Entre les membres du comité aeem de l’Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako et leurs autorités administratives, les positions n’évoluent toujours pas. Les inscriptions ne parviennent pas à se tenir. Le comité aeem exige la tenue d’une nouvelle session ou un autre résultat.
La date des inscriptions pour les nouveaux bacheliers a été fixée moult fois, mais elle va de report en report. Et pour cause : le comité AEEM n’est pas satisfait des résultats proclamés qui, selon eux, n’ont pas été bien traités. Selon O. T, étudiant en Maitrise à la Faculté de Droit Public : « Nos résultats ont été sabotés, je suis sûr que j’ai été injustement retenu. Je me suis retrouvé avec des notes tellement nulles que je pense que les corrections ont été très mal faites. Si tel n’est vraiment pas le cas, Je pense alors que ce sont nos enseignants qui ne connaissent rien. Sinon comment est-ce possible qu’autant d’étudiants se retrouvent retenus et cela même après les réclamations ? ». Une autre étudiante qui n’a pas voulu décliner son identité, nous a confié que « la nouvelle administration de la faculté de Droit Public a été juste et correcte. » Malgré qu’elle soit elle-même retenue, elle trouve que seules les méthodes mises en place par cette administration permettront à l’école malienne de retrouver ses valeurs d’antan. A tous ces problèmes d’ordre pédagogique, s’ajoutent d’autres préoccupations liées aux réquisitions et aux cas d’omission. Sans oublier l’affaire des 3096 étudiants non encore élucidée et sur laquelle l’administration universitaire, pour des raisons jusque là superflues, tente d’entretenir un mythe. Il faut aussi rappeler que le Doyen de la Faculté de Droit Public, le Docteur Amadou Keita, a rendu le tablier au profit d’un poste de conseiller à la Cour Constitutionnelle. Depuis son départ, aucun Doyen n’a été nommé.
« Nos résultats ont été sabotés, je suis sûr que j’ai été injustement retenu. Je me suis retrouvé avec des notes tellement nulles que je pense que les corrections ont été très mal faites. Si tel n’est vraiment pas le cas, Je pense alors que ce sont nos enseignants qui ne connaissent rien. Sinon comment est-ce possible qu’autant d’étudiants se retrouvent retenus et cela même après les réclamations ? » Un étudiant ne doit pas indexer le prof en cas d’échec,car une fois a la rentrée tu perçois la bibliographie venant du prof,tu dois immédiatement te mettre au boulot.Comme on le dit, les cours magistraux ne sont pas obligatoire,donc tu as tout le temps d’aller surfer sur le net,ou a la bibliothèque pour t’autoformer.
De grâce laisser les profs en paix,malgré l’extrême repêchage,il y aura toujours des bandes de naze pour se plaindre comme des pouffiasses.
« Nos résultats ont été sabotés, je suis sûr que j’ai été injustement retenu. Je me suis retrouvé avec des notes tellement nulles que je pense que les corrections ont été très mal faites. Si tel n’est vraiment pas le cas, Je pense alors que ce sont nos enseignants qui ne connaissent rien. Sinon comment est-ce possible qu’autant d’étudiants se retrouvent retenus et cela même après les réclamations ? » Un étudiant ne doit pas indexer le prof en cas d’échec,car une fois a la rentrée tu perçois la bibliographie venant du prof,tu dois immédiatement te mettre au boulot.Comme on le dit, les cours magistraux ne sont pas obligatoire,donc tu as tout le temps d’aller surfer sur le net,ou a la bibliothèque pour t’autoformer.
De grâce laisser les profs en paix,malgré l’extrême repêchage,il y aura toujours des bandes de naze pour se plaindre comme des pouffiasses.
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