Commune VI : Les raisons du cavalier seul du Modec aux communales

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La personnalité des candidats du Mouvement pour un destin commun (Modec) en Commune VI suffit à donner du crédit à ce parti en Commune VI.

 Pour les élections du 20 novembre prochain, les candidats du Modec ont décidé de ne pas faire d’alliance. En Commune VI, ce parti est composé d’hommes et des femmes réputés dynamiques, loyaux et patriotes. Parmi eux un certain Mamady Kaman Kanté, secrétaire général du bureau des jeunes. Il serait engagé pour la cause de la jeunesse en général et en particulier à Niamakoro, son quartier de résidence.

“Depuis quelques décennies, la population de la Commune VI assiste, impuissant au phénomène ravageur de la perte de valeur, la décadence du système éducatif et sanitaire, la dégradation continue de la qualité de ressources humaines et de l’environnement”, regrette-t-il. Pourtant, estime-t-il, l’avènement de la démocratie multipartite a suscité beaucoup d’enthousiasme et d’espoir, mais la triste réalité est que la population vie de déception en déception.

“Cette gouvernance défaillante a entraîné une crise de confiance entre la population et l’homme politique”, souligne M. Kanté. Et d’ajouter qu’après une analyse approfondie de la situation socioprofessionnelle de sa commune, et tirant les enseignements de la triste réalité de cette localité, il a décidé de présenter sa candidature aux élections communales du 20 novembre 2016 sous l’égide du Modec.

Selon M. Kanté, ce serait avec l’ensemble des membres de son parti, qu’il va fédérer pour un changement digne de ce nom afin d’apporter des solutions et des réponses aux défis qui se posent à sa commune.

“Je ne serais ni un candidat de plus, ni un candidat de trop, mais un candidat qui veut donner une réponse claire et saine aux populations de la Commune IV”, clame-t-il.

Il a sous les bras un nouveau projet pour la Commune VI, une nouvelle façon de faire la politique. Il est un bon connaisseur des préoccupations des problèmes des jeunes de la Commune en étant lui-même jeune.

 

Seydou K. Koné

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