Face aux représentants des partis politiques et des acteurs de la société civile malienne, M. Diamoutani a indiqué que “le montant des indemnités et le taux de fonctionnement des démembrements, en temps normal, ça fait à peu près 108 millions de francs FCA par mois”.
Evoquant les raisons qui ont motivé la suspension des activités des démembrements, M. Diamoutani a expliqué qu'”au regard du fait qu’ il n’ y ait pas d’ activités concrètes sur le terrain, on a pensé que pour des raisons financières il fallait sursoir à leurs activités” avant d’ ajouter que “lorsque les étapes du processus électoral vont être abordées, fin prêtes, on va les activer”.
Par ailleurs, a-t-il dit, “rien que pour la formation des nouveaux membres des démembrements de la Ceni, ça coûte plus 600 millions de francs CFA. Deux ans de fonctionnement des 15 membres de la Ceni avec le personnel d’ appui au niveau du siège (à Bamako), ça ne vaut pas la moitié de cette somme”.
A noter que les 795 démembrements de la Ceni, dont les activités sont suspendues pour le moment, sont repartis entre les “différentes régions du Mali et les six communes du district de Bamako”.
(Xinhua) / Vendredi 5 octobre 2012 | 16:12 UTC
Je ne comprend que certaines personnes soient préoccupées par les élections dans un pays en guerre de libération, car le Mali est un et indivisible. Ce n’est pas les régions du nord qui sont sous l’occupation, mais c’es le Mali entier qui sous occupation, pour donner un sens au terme “le Mali est un et indivisible”.
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