« Depuis 1998 à nos jours, le Bureau du syndicat des agents administratifs et techniques n’a jamais déposé un préavis de grève. Nous avons connu 5 recteurs avant lui dont Boubacar Siriki Sidibé, Doulaye Konaté, Mme Siby Ginette Bellegarde, Amadou Diallo et Salif Berthé. Avec ceux-ci, nous avons eu de fructueuses collaborations. En toute vérité, l’université n’a jamais eu un Recteur aussi mauvais et insupportable que le Professeur Abdoulaye Diarra. Il a des choses à cacher et c’est la raison pour laquelle, il veut se débarrasser de certaines personnes. Nous ne nous opposons pas à cela, parce qu’en tant que fonctionnaires cela est tout à fait normal. Nous avons tout simplement demandé de laisser les membres du bureau syndical, le temps qu’ils terminent leur mandat et qu’il mette fin à sa chasse aux sorcières »…des propos recueillis auprès des intéressés.
Aussi, ils dénoncent le fait que le Recteur et ses proches les traitent de voleurs pour justifier leur décision de mutation illégale. « Une de nos collègues a été promue par le Recteur. Lorsque cette promotion a été décrié, il nous a fait savoir qu’elle avait eu une maitrise en Droit et qu’elle méritait sa promotion au regard de son avancement de niveau. Alors que la première de nos collègues qui s’est inscrite à la Faculté pour avoir la maitrise est encore là. Cette dernière méritait sur tous les critères (ancienneté, diplôme, et expérience) une promotion. Mais elle n’a pas bénéficié de promotion. Par respect pour notre collègue, nous ne rentrerons pas dans tous les détails. Nous disons tout simplement que le Recteur tente de nous faire passer pour des voleurs pour justifier ses agissements, alors que lui même ne donne pas les bons exemples. Depuis sa nomination à ce poste, tous les contrats ont été rompus et donnés à ses proches. Le Rectorat est bourré par ses parents et ceux de ses acolytes », nous confient toujours les agents en colère, qui sont prêts à faire sortir les preuves de leurs accusations. Tout en invitant le Recteur a prouvé ce qu’il leur reproche pour motiver leurs mutations, ils se disent prêts et engagés à faire sortir les preuves de toutes ses dérives.
Pour des principes d’éthique et de déontologie, le journal a tenté de rentrer en contacts vendredi dernier avec le Recteur pour avoir sa version des faits. Il nous est parvenu, au moment où nous mettons sous presse cet article, que le Rectorat serait disposé à se prononcer sur la question cette semaine. Il ne fait aucun doute que ce nouveau rebondissement accéléra les choses et amènera le Recteur à aborder cette question de manière plus objective que passionnante.
Seydou Karamoko KONÉ
Ce journaliste est à court d’informations ou voudrait tout simplement nuire à la réputation de la personne concernée sinon pour quoi il n’a pas attendu de rencontrer l’intéressé pour avoir sa version des faits d’autant qu’il dit qu’il serait pret à le recevoir la semaine prochaine. Et d’ailleurs le mot serait signifie qu’il ne va pas à la source de l’information. Mais en tout état de cause il faut aussi noter que l’université en question est celle qui trainait trop de gangrène et pour rectifier tout celà on se fait obligatoirement des ennemis donc les déclarations des syndicalistes sont aussi à prendre avec prudence. Il ya eu tellement de dérives que le diplome de droit est dévalué aujourd’hui au Mali et le diplome malien dévalué à l’exterieur cela ne pouvait pas continuer même si ca faisiat des intérêts nombreux
on dit que chacun a son tour chez le coiffeur.voila aujourdhui vous voulez decouvrir les revelations qui a duree longtemps sans se mettre en face de larbitrage.pourquoi navez vous pas decortiquer au moment ou les etudiants victimes frappaient a votre porte dans les bureaux dans les domiciles ala crie de l’aide?ou etiez vous au moment ou ce pitacauce et AEEM manigassaient pour reintegrer les victimes qui ont les memes motif dexclusion que les autres?
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