Suite à leur implication à des scènes de violence, certains étudiants de l’IPR-IFRA de Katibougou ont été expulsés du campus universitaire par le directeur général du Centre national des œuvres universitaires (CENOU).
À la résidence universitaire de l’IPR/IFRA de Katibougou, une discussion entre deux clans d’étudiants, suite à un match de football sur le terrain du Campus, a dégénéré en affrontement qui s’est déporté jusque dans le campus. Dans la nuit du 8 au 9 avril dernier, aux environs de 1 h du matin, soit quelques jours après le match de football, les deux clans vont s’adonner à un affrontement d’une rare violence faisant des blessés.
Sous la vigilance des agents du Centre régional des œuvres universitaires de Koulikoro (CROUK), les acteurs de cette scène de violence ont pu être identifiés, explique Bakary Diakité, chef du CROUK. « Sans préjudice de poursuites judiciaires et des sanctions disciplinaires, les étudiants [ndlr] désignés sont définitivement exclus de la résidence du campus de l’IPR-IFRA de Katibougou pour cause de faits de violence, au titre de l’année universitaire en cours », a indiqué le colonel-major Ousmane Dembélé, directeur général du CENOU dans sa décision d’expulsion du 4 mai 2021. Les étudiants concernés par cette décision sont au nombre de six (6), dont des filles. Tous pratiquement des bacheliers de 2019.
Les recommandations du Forum national sur l’insécurité en milieu scolaire et universitaire
Cette décision confirme la volonté de mise en œuvre des Plans d’action issus des feuilles de route des recommandations du Forum national sur l’insécurité en milieu scolaire et universitaire. Une volonté maintes fois réitérée par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Amadou Kéïta, ainsi que par le directeur général du CENOU.
Au cours de sa visite de prise de contact à la Direction générale de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le 12 octobre 2020, le ministre Kéïta avait déjà fait comprendre que la pacification de l’espace universitaire lui tenait à cœur. C’est pourquoi il a souhaité que le 29e congrès de l’AEEM soit celui de la rupture.
En février 2021, on se rappelle qu’à la suite d’une plainte du Centre régional des œuvres universitaires de Koulikoro, six étudiants, dont le secrétaire général, de l’Institut Polytechnique Rural de Formation et de Recherche appliquée (IPR/IFRA), ont été placés sous mandat de dépôt, à la maison d’arrêt de Souban, pour avoir tenté d’empêcher la mise en œuvre des recommandations du forum.
Toutes ces actions, de la part du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que du Centre national des œuvres universitairesprouvent la volonté de faire de l’espace scolaire et universitaire du Mali un endroit où il fait bon à vivre, en le débarrassant de toutes formes de violence.
Fousseni Togola
Source : https://saheltribune.com
Il faut de la discipline militaire pour recadrer l’ enseignement scolaire !
CHER SANGRE!
IL FAUT LA DISCIPLINE MILITAIRE PARTOUT AU MALI!
🙂 LES CIVILS NE SONT PAS FAITS POUR MAINTENIR LA DISCIPLINE, CAR CORROMPUS MORALEMENT ET ‘LACHES’ et HYPOCRITES NATURELLEMENT! 🙂
LA VIOLENCE A L ECOLE, C EST DE LA VIOLENCE DANS LA SOCIETE ELLE MEME.
……pour paraphraser le pédagogue, est le premier besoin du peuple, après le pain…..
QUI EST CET EDUCATEUR, UN FAISEUR DE LARBIN ? LE PEUPLE A BESOIN DE SA TERRE ET DE SON IDENTITEE AVANT LE PAIN, LE GENI CREATEUR FAIT LE RESTE!
LE BRAVE PEUPLE SAIT BIEN QUE L ECOLE CELLE CREEE POUR L IDIOTISER N A PAS DE VALEUR ET DOIT MOURIR POURIR DISPARAITRE ET DONNER LA PLACE A LA NOTRE BASEE SUR NOS BESOINS DE DIGNITE DE TRANSMISSION ET TRADITION.
LA DIGNITE DE CREATION ET DE VIE INDEPENDENT,
LA TRANSMISSION DE NOTRE CREATIVITE,
LE BESOIN DE CONSERVATION DE NOS TRADITIONS,
TOUT CA SUR NOS TERRES ANCESTRALES
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