Elections communales de 2016 : Une forte interpellation du président IBK

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Certaines crapuleries sur le terrain politique accentuées lors de la tenue des élections communales du 20 novembre dernier interpellent directement le Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta.

Il y a des enseignements à tirer des élections communales tenues le 20 novembre dernier dans de nombreuses collectivités territoriales du pays. Les mauvaises habitudes ont la vie dure, dit-on. A quelques exceptions près, les acteurs politiques se sont investis dans une distribution d’argent à grande échelle pour séduire les électeurs. L’argent a coulé comme l’eau dans le fleuve. Malgré tout, les citoyens ont boudé les urnes comme en témoigne le taux de participation de certaines communes. Les citoyens affichent un mépris, voire un dégoût de la chose politique. Surtout que les partis politiques ne prennent jamais en compte les avis des populations. Le mépris des citoyens de la chose politique interpelle le Chef de l’Etat.

La responsabilité du Président de la République est engagée face à certaines crapuleries qui se déroulent sur le terrain politique.

Lui qui peut se targuer d’avoir une légitimité, jamais égalée par un homme politique au Mali. Face à la boulimie du RPM à travers certaines pratiques qui agacent les partis alliés, le Président Ibrahim Boubacar Kéïta est vivement interpellé. Les tensions sont perceptibles presque partout avec des contestations à l’appui. Actuellement, c’est le pis-aller.  Il faut agir ! Sinon bonjour les dégâts.

B. Siby

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2 COMMENTAIRES

  1. fRANCHEnt je suis d ‘accord avec vos conseilles ,je valide IBK doit vous chercher pour redresser le pays, VIVA, vos anlyses sont bien faites , mais je comprend pas tu es Rasta et Kassin a la fois,i ka fari deh
    SOLO

  2. Dans les crises politiques, le plus difficile pour un honnête homme n’est pas de faire son devoir, mais de le connaître.
    MOI VIVA JE PEUX AIDER ET CONSEILLER IBK; IBK DOIT TOUT D’ABORD LIMOGER IMMÉDIATEMENT LE VIEUX INERTE PREMIER MINISTRE MODIBO KEITA, QUI NE SERT à RIEN SI CE N’EST DE VOLER ENCORE PLUS ET DE SE SOIGNER DANS LES CAISSES DE L’ETAT pour SOULAGER SES PROUESSES SEXUELLES CONTRE LES FEMMES D’AUTRUI. IBK doit DIRE à AMI D’ENLEVER SA BOUCHE DE LA CHOSE POLITIQUE, IBK doit TOUS LES JOURS PARTIR DE CHEZ LUI A KOULOUBA A PIED OU DANS UNE SEULE VOITURE DE FAçON HUMBLE ET DIMINUER DANS LES DEPENSES DE L’ETAT, de rencontrer LES GENS AVEC DES DESCENTES DE VISITE DE NUIT DANS LES GRINS QU’IL MAIPRISE TANT POURQU IL SACHE QU IL N’Y A PAS QUE DES FENEANTS ET CELA LUI PERMETTRAIT DE JOGER RéELLEMENT LA SOUFFRANCE DE NOTRE PEUPLE. IL DOIT MANGER UNE FOIS DANS LA JOURNEE ET NE PLUS GASPILLER L’argent, il DOIT JEÛNER TOUS LES LUNDI ET JEUDI, il doit cesser DE BOIRE AU CAS OU IL BOIT CAR JE SUPPOSE QU IL NE BOIT PUISQUE TOUT LE TEMPS IL PARLE DE DIEU; IL DOIT IPSO FACTO ARRETTER LES VOYAGES ET FAIRE PAYER SA FEMME ET SES ENFANTS QUI VOYAGENT DANS L’AVION PRESIDENTIEL CAR LUI IL EST ELU PAR LE PEUPLE MAIS PAS Bouba ni sa maman. JE VAIS LUI DIRE DE SAUTER LE VEROUILLE DE L EMBRIGADEMENT, en tant que conseiller je demande sans le prier a monsieur le president, de tous les jours d inaugurer une realisation et parfois de prendre LE BALAIS POUR NETTOYER CERTAINE RUE ET EXIGER TOUT LE MONDE A FAIRE DE MEME CAR AU LIEU D EXIGER TOUJOURS IL FAUT FAIRE soit meme ET LES AUTRES SONT OBLIgés DE TRAVAILLER; Monsieur le president je te dermanderai de reduire le budget de la presidence et avec cet argent épargné on créera du boulot aux jeunes meme pour refaire des choses simples, exemple des des pavés dans toutes les rues de Bamako. DEFFLATTER LES NOMBREUX CONSEILLERS A LA PRESIDENCE ET LES METTRE A TRAVAILLER AU LIEU DE SE REUNIR TOUS LES JOURS POUR BOUFFER INUTILEMENT AU NOM DE LA PRESIDENCE; il faut mettre en retraite tous les vieux qui ne servent plus a rien et enlever tous les enfants proches du president c est a dire les enfants de ses amis dans les grandes directions juteuses qui facilitent le vole et les detournements. Moi CONSEILLER, JE DEMANDE AU PRESIDENT DE NE PLUS BRIGUER UN AUTRE MANDAT, et lui dire de se sacrifier pour le pays.
    EN FIN JE DIS CECI: E il ne faut pas oublier que, comme les civilisations, comme les Constitutions, et comme vous et moi, les partis politiques sont mortels.
    VIVA

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