des élections révèle au grand jour le manque de confiance entre la junte au pouvoir et la classe politique, qui craint de voir la structure prise en otage par les militaires. Car chat échaudé craint l’eau froide. Et la mise en place du Conseil National de la Transition (Cnt) est assez illustrative.
Ce qui est sûr la création ou non de l’organe unique de gestion des élections est loin d’être close. Surtout que même des experts commis par la Primature estiment que sa mise en œuvre dans le délai restant de la transition sera un défi majeur. Ce qui en filigrane relance le débat autour de la prolongation de la durée de la transition.
Abdrahamane SISSOKO/Maliweb.net
Si l’on examine cette question d’organe unique, on se rend compte qu’il n’est pas aisé de trancher. En effet, on se souvient que la CENI de Tapo, en 1997, a connu un échec cuisant. L’architecture électorale qui lui a succédé n’était pas non plus des meilleures puisque les élections organisées sous cette emprise ont toutes été contestées hormis celles de 2013 ayant consacré l’avènement d’IBK ( dans un contexte assez particulier).
Les élections prochaines doivent-elles être organisées sur cette base? Difficile d’y répondre. D’où la revendication légitime des partisans de l’organe unique dans une version plus crédible.
Alors ceux qui militent (pour ou contre) le système électoral actuel ont chacun des argument à faire valoir.
Dans ces conditions il faudrait trouver un modus vivendi.
Ma conviction est qu’il ne serait pas convenable d’aller aux élections sous l’emprise des structures existantes. Elles sont obsolètes et peu crédibles aux yeux d’un grand nombre de nos concitoyens. Elles ont fait la preuve de leur inefficacité à travers une série d’élections contestées. La sagesse recommande de ne pas persister dans l’erreur. Un homme averti en vaut deux dit l’adage.
L’argument du respect du délai imparti par la communauté internationale semble fallacieux à mon avis. Car il s’agit, cette fois-ci pour le Mali, d’éviter de retomber dans nos errements ou turpitudes du passé. Nous n’avons plus droit à l’erreur : avait martelé Assimi lors de sa prise de pouvoir.
Devant l’incertitude, la complexité d’une question (ou le doute sur la faisabilité de quelque chose), je vous propose de méditer cette citation de Mandela. Je cite : cela est impossible jusqu’à ce qu’on le fasse. Fin de citation.
Ainsi, l’organe unique, si nous le voulons, nous le pouvons pourvu que l’on se mette aussitôt au travail en taisant nos égoïsmes et autres querelles intestines pour ne voir que l’essentiel : l’honneur et la respectabilité de notre pays en que nation. Car voyez-vous que l’on commence à nous manquer de considérations et de respect ?
Sachons trouver un compromis dynamique pour récupérer le Mali que Modibo Keita et Moussa Traoré nous ont légué. N’oublions pas qu’il ne nous reste que le tiers (presque) de ce legs qui est aussi menacé par les terroristes de tous ordre. Nous sommes des croyants depuis des millénaires dans ce pays mais nous ne pouvons accepter l’obscurantisme religieux.
Enfin, de grâce, trouvons un modus vivendi, en faisant l’union sacrée autour de l’essentiel. C’est ainsi que l’on se sauvera tous en sauvant le Mali notre maison commune.
Une chose est claire , le peuple majoritairement suit le PM qui est le sauveur du peuple désabusé par ces charognards hommes politiques qui ne cherchent qu’à voler l’argent du contribuable n
PENDANT QUE NOS-SOUS-HOMMES DE LEADERS DE PARTIS-POLITIQUES JOUENT AU ”SABLE” ET QUE LEURS DERRIERES DESSINENT :)) ” -3 ” :)) , ILS JOUENT AUX ”ELECTIONS” LE MONDE BOUGE, LEURS PEUPLES SOUFFRENT….
SOUDAN DU SUD, J AI DIS IL 10 ANS QUE LA FRANCE VA ESSAYER DE DIVISER LE MALI EN NORD SUD, PUISQUE LA GB A REUSSI A DEMEMBRER SON SOUDAN, LA FRANCE DEVRAIT AUSSI TENTER DE DEMEMBRER LE SIEN…
NOUS SOMMES DES QUFAAROHW, NOUS SOMMES : KAFAAROHW, KEMTS, NOMES, NOMADES, ETIOPS, AFRIQI, ALFAROUQ, ORO, M’ORO, FARO, SWARTZ,SWISS, SAUVAGES, ZUAVS…MELO,MAAL, CHAAKOUR,…!
NOUS SOMMES PAS DES ADAMADENW, NOTRE MERE N EST PAS ”EVE”
🙂 Dix ans après son indépendance, le Soudan du Sud est passé du rêve au désespoir
Des habitants de Juba célèbrent dans les rues la naissance de leur nouvelle nation, le 9 juillet 2011
Des habitants de Juba célèbrent dans les rues la naissance de leur nouvelle nation, le 9 juillet 2011
afp.com – Roberto SCHMIDT
07 JUIL 2021
Mise à jour 07.07.2021 à 12:00
Par Waakhe Simon Wudu
liaison
://information.tv5monde.com/info/dix-ans-apres-son-independance-le-soudan-du-sud-est-passe-du-reve-au-desespoir-415972
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Ces attaques sont menées pour des raisons politiques ou d’accaparement de terre et de bétail, mais visent également stocks d’aide et personnels humanitaires: sept travaileurs humanitaires ont été tués en 2021.
“Le dénominateur commun de toutes ces violences locales est qu’elles se déroulent dans un Etat défaillant”, souligne Alan Boswell.
🙂
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